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Affaire des Disparus du Beach : Nul ne peut étouffer la véritéMayima-Mbemba, Domingo, Agosto 29, 2004 - 00:21
Marcel Touanga
CONGO-BRAZZAVILLE : Affaire des "Disparus du Beach". M. Marcel Touanga apporte d'autres preuves. AFFAIRE DES DISPARUS DU BEACH : Nous Parents des Disparus du Beach, disons que le mensonge même sortant de la bouche d'un personnage nanti des pouvoirs constitutionnels, reste un mensonge et pour les cas des crimes aussi crapuleux et flagrants, comme les massacres du beach, les démentis du pouvoir sont des aveux. Dans des propos récents, qui sont loin d'être ceux d'un Père de la Nation, les parents ont noté avec douleur, un cynisme choquant, un développement vulgaire et toute absence de compassion, pour les familles éprouvées et même un mépris insultant pour la mémoire de ces citoyens congolais dont, au regard de son Serment constitutionnel, il devait défendre la vie. Le déchaînement médiatique orchestré à coups de milliards par le pouvoir pour nier les massacres du beach et proférer des menaces contre les Organisations Internationales de Défense des Droits Humains, les parents et tous les milieux proches de la procédure du Tribunal de Grande Instance de Meaux et les menaces directes contre la personne du Colonel Touanga Marcel, sont expressives de la culpabilité du Pouvoir. C'est ainsi que toute publication des rapports bidons, des articles partisans pour mettre sous le boisseau l'affaire des Disparus du Beach reste vaine. La vérité est connue et aucune force ne peut la contenir ou l'arrêter quels que soient les moyens déployés ou la position des complices mobilisés au sein de la hiérarchie de notre pays et même du monde. La mobilisation même des Personnalités françaises pour bloquer la procédure de Meaux au profit de leurs suppôts congolais distributeurs des prébendes gracieuses n'arrêtera pas la volonté du Peuple congolais et des parents à faire éclater la vérité A ce propos, tous les "amis" français du président congolais sont :soit poursuivis en justice, mis en examen, en prison ou en liberté provisoire. Voyez donc qui il fréquente "dis moi qui tu fréquentes et je te dirai qui tu es ?" Voilà pourquoi pour notre pétrole, nous subissons les affres de guerres récurrentes et fortement meurtrières au profit d'un groupement sanguinaire de profiteurs. Nous sommes sous la houlette d'une "compagnie KITUNGA." Toutes les interviews du Président congolais et de ses Ministres dans les médias internationaux, les articles et interventions flatteurs de quelques Gaubert de la Licra et de certains hebdomadaires niant les massacres du Beach sont le fruit de la compromission. Ils n'arrêteront rien. Toutes les déclarations de ces associations bidons crées par le pouvoir pour tenter de semer la confusion, sont pour nous de la diversion. Tous les programmes judiciaires annoncés et dont le verdict est déjà dicté sont une grossière diversion. Contrairement aux propos cyniques entendus ces derniers temps qui nient catégoriquement les arrestations et les massacres au Beach de Brazzaville et situant les tombes de nos enfants dans le bas zaïre'(horribles propos), Nous Parents déclarons solennellement : - Que des arrestations ont eu effectivement lieu au Beach de Brazzaville. - Que des citoyens congolais de tous les âges et de tous les sexes ont été assassinés par la Garde républicaine et d'autres membres des groupements spécialement, recrutés, formés et mobilisés à cet effet par le Président de la République lui même. - Que des exécutions organisées et planifiées ont eu lieu dans l'enceinte même du Domaine présidentiel au quartier plateau, à Itatolo, dans des commissariats et en plusieurs autres endroits de la capitale. - Que des corps ont été détruits par des procédés fascistes au vu et au su du président de la République. principalement par jet dans les eaux du fleuve congo et du Djoué. par incinération dans l'enceinte du Domaine présidentiel ou abandonnés jusqu'à putréfaction totale. Pour maintenir notre peuple dans ses convictions, et la communauté internationale dans la certitude qu'elle s'est faite selon laquelle le pouvoir de monsieur Sassou Nguesso a commis des crimes de guerre, des crimes contre l'humanité et des crimes de génocide, nous portons à leur attention trois cas spécifiques, tragiques et crapuleux. expression de la cruauté de ce régime d'assassins invétérés. La famille TCHILOUEMBA actuellement basée à Pointe Noire a perdu deux Enfants, les seuls que ce couple possédait. Le 14 Mai 1999, dans l'après midi, Madame Tchilouemba après un séjour pénible dans la région du pool où elle s'était rendue pour rechercher ses enfants, arrive au port ATC avec ces deux enfants à savoir, Tchilouemba Prince Teddy âgé alors de 18 ans et Tchilouemba Stève alors âgé de 20 ans. L'un est Etudiant à l'Université Marien Ngouabi et l'autre est élève au Lycée technique. Malgré les explications des enfants qui d'ailleurs s'expriment bien complétées de celles de leur Mère, les deux enfants sont arrêtés et conduits à bord d'un véhicule Toyota hilux de couleur blanche au siège de la garde présidentielle avec d'autres compagnons d'infortune. Des parents sur toutes les bases objectives et subjectives rencontrent des personnalités particulièrement sensibles du système. Rien ne conduit à la libération de ces deux enfants Après deux jours d'insoutenables tortures, pratiquées sur instruction du Général Adoua Blaise ses officiers Evoundou, Ipangui, Bouansa, Ossebi, Moussa, Nianga, Obambi et autres officiers, l'un des jeunes tchilouemba est introduit dans un groupe dont l'exécution était prévue pour cette matinée ver 11 heures. Au moment où l'officier liste en main appelle tous ceux des jeunes destinés à être exécutés par le peloton qu'il commandait selon le programme établi par sa hiérarchie, le Jeune Tchilouemba Stève dont le frère cadet est menotté et poussé vers la sortie de la cellule s'interpose et annonce qu'ils sont les neveux de madame Sassou Antoinette. A cette seule déclaration, un Capitaine du Nom ou du surnom de Montchana alias Matchatcha tristement célèbre dans les milieux de la GR entre dans une colère noire. Il profère des insultes que le respect que nous avons tout de même pour la première dame du Congo nous interdit de répéter. Il s'empare alors du jeune Tchilouemba Teddy devant de l'officier de service, il le pousse contre le mur et devant tous, sort son poignard dont il enfonce violemment la lame dans le corps du jeune garçon en pleine poitrine. Les cris de l'enfant et la présence des autres n'y font rien. Cette bête termine son œuvre macabre par les parties intérieures de l'enfants qu'il sort et dont il s'enduit le sang sur le visage. Cette scène horrible est restée dans la conscience des militaires. Elle a retiré à tous les autres jeunes prisonniers présents, l'espoir d'un salut en ces lieux. Tchilouemba Steves, dans un geste de courage voudra aller au secours de son cadet dont le corps ensanglanté gisait au sol bousculé par les derniers spasmes. toujours avec la même violence, le fameux capitaine qui certainement a changé de grade, va s'emparer de l'autre jeune Tchilouemba que sur ses instructions, un certain Jhonnie lui aussi célèbre et d'autre soldats embarqueront dans un véhicule hilux cette fois de couleur kaki dont l'immatriculation autrefois rouge avait été grattée aux fins de masquer le numéro. Ce deuxième enfant roué de coups par lesdits soldats, chacun avec l'instrument de son choix (gourdin, crosse de fusil, coup de brodequins ou poignard, etc.), avait été conduit assommé, au Commissariat de Ounedzé-Mandzandza cet autre lieu tristement célèbre appelé à l'époque, "la porte de l'enfer, non loin de la GR et le commissariat de la frontière. Après son assassinat, son corps sera jeté dans les eaux du fleuve derrière le magasin Score, à coté même de l'un des domiciles du Ministre Oba Pierre. Un cobra ancien camarade de classe de la victime, habitant le plateau des 15 ans et connaissant la famille n'avait pas eu le courage de s'adresser aux parents mais plutôt à nous car il connaissait également mon fils. Pourquoi ces pauvres enfants pour avoir seulement sorti le nom de Madame Sassou Nguesso Antoinette, une Tante, ont-ils connu une mort aussi atroce? Le Jeune Touanga Narcisse alors âgé de 28 ans lui aussi ligoté et inscrit sur la liste d'un peloton d'exécution, au siège de la GR après son arrestation le 8 Mai 1999 à 16 heures, sachant sa mort venir va demander à l'un des soldat d'informer sa Mère en lui recommandant de lui dire qu'il l'aimait ainsi que tous les autres membres de la famille et que Papa ne pourrait plus jamais le retrouver vivant, précisant que sa mère travaillait à la CRF. Connaissant une personnalité de la CRF, l'un de ces sergents va le soir même se présente au domicile de cette personne de la CRF et lui annoncer la nouvelle. Il insiste sur le risque que court cet enfant qui peut être exécuté d'un moment à l'autre. Il sollicite de rencontrer les parents et fixe le montant à donner pour obtenir auprès d'un Officier de la Garde, la libération de ce jeune gendarme. La personne contactée arrive tard dans la nuit à notre domicile et automatiquement le marché est conclu et l'argent remis. Je me rends personnellement au domicile de ces deux sous officiers. Malheureusement, les deux amies de la Mère de Narcisse qui vont à l'endroit prévu pour récupérer l'enfant reviennent en pleurs, elles annoncent que lorsque le sous officier est arrivé sur le lieu où le jeune Touanga était gardé, il avait déjà été conduit au peloton d'exécution. Dans ma douleur, je me suis rendu au domicile du sous officier derrière les immeubles des officiers de l'armée situés vers le Cinéma EBINA dans la zone dite dragage. Je partais pour proposer à ces deux sous-officiers le double de ce que ils m'avaient demandé pour récupérer le corps de mon fils. L'un d'entre eux visiblement attristé nous apprendra que le corps avait été détruit. Les deux jeunes sergents, remettrons quelques jours plus tard, la somme versée par les parents. Des jours après, Le Ministre Kamara Mamadou Dekamo à son domicile, me confirmera l'assassinat de mon fils et la destruction de son corps. Sur les raisons, il restera muet. Le Sergent Chef Mobed Rigobert, chef du Secrétariat du Bureau du Général Adoua Blaise certainement choqué par l 'assassinat de mon fils, qu'il reconnaissait avoir vu reconnaîtra disposer du sac contenant les derniers effets de mon fils. Il proposera de me les remettre je lui demandais de le garder définitivement pour lui. Ceci se passe en présence du Capitaine Mboussa et de l'Officier souvent en civil que tous appelait "le Conseiller du Général". A l'époque, il disposait d'un véhicule RAV dont l'immatriculation était européenne. Le père de cet enfant avait rencontré ou joint toutes les personnalités déterminantes de la République, le président Dénis Sassou Nguesso compris. Le troisième cas est celui de la Famille Bouekassa alias Djento, bien connu dans les milieux de Bacongo. Il est aussi le Frère cadet de Monsieur Gomez de MAKANDA actuel Maire de Bacongo. Monsieur le Maire dispose du grand privilège d'être l'Epoux d'une Conseillère à la présidence de la République Madame Makanda née OVOUNDA Charlotte. Elle serait selon certaines rumeurs, membre de la famille présidentielle. Madame Makanda est la Tante de Monsieur Itoua Bruno DG de la SNPC. La famille Makanda à travers Monsieur BOUEKASSA a perdu deux enfants de 22 ans et de 18 ans dans les massacres du Beach. Le 14 mai ils sont arrivés au Beach en compagnie de leur papa et de leur mère. Deux des enfants et deux neveux sont arrêtés et conduits au siège de la Garde présidentielle. Après tortures et humiliations diverses, les enfants et leur cousin au nom de Matembelé Gyslain, Ingénieur sorti de l'Université de Cuba, sont conduits au bas du domaine présidentiel le long du chemin dit de la flottille. Il est 23 heures lorsque ils sont alignés avec en face le peloton d'exécution dirigé par un officier. Sur ses instructions, les mitraillettes crépitent et les corps s'effondrent. L'officier fait vérifier et donne des coups de grâce sur les tempes de quelques 'uns d'entre eux. Vers trois heures du matin, le corps de Matembelé reprend vie et il s'extirpe des cadavres qui le couvraient. Dans ce mouvement, il constate que deux de ses voisins ne sont pas morts mais sont grièvement blessés comme lui. Ils reprennent leur esprit et décident de s'éloigner des milieux. Si Matembelé peut réussir à s'éloigner au delà de 80 mètres, les autres s'arrêtent totalement épuisés et vidés de leur sang, les forces les abandonnent. Vers 10 du matin, à la faveur d'une autre exécution, l'officier dirigeant le peloton d'exécution est informé de la présence de trois traits tracés par des rigoles de sang.. Très vite la piste est suivie et deux individus gisant au sol encore en vie son reperés. Ils sont automatiquement achevés et Matemberlé blotti dans un fourré entend tout. Il est découvert quelques temps après par les enfants d'une maraîchère qui au début le prennent pour un fou. La mère de ces enfants alerte des individus qui transportent Matembelé hors des lieux et se retrouve des heures après au CHU de Brazzaville. Un médecin ami et collègue ne peut le cacher longtemps et la nouvelle de sa présence arrive aux oreilles de certains malades. Matembelé est extrait du CHU par son Ami deux avant l'arrivée des éléments de la garde présidentielle. Les corps de deux Bouekassa ont été brûlés dans la période du 20 au 24 Mai dans l'enceinte même du domaine présidentiel en même temps que certains autre dont certains qui n'étaient encore que dans le coma. Le Jeune Mantembelé gyslain alors convalescent, logé au domicile de Monsieur Gomez de Makanda dans la cité Air Afrique avait reçu la visite de Madame Antoinette Sassou Nguesso. Ce jour du Jeudi 20 Mai, une délégation des parents se trouvait au palais du Peuple dans le Bureau du courrier pour déposer une requête urgente à l'attention du Président de la République. Copie avait été déposée au cabinet du Conseiller spécial Okemba Dominique et remise à sa secrétaire particulière une certaine Madame Berthe. Au bureau du courrier présidentiel, la délégation avait été reçue par un ancien cadre de l'ujsc. Ensuite, cette même délégation avait été reçue au Cabinet de Madame l'Epouse du Chef de l'Etat par son Directeur de cabinet. Tout le monde au palais savait que l'on brûlait des cadavres. Dans cette période et du fait des nombreux cadavres abandonnés et en décomposition avancée, et des bûchers dont les colonnes de fumées dégageaient des odeurs insoutenables, l'environnement était infecté ce qui conduisaient certains travailleurs de tous les secteurs à quitter tôt leurs lieux de travail. Tous les cas évoqués par nous sont le fruit des recherches des parents avec le soutien des collègues militaires et autres compatriotes, qui compatissent à notre douleur et qui sont choqués par l'amalgame que l'on fait entre les groupements spécifiques auteurs de cette incurie criminelle autorisée par monsieur Sassou Nguesso et le gros de la Force publique. C'est aussi la vérité sur la fin tragique de ceux qui représentaient nos espoirs. Victimes innocentes d'une barbarie que s'évertue de cacher celui là même que les victimes et leurs familles appelaient "Père de la Nation." Grand Maître d'une Confrérie dont la vie humaine devrait être au centre de sa préoccupation, et un personnage de qui nous attendions tous un devoir de mémoire, de vérité et de justice équitable. Peuple congolais chers compatriotes, en citant pour le moment ces trois cas tragiques en réponse à toutes les déclarations négationnistes faites par le "Père de la Nation" et ses griots de tous acabits ces derniers temps, cas révélateurs de la cruauté et de la barbarie des méthodes pratiquées par celui qui a fait le serment constitutionnel d'assurer la sécurité des personnes et des biens. Mais malheureusement qui a choisi de répandre le sang, la violence et la division des populations aux fins d'asseoir son pouvoir personnel. Nous parents avons voulu donner une fois de plus la preuve que tous les programmes prétendument judiciaires pour sa "vérité" ne sont que des moyens pour s'absoudre et aussi à l'occasion absoudre "les officiers du président" dont il a fait les complices cupides d'un génocide, des crimes de guerre et de crimes contre l'humanité. Pendant ce temps, des Officiers Généraux, des Officiers supérieurs et subalternes et autres membres de cette même force publique patriotes convaincus, bouclent avec beaucoup de peine et même d'humiliation, les fins de mois s'interrogeant bien souvent, sur les motivations des guerres. Etait ce seulement pour conduire un groupement de parents et d'amis à s'enrichir scandaleusement ? Monsieur Sassou Nguesso veut aussi loger dans sa poche, la Justice de notre pays. Il veut faire de nos Magistrats dont beaucoup sont des cadres émérites et des patriotes convaincus, les complices d'un régime de crimes, de détournements et d'enrichissement personnel. alors que par ces crimes et autres actes, il a violé de façon flagrante la Constitution de la République. Il a trahi le Serment constitutionnel et le Peuple congolais tout entier en créant des clivages et en cultivant des divisions artificielles et des rancœurs graves. Présentement, les Institutions Judiciaires congolaises, disposent de suffisamment de charges contre Monsieur Dénis Sassou Nguesso pour démarrer une procédure de destitution pour Haute trahison. Il revient donc à la Haute Cour de Justice principalement à ses Hauts Magistrats de prendre leurs responsabilités devant le peuple et devant l'histoire. Le Devoir National et les Intérêts de notre Peuple devraient pouvoir supplanter les pesanteurs matérielles et subjectives. Le Général Dénis Sassou Nguesso, de tout ce qui précède, est actuellement inapte politiquement, moralement et socialement à traiter des massacres des disparus du beach, moins encore à accepter un programme judiciaire équitable. Sa compromission est trop forte dans toutes les "Affaires" qui préoccupent notre Peuple aujourd'hui. Aucun Général, aucun Colonel, aucun Commandant, enfin aucun officier subalterne et même aucun groupement de soldats et autres membres des écuries n'accepteront de "couler" pour des directives reçues de sa Hiérarchie qu'est le Commandant en Chef. Toute inculpation ou emprisonnement conduirait à une rébellion des Officiers et de l'ensemble des exécutants qui entraînerait fatalement la chute du régime de monsieur Sassou Nguesso. Dans ce cas, et du fait des crimes commandités par lui, des détournements importants et de l'enrichissement scandaleux des membres de sa familles et apparentés, il n'aurait sur la terre qu'un seul lieu d'exil… : le Gabon. C'est dans ce contexte que nous disons que seul le Tribunal de Grande Instance de Meaux pourra traiter de cette Affaire des Disparus du Beach. Les Parents remercient tous ceux qui soutiennent leur action et déclarent solennellement que le sang de leurs enfants ne servira jamais de prétexte pour diviser encore plus notre peuple. Les massacres du Beach n'ont absolument rien à voir avec les Peuples du Nord ou du Sud. Il s'agit de la volonté d'un Personnage qui a choisi de commander par le sang et la violence pour ses intérêts personnels. Dans cette barbarie qui perdure, tous les citoyens congolais sont des victimes en sursis. Tous, nous devons prouver que monsieur Sassou Nguesso n'est pas cet Éternel Innocent. Paris, le 10 août 2004 Pour les Parents des Disparus du Beach. Colonel TOUANGA Marcel
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