Pourquoi Bleuler (Yves Rioux, psychologue) cherche-t-il à relancer des attaques contre Madame Carrier sur le CMAQ?
S'il veut réellement se renseigner sur la mouvance 'queer' et ses divers courants, qu'il le fasse. Il sait certainement se servir d'un moteur de recherche.
Autrement, il risque de laisser croire qu'il ne cherche qu'à réactiver son agaçante gueguerre contre "certaines féministes"... en jouant le rôle de l'arbitre mielleux, bien sûr (air connu).
On t'emmielle, "Bleuler"...;-)

Martin

Pauvre Martin!

PREMIÈREMENT

C'est votre propre agressivité rageuse qui teinte toutes vos perceptions des autres et de la réalité en général. Vous confondez par exemple ici discussion et "attaque". La plupart des gens aiment à échanger des informations et des points de vue de manière parfaitement conviviale et sans l'ombre d'hostilité. Je sais que ce n'est pas votre cas, mais c'est le format le plus répandu. Je commence un peu à comprendre pourquoi votre femme n'était plus capable de vivre avec vous.

DEUXIÈMEMENT

Pour vous j'étais hier Yvon Dallaire et aujourd'hui je suis devenu Yves Rioux? Vous êtes comique!

À propos, j'ai fait une recherche sur Yvon Dallaire et je lui ai même écrit. Nous avons des positons assez semblables sur la condition masculine, mais des analyses fort différentes. Par exemple, Dallaire estime que les relations de couple se sont détériorées au cours des récentes décennies et que le féminisme en est la cause. Je ne crois pas que les relations de couples se soient détériorées et j'estime que Dallaire confond la cause et l'effet lorsqu'il parle du féminisme.

En passant, Dallaire vous remercie de la publicité que vous lui faites!

Quand je lis ses grossières attaques "ad hominem", le fruit de spéculations parfaitement fantaisistes sur la vie privée des gens, je comprends pourquoi le psychologue Alain Rioux (http://www.psycho-ressources.com/alari.html) hésite à signer ses algarades.
S'il fallait que d'éventuels-les clients-es ou patrons sachent qu'il traite les gens de cette façon... sans parler de l'avis de sa corporation professionnelle, tsk tsk tsk... gardez l'anonymat, Monsieur Rioux, il sied à la qualité de vos principes.

Martin Dufresne

Monsieur Demers,

Lors de mon entré sur ce forum je ne me suis jamais adressé à vous que poliment et solidairement. Malheureusement, vous ne supportez pas les mises en question. Vous vous êtes rapidement lancé dans une attaque systématique de ma personne. Encore ici, c'est vous qui commencez les attaques personnelles. Les attaques personnelles c'est comme les boomerangs. Ça nous revient toujours sur le né. Si par vanité vous choisissez d'intervenir sous votre vrai nom, c'est votre affaire.

Pour ce qui est de la déontologie, vous êtes complètement dans les patates. La déontologie ne concerne que les membres de corporations professionnelles. Et encore, seulement lorsqu'ils agissent à ce titre. Par ailleurs, lorsqu'un personnage public fait étalage de ses symptômes, chacun est libre de les analyser publiquement, même les professionnels. En 1911, Freud, le premier, a publié l'analyse du conflit homosexuel du Président de la Cour d'appel d'Autriche : le Président Schreber. Comme vous, Schreber faisait étalage de ses symptômes psychotiques sur la place publique.

Monsieur Demers, on n'a pas besoins d'être psychiatre ou psychologue pour voir que vous êtes un "enragé". Je crois aussi que vous faite de la "projection". Lorsque vous reprochez aux autres hommes d'être mesquins financièrement, insensibles, dominateurs, potentiellement violents ou sexuellement pervers, ce ne sont jamais que des choses qui sont en vous-même et que vous détester. Je ne vous reproche pas de les détester. Je vous reproche d'être aveuglé par votre propre conflit au point de chercher à trouver les mêmes tendances condamnables chez tous les autres hommes. Nous sommes certainement tous des êtres humains. Hommes et femme, nous avons tous des aspects condamnables en nous même. Mais ces aspects ne sont pas nécessairement les mêmes que les votre et ils n'ont pas nécessairement assez important pour nous menacer et nous forcer à nous en défendre en les projetant sur les autres, comme vous le faites.

Monsieur Rioux,

Je trouve assez marrant que vous vous croyez capable de me diagnostiquer à partir de mes positions politiques (votre diagnostic vaut-il pour tout homme qui milite contre la violence sexiste?!...), tout en étant incapable de faire la distinction entre moi et mon pote Yannick Demers, qui n'a pas la moitié de mon âge. Nous n'avons pas encore décidé lequel d'entre nous devrait se sentir vexé de votre confusion...;-)

En tout cas, j'espère que vous ne faites pas trop souvent ce genre d'erreur au Centre hospitalier Robert-Giffard, où votre site Web vous identifie comme "Coordonnateur à la programmation et à l'évaluation des services à la clientèle". C'est vrai, je plains les gens envoyés aux électochocs ou mis sous sédation musclée en raison d'une bête erreur d'identité...

Pour mémoire, on peut relire ci-haut qui a lancé les hostilités:

"Madame Sisyphe (Michelline Carrier) a posté sur CMAQ un article particulièrement dévastateur contre le mouvement queer:
http://www.cmaq.net/fr/node/16376
J'aurais aimé avoir le point de vue d'une personne qui défend ce mouvement."

ce que j'avais commenté comme suit:
"Pourquoi Bleuler (Alain Rioux, psychologue) cherche-t-il à relancer des attaques contre Madame Carrier sur le CMAQ?"

Merci tout de même de reconnaître votre identité. Au fait, vous semblez nous écrire souvent durant vos heures de bureau... n'y a-t-il pas là un léger problème éthique...? Je veux dire, c'est nous qui payons votre salaire, non?

Martin Dufresne (si si)

Monsieur Dufresne,

En effet, j'ai interchangé Dufresne et Demers. Allez savoir pourquoi! Je m'en excuse auprès des lecteurs.

Vous faites, pour votre part, plusieurs erreurs. Notamment:

1- Il n'y a pas d'Yves Rioux qui travaille à Robert Giffard;
2- Aucun professionnel de la santé au Québec ne s'appel Yves Rioux;
3- Je ne m'appel pas plus Yves Rioux que je ne m'appelais Yvon Dallaire ou Alain Rioux;
4- Les psychologues comme Alain Rioux ne prescrivent jamais d'électrochoc;
5- Je ne travaille pas à Robert Giffard;
6- Mes heures de bureau ne sont pas celles que vous croyez;
7- Vos impôts sont mal utilisés, mais je n'y suis pour rien;
8- Vous prêter à des attaques personnelles ne fait pas avancer le sujet de discussion;
9- Inviter les lecteurs à faire des recherches sur Internet ne renseigne pas sur votre propre position sur le mouvement queers.

Si vous n'avez pas de question à poser et pas de réponse à fournir, qu'est-ce que vous faites dans cette discussion?

Il fallait lire Alain Rioux, psychologue, (et auteur avec Yvon Dallaire et F. St-Hilaire du "Guide de la sexualité branchée"...)

Martin

Je croyais qu'il s'agissait du mouvement Queer, de son idéologie et de ses actions. J'en ai plus que ras-le-bol que toutes les discussions en reviennent à Micheline Carrier. M.Dufresne si vous la vénérez, bâtissez-lui un autel et faites brûler des lampions.
La Paix pour l'amour du ciel!

Un petit texte trouvé sur le site Les Panthères Roses (pcq effectivement il vaut mieux ne pas se référer à Sisyphe pour se faire une opinion, surtout sur les questions sexuelles):

"Non pas bienvenue sur le site des Panthères roses, mais sur un des sites de la mutinerie queer mondiale, chapitre montréalais. Que l'on soit de San Francisco, Barcelone, Paris ou Montréal, le projet est en effet le même pour les queers radicaux: balancer le capitaine par-dessus bord.

Destination centre d'achat, clinique de beauté? À l'inverse des milliers de gais et lesbiennes qui marchent gentiment dans la direction indiquée par les leaders, les Panthères roses et toujours plus de monde ont décidé désormais de désobéïr à ça. Au capitalisme rose. À l'hétéro-société. Aux règles des genres binaires. À toutes les lois ennemies de la liberté, de l'égalité. Et aux ennemies d'une Terre verte, sans frontière étatique et sans frontière sexuelle."

Amen!

Madame Maher,

J'ai aussi cru remarquer que les questions à caractère sexuel soulevaient des réserves plus importantes chez bien des militants et militantes que les questions plus strictement économiques ou politiques. Je comprends que ces questions soient plus complexes, mais je me demande parfois s'il n'y a pas autre chose que la complexité pour expliquer ces réserves.

Les deux articles publiés par Sisyphe donnent des références concernant ce mouvement. En voici quelques-unes:

http://www.puf.com/picts/visuels/info/RueDescartes.html

Bourcier, Marie-Hélène, "Foucault et après : théorie et politiques queers, entre contre-pratiques et politiques de la performativité", dans Queer zones : politiques des identités sexuelles, des représentations et des savoirs, Paris, Balland, p. 175-194.

Butler, Judith, Gender Trouble: Feminism and the Subversion of Identity, New York, Routledge, 1990.

http://multitudes.samizdat.net/rubrique.php3?id_rubrique=141

Voir aussi les références sous le texte de Line Chamberland
http://sisyphe.org/article.php3?id_article=1052

Comme les deux articles publiés sur Sisyphe, ce sont des analyses - ni pour ni contre - ce sont des points de vue avec lesquels personne n'est tenu d'être en accord évidemment.

Pour le reste, avec un peu de débrouillardise, si vous inscrivez queer dans les moteurs de recherche, vous aurez l'embarras du choix.

Bonne lecture.