Aucun nom n'est mentionné dans le texte précédent publié ici, un texte qui réfère à un article et à des commentaires. Je n'implique pas plus le CMAQ qu'un autre, je ne fais qu'informer d'un article sur le sexisme de la gauche médiatique et d'une mise en demeure qui m'est adressée à cause de cet article. Je ne cherche même pas à dissuader l'auteur de cette mise en demeure de renoncer aux procédures qu'il envisage. Il a le droit de faire ce qu'il veut, moi, j'ai le droit de rendre public sur mon site un document qui m'est adressé personnellement et qui concerne un texte public.

Paradoxal que votre site soit alternativement "personnel" et "public" au gré de votre bon vouloir. Vous y afficher la mention copyright en plus ! Sachez que les correspondances entre individus demeure du privé ne vous en déplaise.

Je comprend difficilement votre attitude de provocation puisque le litige qui nous oppose ne vous prendrais que quelques minutes à régler. Suffit de retirer mon nom de vos textes et le remplacer par un terme général. Devra-t-on absolument en arriver devant les tribunaux pour le régler, que voulez-vous prouver ?

Je vous évite sur le CMAQ et ailleurs parce que vous passez la majorité de votre temps à vous plaindre de supposées attaques, quand je ne vous adresse pas la parole vous venez me provoquer en vous servant de mon nom et c'est contraire à la loi. Une de vos participante a eu la magnanimité de vous transmettre copie de la loi et elle est claire, nul ne peut se servir du nom, des textes, de l'image de quelqu'un sans son consentement. Un "masculiniste" l'a appris à ses dépends lorsqu'une "féministe" bien connue lui a adressé une mise en demeure par ses avocats. Je ne suis pas une personnalité publique et je vous demande simplement de ne plus avoir de contact avec vous d'une manière ou d'une autre. Faudrait aussi éviter d'impliquer le CMAQ que vous dénigré ailleurs.

Alain Thomas

M. Thomas a décidé de répondre sur Sisyphe, plutôt que par la voie juridique, aux commentaires associés à son nom dans mon article intitulé "Le sexisme très ordinaire de la gauche médiatique". Dans cet article, j'énumère, dans un premier temps, le genre de propos qui se tient sur les féministes et, dans un deuxième temps, les noms de certaines personnes qui tiennent ce genre de propos. Il n'est pas dit que le nom de M. Thomas est spécifiquement associé aux termes "féminazies" et "fémisexistes", dont M. Thomas se dissocie. Son commentaire remplace donc le texte de la mise en demeure que j'avais publiée, et que je retire de Sisyphe (puisqu'elle n'a plus lieu d'y être), ainsi que les commentaires qui y étaient associés.

Micheline Carrier

P.S. Le commentaire de M. Thomas est à la suite de l'article à cette page.
http://sisyphe.org/article.php3?id_article=1057

«Je vous remercie de poster ici la référence à votre article. Cela me permet de répondre, un droit qui me serait refusé sur votre site.»

Pseudo Beuler, je n'ai lu que cette première phrase et je ne vais pas plus loin. Votre prose ne m'intéresse pas quand elle commence par une fausseté. Je n'ai pas reçu de message signé du pseudo Bleuler sur Sisyphe à la suite de cet article sur le sexisme de la gauche (ça ne signifie pas que je l'aurais publié, mais je ne l'ai pas reçu). L'aviez-vous signé sous un autre pseudo? Le seul message que je n'ai pas publié parmi ceux qui commentaient l'article n'était pas signé par vous, mais par un autre individu qui était déjà intervenu pour dire la même chose antérieurement (et dont le message est déjà sur Sisyphe), et qui m'a servi une bordée de bêtises par courriel. Si ça continue, je vais ouvrir une nouvelle rubrique: La Tribune des tordus, où je placerai toutes les niaiseries que je reçois.

Madame Sisyphe,

Une histoire vraie : Une dame se présente à ma clinique. Elle est angoissée sans savoir pourquoi et présente des symptômes divers associés à cette angoisse. Lorsque je lui demande ce que je peux faire pour elle, elle m'affirme qu'elle ne veut pas que je croie qu'elle a des problèmes avec son mari. Je fais avec elle le tour des différentes sphères de sa vie pour trouver les causes environnementales éventuelles et elle me répète deux autres fois qu'elle n'a pas de problèmes avec son mari. Trois fois, c'est trop! En bon clinicien, je suis obligé de formuler deux hypothèses. La première est que cette dame a des problèmes avec son mari. La deuxième est qu'elle refuse de faire face à ces problèmes parce qu'ils constituent une menace à son intégrité psychologique. La dame fait simplement des efforts de "dénégation".

Les textes que vous m'adressez personnellement me rappellent cette dame. Comme elle, vous faites beaucoup d'efforts pour me convaincre que vous ne me LISEZ PAS et que je n'ai pas d'importance pour vous. Ça se répète de réponses en réponses. Je vais finir par croire que vous faites aussi de la dénégation. Je vais finir par croire qu'en réalité vous m'accordez beaucoup d'importance et que vous lisez avidement tous ce que j'écris avec peut-être une sentiment de honte? (Comment avez-vous trouvé mon article sur Santé Canada?)

Pour ce qui est de votre question, vous n'avez pas reçu de réponse de ma part parce que je ne vous l'ai pas envoyé. Je connais bien votre politique d'édition. Ce serait peine perdue! Vous ne publiez que deux types de commentaires. Le premier est composé des personnes favorables à vos vues. Le second est composé des personnes qui s'opposent à vos vues mais qui commettent une erreur quelconque que vous espérez exploiter à vos propres fins.

Vous critiquez beaucoup Yves Pageau. Lui au moins a le mérite de tout publier.

Pour ce qui est de la personne qui vous insulte dans sa réponse, le seul fait qu'elle vous insulte devrait vous suffir à reconnaitre que ça ne peut être moi.