Réaction à chaud après la diffusion de l’entrevue exclusive de Simon Durivage le 25 mars 2004, suivit d’une réflexion sur les pulsions auxquelles nous sommes tous, un jour ou l’autre, soumis.
Radio-canada nous a encore montré sa tendance à glisser vers l’information spectacle. L’émission Aujourd’hui, du 25 mars dernier, nous a présenté une entrevue EXCLUSIVE avec Robert Gillet.
Menée par le beau Simon Durivage, l’entrevue nous a montré un homme désabusé d’être reconnu coupable d’un chef d’accusation sur trois. C’est-à-dire coupable d’avoir obtenu les services sexuels d’une mineure. Les jurys jugent que Gillet n’en a pas fait assez pour connaître le véritable âge de la jeune fille.
M. Gillet dit n’avoir jamais voulut retenir les services d’une mineure. Juridiquement il a raison, mais moralement ; Franchement ! Femme-enfant respectable à 17 ans 11 mois; Putain à 18 ans ! Gillet ne peut moralement soutenir vouloir baiser avec les plus jeunes femmes possibles sans éventuellement risquer de traverser, même sans le savoir, la ligne de la majorité.
De plus, le phénomène de la prostitution juvénile est beaucoup trop complexe pour en fixer une limite aussi arbitraire. « Oui mais, Monsieur le Juge, je lui avait demandé son âge ». Voyons voir si une fille soumise à des proxénètes mafieux, et obligée de se prostituer, est en mesure d’être libre de ses actes et paroles. Gillet doit accepter son verdict comme étant le résultat du risque qu’il encourrait à vouloir retrouver sa jeunesse dans celle des autres.
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Analyse supplémentaire
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Deux choses me troublent particulièrement dans toute cette histoire. Deux clans s’opposent. La fondation Scorpion et Gillet ; suivit du nouveau mouvement pour sa réhabilitation qui semble vouloir naître. Cependant, les antipodes pêchent par le même crime. Vouloir revivre sa jeunesse à travers celle des autres.
Comme nous pouvons le constater, plusieurs fillettes en sont venues, sous la pression incessante de la mise en marché de la pop, à s’habiller comme des femmes « hypersexys ». Les parents de ces préadolescentes n’aident pas la situation puisqu’ils ne semblent pas user de leur autorité et de leur décence parentale pour que leurs filles vivent leur enfance.
Justement, j’ai vu de mes propres yeux une mère sortir de son sac à main un beau macaron de cette fameuse fondation Scorpion. D’accord, vous me direz qu’il n’y a rien d’incorrecte, mais attendez la suite. Cette dernière laissait, sans problème apparent, sa fille d’à peine 13 ans, s’habiller comme une playmates. J’exagère à peine. Le décolleté aurait fait frémir les plus prudes d’entre vous. Et cette mère, de lui parler de condoms en public.
Cette jeune fille, si je ne l’avais pas connu, je lui aurai donné aux alentours de 18 ans. C’est là qu’il y a un petit problème de cohérence. D’un côté on lynche sur la place publique, avec une hargne viscérale, un homme auto-soumis à ses pulsions le poussant à retrouver sa jeunesse par le contact sexuelle avec de jolies jeunes filles, et de l’autre, on commet le même crime, mais d’une autre façon. C’est-à-dire, revivre son corps de jeune femme dans celui de sa fille, ou pour le père, celui de revoir sa jadis jeune conjointe.
Deux problèmes sociaux attribuables aux deux camps surgissent. D’un côté, l’abandon à nos pulsions sexuelles bien animales, et de l’autre, l’abandon à nos pulsions de vengeance et de justice populaire. Et pour tous, le désire de revivre sa jeunesse à travers celle qui grandit.
N’allez pas croire que je défends l’un ou l’autre des camps. Je me questionne c’est tout. Et je me demande surtout : Est-ce que les gens de Québec (mon lieu de naissance en passant) ont si peu de chose contre lesquelles s’indigner, qu’ils plongent, têtes baissées, dans la première cause qui les touche, et ce, sans voir leur propre implication dans la sexualisation capitaliste de l’enfance ?
Pour continuer la réflexion : Entrevue à Indicatif Présent de Marcel Rufo, pédopsychiatre de l'Hôpital Sainte-Marguerite de Marseille. Auteur de : Tout ce que vous ne devriez jamais savoir sur la sexualité de vos enfants, Éditions Anne Carrière, 2003. www.radio-canada.ca/radio/indicatifpresent/chroniques/31780.shtml
Sisyphe:"Finalement, tout le monde va avoir oublié à un moment donné le débat intéressant (...) . Et on va se demander pourquoi ces emmerdeuses (féministes) sèment toujours la pagaille partout où elles passent"
Vous dramatisez! Premièrement, tout le monde n'est pas contre vous. Deuxièmement, ceux qui vous critiquent vous sont généralement sympathiques en ce qui regarde les grandes lignes de votre travail. En tout cas, ils ne contestent certainement pas le bien-fondé des luttes féministes. Troisièmement, je n'ai certainement pas le pouvoir de tourner qui que ce soit contre vous. Si Matin s'est attiré quelques animosités, c'est parce qu'il s'est lui-même tiré dans les pieds. Finalement, je suis moi-même féministe et les critiques polis que je vous adresse et celles moins polies que j'adresse à Martin ne touchent en rien les fondements du mouvement féministe.
Je commence à croire que vous avez un sérieux problème. On peut tout aussi bien être en accord avec la décision individuelle des gens par rapport à leur habillement et être contre la manipulation médiatique d'une image. Cela reste très cohérent. Mais il me semble que vous avez de la misère à comprendre cela, comme vous ne saisissez pas la subtilité du propos de l'article de Sisyphe; ce que ces personnes critiquent n'est pas le choix vestimentaire des ados, mais bien le fait que ce choix vestimentaire n'en est peut-être pas un. C'est la même chose avec la sexualité dans le fond. Qu'une jeune adolescente de 13 ans ait une relation sexuelle ne me concerne pas, je trouve ça tout à fait acceptable même; cependant, si cette relation sexuelle a été faite sous la pression (quelle soit morale ou physique), là il y a un problème. Mais vous ne semblez pas saisir la subtilité, vous mettez dans le même bateau ceux qui conçoivent ces images avec une intention et celles qui consomment ces images avec d'autres intentions.
Tant qu'à rester dans les fables avocassières, vous me rappelez l'avocat qui doit défendre l'indéfendable, alors qu'il sait son client coupable. Il ne peut simplement plaider l'innocence du client, alors il essaie de minimiser, minimiser et encore minimiser la portée des actes de son client... Et comme un bon avocat, vous avez l'art de faire dévier une conversation, de partir de la dénonciation des propos de Demers et de vous diriger de plus en plus vers son acceptation. 0/10 pour la morale et 0/10 pour la cohérence.
D'ailleurs, je me demande, un peu comme Sisyphe, si vos clients ne sont pas les gens que nous dénonçons et qui n'ont plus accès à ce site.
Franky:"On peut tout aussi bien être en accord avec la décision individuelle des gens par rapport à leur habillement et être contre la manipulation médiatique d'une image. Cela reste très cohérent. " (...) ce que ces personnes critiquent n'est pas le choix vestimentaire des ados, mais bien le fait que ce choix vestimentaire n'en est peut-être pas un.
Bleuler: Vous avez raison de croire que les choix qu'exercent les individus sont surdéterminés. En termes simples, il y a plusieurs facteurs qui les déterminent. Ils peuvent être envisagés du point de vue des motivations psychologiques personnelles, ou comme manifestation d'une culture ambiante.
Mais on ne peut pas changer de registre d'analyse (de l'individuel au collectif), sans faire de sophisme. Pour prendre votre exemple, le décolleté profond d'une petite fille de 13 ans est acceptable comme choix individuel et personne ne devrait lui faire de reproche, mais il est une vulgaire provocation sexuelle et l'antichambre de l'asservissement en tant que phénomène collectif entretenu par les médias! Allons, dites-moi que vous n'êtes pas sérieux!
Je n'ai jamais prétendu cela. Que ce soit un phénomène collectif ou pas, là n'est pas le problème. Le problème réside dans le fait que certains stratèges conditionnent le public. Ce qui est criticable n'est pas l'habillement d'une personne mais l'intention derrière les gens qui conçoivent cet habillement. Encore une fois, vous confondez entre le message (envoyé par les publicistes) et l'action du spectateur (dans ce cas les jeunes de 13 ans). Votre raisonnement ne peut fonctionner que si les gens qui créent les modes et les gens qui les consomment sont les mêmes, ce qui de toute évidence n'est pas le cas. Pour prendre un autre exemple: on peut avoir de très bonnes raisons d'utiliser individuellement sa voiture; pourtant, la généralisation de l'usage de la voiture dans toute circonstance est nocive. Le problème de la voiture réside dans le fait que l'on a créé des faux besoins auxquels ont donne une fausse solution. La même chose s'applique avec la question vestimentaire: une jeune fille peut sentir sur elle une pression indue pour porter un tel type de vêtement, une autre non. Voilà tout. Il peut ne pas y avoir concordance dans un choix individuel et un choix collectif, malgré ce que vous dites.
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Asunto:
Par habitude ou par malice, Bleuler, Rioux, Dallaire ?
Je me demande si le pseudo Bleuler ment par habitude ou par malice, ou bien s'il souffre d'un défaut de lecture ou de compréhension. Sisyphe n'a pas publié un article dénonçant les habitudes vestimentaires des adolescentes en les rendant responsables de provoquer les appétits des hommes libidineux ou des clients de la prostitution.
J'ai publié un article de deux chercheuses de l'université Laval intitulé :"La sexualisation précoce des filles peut accroître leur vulnérabilité" et c'est ici: http://sisyphe.org/article.php3?id_article=917. Contrairement à ce que laisse entendre le désinformateur professionnel, l'article ne culpabilise pas les adolescentes, mais démontre qu'on en fait de plus en plus jeunes des objets sexuels vulnérables aux agressions et abus. Qui fait ça et pourquoi? La publicité, la mode, le système économique, des adultes partout, de nouvelles normes sociales servent des fins économiques et autres, etc? Et si on veut pousser la réflexion, on peut penser que la sexualisation précoce sert bien les intérêts de tous ceux qui profitent sexuellement des jeunes, y compris le système proxénète (pimps et clients), et donne un bon prétexte aux autres pour les justifier. Elle nourrit, comme le pseudo Bleuler, les préjugés de gens à la psychologie de bottine, qui aiment se conforter dans la croyance que les tenues vestimentaires sont à l'origine du viol, de la prostitution, etc : sous-entendu, les filles comme les femmes provoqueraient et exciteraient les besoins incontrôlables des pauvres hommes. Donc, profitons-en gaiement. (Mon Dieu, on recule de 25 ans, on croyait avoir démoli ces mythes-là). Ces préjugés leur servent aussi à masquer les vraies causes des abus à l'égard des jeunes et des femmes et à empêcher que la réflexion dépasse cette psychologie de bottine.
Comme le dit Franky, on n'invoque pas les modes vestimentaires quand il s'agit d'abus sexuels chez les garçons. La façon de se vêtir des adolescents aurait-elle une incidence sur l'augmentation de la prostitution homosexuelle, par exemple? Dans l'esprit de ces gens-là, les abus contre les garçons sont-ils de vrais abus tandis que chez les filles, ils n'en seraient pas? La plupart de ceux qui profitent des préjugés, des mythes, de la sexualisation précoce des filles, de la tolérance face à ces abus sont des hommes (qui n'ont pas de responsabilité dans leurs actes?). C'est souvent des hommes qui les propagent aussi dans les médias. Bien entendu, c'est un pur hasard.
Vous voilà encore à perdre le contrôle de vos émotions. C'est vous qui faites de la désinformation. J'ai bien dit que vous aviez publié un article dénonçant la tenue vestimentaire des adolescentes, et vous nous le confirmez ici. Par contre, je n'ai jamais dit que l'article culpabilisait les jeunes filles ou leur reprochait de chercher à exciter les hommes. Bien au contraire. Tout le monde vous connaît bien ici. Chacun sait que, dans les articles que vous publié, il n'y a jamais de coupables que des personnes de sexe masculin. Si d'aventure il vous arrive de faire un reproche à des femmes, c'est uniquement parce que vous ne les trouvez pas assez vendus à votre credo personnel.
Si vous allez lire mon texte plus bas vous remarquerez que, dans ma critique de l'article que vous avez publié, le seul lien que je fais avec Gille est d'ordre cognitif. L'article ne questionne pas les motivations des jeunes filles mais reste cantonné à l'observation de la conduite. L'article que vous avez publié, bien sûre, passe ensuite à une analyse sociale bien différente de celle de Gille. L'article cherche principalement à anticiper les conséquences psychologiques de cette culture ambiante sur l'image que ces jeunes filles développeront de leur propre féminité. Sur ce terrain, je suis tenté de donner raison à l'auteur de l'article. Mais l'argument social de Franky est également à considérer. Les jeunes filles doivent-elles être contraintes d'adopter des comportements vestimentaires qui dépendantes des sensibilités de toute la population? Franchement, je ne sais pas. Je trouve la question complexe et je suis tenté de laisser le problème entre des mains plus compétentes que les miennes. Si vous avez la conviction que ce problème complexe n'a pas de secret pour vous. Allez-y! Faites nous voire toutes les nuances de votre analyse. Je serai un de vos lecteurs attentifs.
M. Demers, voici pour vous un courriel qui m'a été adressé par erreur. (Sisyphe)
Merci ben, M'sieur ou madame Demers, de votre bon article. Moi itou j'pense que les enfants sont pas des victimes dans les affaires des exploits sexsuels. Cé comme un juge a dit 15 ans passés pour un homme accusé d'agressssion sur une fille de 5 ans d'âge. Y a dit le juge: cé mesieur la victime, la fille a séduit lui. Pis y a acquitté la victime. Cé comme la pédophyliste, c'é une autre invention des féminisses. Voyons dont si un homme adulte va essayé d'enjauler des p'tits gars et filles, de les attiré dans son lit quand y a en masse des femmes et des hommes pour ses besoins essenciels. Voir si ça se peut que des adules en poste d'autorité ou de prestige abussent des enfants et des adolescents. Y faut qu'on s'ouve les yeux, y a des enfants et des adolescentes dangeureuses. Mon idée : que le gouvernement mène une campagne d'information pour avertir les adules des menaces contre eux par les enfants et force lé mères à mieux les éduqué, surtout les filles. Leur montré à pas aimé l'argent comme ça, à être responsables des hommes adules, à pas dire des mentries su eux. Y aurait pas des pédophylistes, des proscénètes, des prostitués et des hommes qui achète des sévices sexsuels si les enfants étaient éduqués jeunes à pas aimé l'argent et à pas mentir. Quand des hommes comme le pôvre meusieur Gillette sont victimes comme ça, moé je dis qu'on devrait créé la prison pour enfants pour les punir. Y en a une icitte qui a parlé de réseau de procénètes. Ben naif la celle qui a dit ça. La police a inventé ça pour se faire importante aux yeux de la population et les gens de Québec, qui creyent n'importe quoi, on dit oui, y a un réseau de procénètes et des menaces aux filles. Et les journalisses se sont mis dans ça. Maudit enfants, maudite police, maudits journalisses, maudite population du Québec. Y faudrait que ses gens là paient pour la campagne de difformation contre des personnalités en vue innocentes.
Ben, c'est ça que je voulais vous dire Mesieur Demers, et merci encore pour votre beau article. J'espère que vous me comprenié bien. J'ai fait mes études à l'univercité de la vie, je suis pas de ceusses qui se disent intellectualistes, je nivelle pas par en haut comme eux autres qui lèvent le nez chez les voisins en jugeant. Merci de l'opportunité de parlé su un site de la démocrassie qui met le niveau assez en bas pour que tout le monde puisse parler, y a moins de risques de tomber des hauteurs. Pis les ceusses qui comprennent pas la maniére de parler québécois y ont juste à aller sur les sites français où c'est écrit comme on parle la bouche en cul de poulet, ou ben sur la tribue des verbes où ça phylosophe des fois ou sur le sisyphe.ogre (qui a pas voulu publié ma lettre parce qu'a dit qu'elle comprenait pas. Une snobe! ) Pierre-Marc
lib5...@videocon_avenue.qc.ca (comme dans liberté 55, vq=ville de Québec, videocon_avenue= serveur des proscénètes)
P.S. Si je vous écries à 8h et demi le matin, cé que j'ai aute chose affaire après.
Je ne connais pas beaucoup de pédophile assez crétin pour écrire une chose pareille. Les seuls que j'ai rencontrés étaient si déficitaires au plan intellectuel qu'ils n'auraient pas été capables d'apprendre comment utiliser un courriel. Je parie que c'est un de vos amis qui a écrit ça pour documenter sa théorie. Je vous connais d"ordinaire plus méfiancte. Je suis surpris que vous vous soyez laissé prendre par un piège aussi minable. Il y avait de quoi avoir la puce à l'oreille. Je trouve ça aussi bien inutile. Ceux qui défendent les pédophiles sont déjà assez crétins comme ça. Aller voir les textes de Gilles. Pas besoin d'en ajouter.
L'auteur respecte les règles d'homophones :
son/sont; à/a
C'est une trop bonne maîtrise de la grammaire pour quelqu'un qui écrit, par ailleurs :
"des exploits sexsuels", "féminisses" ou "pédophyliste" et qui limite sa connaissance des "c'est/ces/ses" à l'abréviation "cé".
C'est aussi ce que je crois mais c'est amusant et quand meme un point de vue discutable . Je reconnais que selon moi on a peu de gens dans la cinquantaine qui ecrivent comme ca , mais si c'etait vrai, pourquoi pas. Le gros probleme pour moi c'est de ramener la prostitution juvenile a de la pedophilie.J'y vois deux choses tres differentes.Mais il est possible que certains confondent.
j'ecris sans accents parce que ca va plus vite j'avoue que je ne sais pas ou ils sont sur mon clavier.
Il y a, en effet, une différence importante entre le profil des pédophilies et celui des clients de la prostitution juvénile. Cependant, ici, le présumé auteur mélange les deux problèmes et utilise des rationalisations de pédophile.
c'est la que je me rend compte que mes connaissance sont tres limitees.J'avais pas discerne ce point de vue a priori.J'espere que c'est pas un vrai texte alors.
Ce texte n'est pas un vrai texte, mais il y a de vrais pédophiles qui justifient leurs actes criminels en affirmant que les enfants les ont séduits et que ce sont eux les victimes. Les pédophiles utilisent presque toujours la même séquence : Négation, minimisation, rationalisation, renversement de la culpabilité.
On dirait bien, en lisant tout le fil de discussion, que ce que j’entrevoyais comme le côté positif d’Internet (c’est-à-dire l’échange entre personnes aux conceptions et à l’instruction dissemblables) n’a pas eu lieu très longtemps.
Les disparités de classes se sont bel et bien reproduites sur ce site et M52jonq s’en est retourné chez-lui. Un pavé de plus dans la mare de la démocratie électronique.
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Pour la petite histoire, et en guise de conclusion, je dois corriger quelques perceptions erronées.
Je ne suis pas contre les victimes dans cette histoire.
Ces victimes sont les jeunes filles et pas Gillet.
Les causes de toute cette histoire ? : Complexes et multifactorielles.
Par contre, si vous lisez tout l’article en n’oubliant pas de revenir sur la première partie, vous voyez bien que, pour moi, Gillet est coupable et doit subir les conséquences engendrées par ses actes.
Ne vous en faites pas la democratie sait bien prendre les coups. Tout au plus ce qui s'est passe ici ne m'a que demontre a quel point les gens qui croient avoir l'esprit ouvert peuvent en realite l'avoir totalement ferme.
Salutations M. Demers , faites attention a vous pendant que vous etes encore sense. Fuyez ces gens si vous pouvez, ils vont restreindre votre vision du monde.Ils feront tout pour vous le montrer pire qu'il n'est.
Pour ma part je vais prendre mon temps a aller jaser avec du monde qui ont besoin d'appuis et sont d'accord pour partager des idees. Ici c'est un vase clos qui regarde tout dans la vie a partir du meme angle. C'est pas utile pour moi.
bye.
Je ne vous comprends pas. Personne n'a chassé Gilles. Je ne vois pas pourquoi il s'est sauvé au galop. Peut-être, comme il a dit, ne se sentait-il pas assez renseigné sur le sujet pour discuter. Que suggérez-vous? Que tout le monde se taise lorsque quelqu'un comme Gilles intervient sur le CMAQ? Ou mette ses gants blancs pour argumenter ? Ou encore une section pour les uns-es et une autre pour les autres ? Quant à la classe sociale, vous seriez surpris, elle est loin d'être toujours liée au type d'argumentation dont on est capable. Vous avez une drôle de conception de la " démocratie électronique ".
Personnellement, je ne crois pas que vous soyiez "contre les victimes dans cette histoire".
Vous qui vous intéressez aux discussions sur internet devriez avoir observé que l'absence de contact face à face alimente les mals entendus et les animosités. Si on n'est pas capable de supporter la confrontation, on est mieux d'aller discuter dans un café chrétien. Gille nalançait n'importe quoi. Ça lui est retombé sur le nez!
Pour ce qui est des classes sociales, je me demande s'il ne faut pas plutôt parler d'instruction. Il y a une inégalité entre les personnes instruites et celle qui le sont moins. Je crois qu'il faut respecter les gens moins instruits, mais je ne crois pas qu'il faut respecter l'ignorance.
La phrase il n'est pire ignorant que celui qui croit tout savoir est deja juste par elle meme tout un enseignement.
De la garder a l'esprit permet de rester modeste et parfois d'apprendre de meme plus petit que soi, entre autre.
Humblement,j'avoue qu'elle n'est pas de moi.
Si elle n'est pas d'un grand penseur elle vient de ma mere mais ca ne lui enleverait quand meme pas sa grande valeur.
(Ceci n'est auccunement dit avec mechancete )Il faudrait peut etre tous s'en rappeler.
Il y a des choses qui meme rendues publiques ne sont pas a la television vues par assez de gens pour meme etre pris en consideration dans les reflexions de plusieurs.
Il y a trois semaines , lors d'une entrevue a RDI un intervenant dans le demantellement du reseau de prostitution juvenile a Toronto a dit du reseau de Quebec sur lequel il avait travaille aussi ,qu'il y avait des garcons .
Il semble faux de croire que tous les jeunes impliques dans ces reseaux aient meme etes pris en charge car une jeune fille sous le couvert de la pixilation a declaree quelques jours plus tard que le reseau qu'on avait decouvert a Quebec n'etait pas le seul dans cette ville et que les autres reseaux fonctionnaient normalement meme a ce jour.Sans acheter les idees de Mme Zuniga dans le forum de la presse,on y trouve un point de vue qui peut amener une lumiere differente sur les nouvelles mentalites des jeunes.
Tous ne savent pas tout, et les informations donnees l'apres midi prennent souvent une forme differente aux nouvelles du soir. A la tele on racourcit aux nouvelles du soir mais comme on peut le constater alors, les informations ne se rendent pas a la majorite des gens qui suivent les emissions.
Sans doute est-ce parfois du au fait que la television doit eviter de parler de cetrains aspects des problemes puisqu'il ne doivent pas nuire a l'enquete.
On seraient meme en droit de se demander si les jeunes impliques dans ces reseaux se voient vraiement elles memes comme des victimes puisque tres peu d'entre elles vont accepter d'etre entendues dans les proces qui auront lieu.Je vois tres bien aussi le fait que plusieurs d'entre elles ou peut-etre meme toutes ,sont sans doute menacees de represailles si elles portent plainte.
Puisqu'il est question de M. Gilet dans ce texte, on sait a present qu'il n'est pas la tete du reseau, qu'il n'a pas use de violence, qu'il recherchait des jeunes mais n'est pas un pedophile.
Pour ce qui est des emissions de tele qui lui permettent de se refaire une image, elles ont toutes servies jusqua present a faire savoir a la population interessee par le cas qu'il n'avait pas a payer pour les fautes des responsables .
Il est vrai que le commun des mortels n'aurait pas beneficie de cette couverture mediatique.
Les communs des mortels dans les causes non mediatisees sont restes detruits et sont toujours vus comme les agresseurs par trop de gens alors que ca a ete eux les victimes. ( dont un prof faussement accuse dans ma region qui essaie de poursuivre ses accusatrices )
Ce serait une autre forme d'injustice que de faire payer a M. Gilet tous les actes poses par plusieurs individus.Toutefois je reste conscient que sur toute cette affaire, la population en general n'aura eue droit qu'a ce proces dans cette cause.
A present toute l'attention populaire sera detournee vers le proces de M.Cloutier .Puisque les autres accuses ne sont pas des vedettes je ne saurai pas qui est responsable de ce reseau ni comment il fonctionnait . A moins qu'un journaliste de RDI un bel apres midi echappe au cours d'une entrevue le nom du coupable et que je sois seul ce jour la devant la tele,chance que je me souhaite ,non parce que j'ai besoin des noms mais parce que je souhaite que l'on trouve les coupables,je ne vois pas l'interet de proces ou on ne trouverait rien ou que l'on y condamne des innocents.
On commence lentement a avoir les comptes rendus des enquetes de l'enquete sur Marc Dutroux en Belgique. Apres 2 ans , finalement ils ont decouvert que Dutroux etait aide par sa conjointe et deux de ses amis , il n'y avait apparemment aucun reseau.
Ce qui est rassurant avec les faiseurs de mode c'est que quand cette mode du "minimum" sera passee ils n'auront plus le choix de recommencer a habiller les jeunes sinon il n'auront plus d'argent a faire. C'est une mode stupide et pas tres chaude mais on a connu l'iverse il y a plusieurs annees. Peut-etre pas tant d'annees que ca apres tout , souvenez vous les fichues pattes d'elephant qui nous transformaient a chaloupe a voile au grand vents et que penser des tuques en plein ete.
C'est le fun les anniversaires des amis de Québec...
Le lundi 18 octobre 2004 au soir, huit personnes au café d'Europe à Québec célébraient l'anniversaire de François Houle, acquitté dans le dossier de la prostitution juvénile, ex-conseiller du premier ministre Bernard Landry, et ex-représentant chez National communications.
Parmi les sept amis de Houle, l'on retrouve... Robert Gillet, reconnu coupable dans le scandale de la prostitution juvénile d'avoir recouru aux services de prostituées mineures.
Autre invité... Me Suzanne Corriveau, fille de maître Lawrence Corriveau, mort, mais pourri bien avant de mourir en 2001, reconnu comme client de la prostitution juvénile de Québec depuis des décennies. Mme Corriveau; sœur aussi d'un autre Corriveau, mais qui n'est plus maître car il est en prison, pour des affaires de fraude et de blanchiment d'argent.
Mme Suzanne Corriveau a la réputation de gagner toutes sortes de causes perdues à Québec, avec certains juges...
On se souvient d'un reportage de TVA qui nous informait qu'une avocate (est-ce qu'il y a un lien à faire?) qui offrait des jeunes mineures à des juges, pour ensuite faire chanter les juges. Bien sûr... étant donné que le Québec est un endroit propre, où les bandits sont en prison, aucune enquête sérieuse de la police n'a eu lieu, et aucune enquête ou commission sur la magistrature a pour but de nettoyer les mœurs de notre «élite», parce que tout va bien.
Pendant ce temps, on a eu la visite cet été, au festival du Grand Rire Bleu, de Jean Marc Parent, humoriste de Saint-Jean sur Richelieu... Qui n'a vraiment pas de lien avec ce que j'ai écrit précédemment, qui lui aussi a au moins un anniversaire par année... Comme Bruno Landry, ex-RBO que vous avez pu voir à titre de figurant dans «Camping Sauvage», film de son ami GUYA Lepage... Mais ça, personne n’en parle!
On a de la maudite bonne radio et des animateurs crédibles, de bons humoristes, des politiciens propres, mais surtout intègres. Pis maudit qu'on a de bons juges!
En terminant... On me dit entre les branches, par quelques satellites, téléphones à ficelle, et aussi un feu fait sur la montagne où l'on me fait des signaux de fumée... que l'ancien ministre libéral Marc Bellemare a démissionné, écœuré, parce qu'il avait décidé de nommer un procureur indépendant pour faire le ménage, ça aurait eu beaucoup plus d'importance que la question du no-fault... Mais que le parti ne voulait rien savoir. C’est à croire qu’il n’y avait pas que des ministres péquistes impliqués dans le scandale de la prostitution juvénile.
Peut-être que Bellemare pense pouvoir faire mieux à la mairie en succédant au Pompadour de L’Escalalier de l'Isle D'Orléans dès novembre 2005?
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