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Famille et psychanalyse

Anonyme, Martes, Julio 1, 2003 - 11:07

BadAcid

Cet article traître de la question de la famille d'un point de vue anarchiste. Elle est influencée des philosophes du freudo-marxisme tels que Reich, Marcuse, Adorno et plusieurs autres. Elle a paru dans le journal La Fronde, le matériel médiatisé de l'Association Syndicale Étudiante. Pour vos commentaires : lafr...@altern.org . Il y a ici un rajout, qui était absent du texte publié dans le journal, à propos du lien entre postmodernisme et le masculinisme.

Tout le monde a une famille. Dans toutes les sociétés humaines, à n’importe quelle époque, comprendre la famille a été la clé de voûte d’une vision globale du rapport au monde tel que vécu par l’individu. Et ceci à tous ses stades de sa maturation. Quand l’individu n’est plus l’enfant exposé à l’enseignement des grands, il s’affirme enfin comme entité supérieure pour inverser les rôles d’autrefois. Il devient dominant, adulte, conscient et c’est alors que la famille se reforme lorsque cette même personne retrouve unE partenaire. Ainsi va la vie.

On peut lire dans le Manuscrit de 1844 de Marx :
« La femme considérée comme une proie et comme un objet qui sert à satisfaire la concupiscence collective exprime la dégradation infinie de l’homme lorsqu’il n’existe que pour soi, car le mystère du rapport de l’homme à son semblable trouve son expression non équivoque, décisive, ouverte, dans les rapports de l’homme et de la femme et dans la manière d’aborder ces rapports génériques naturels et directs. »

Parler de la famille, si nous admettons que l’éducation est plus qu’un réseau étatique(1), c’est présenter la pierre angulaire du système pour accéder aux bases de la reproduction idéologique. D’abord parce que, comme Marx l’a dit précédemment, les rapports de sexe symbolisent toute l’humanité, face à face, nue. L’enfant est le fruit de ce contact et, en tant que produit, il sera manipulé expressément par ses supérieurs intellectuels, c’est-à-dire cette autorité primaire : les parents.

Cet article se veut une recherche influencée par les philosophes du freudo-marxisme. Pour des questions évidentes d’espace et de temps, une masse de sujets ne seront pas discuté avec toute l’attention qu’ils méritent. La réflexion doit être continuée dans un prochain article complémentaire où j’exposerai plus en détails certaines facettes de la famille à travers certaines études historiques, une présentation de Marcuse et quelques théories marxistes complémentaires. Mon travail de recherche n’est pas fini.

Réflexion d’introduction

Ici, au cœur de la civilisation judéo-chrétienne, rares sont ceux et celles qui peuvent s’exclure historiquement de la cellule familiale de base. Cette cellule pose les premières prémisses de catégorisation sexuelle dans la psyché de l’enfant; cet enfant qui examine les différences entre son père et sa mère et qui les extrapole en modèles condensés. Compte tenu la détermination primaire que la famille exerce sur l’enfant en jeune âge, les représentations sexuelles de sa famille tachent pour le restant de sa vie l’être dans sa mémoire. Les moments orientés par les parents, vus de l’intérieur institutionnel par l’enfant, sont nombreux et confèrent une première couche d’événements à une mémoire fraîche.

La famille est omniprésente, tentaculaire, culturelle, elle se reproduit constamment à l’intérieur des structures socialement construites, elle est relativement stable dans sa maniabilité car la tradition prétend toujours à la permanence devant un système dynamique et flexible qui veut imposer ses droits d’élévation. La famille s’est adaptée à tous les systèmes autoritaires connus au prix d’une lutte inachevée pour l’auto-conservation, où la peur a envahi l’ensemble de l’expression humaine dans la cellule de base, toutes classes confondues. Toutes les politiques intérieures, pays ou communautés, donnent une grande place rhétorique à la famille et les clivages naturels associés à elle. Un discours sur la famille a fait gagner un nombre impressionnant d’élections aux bourreaux du monde.

Les théories anthropologiques

Il a existé, selon quelques théories assez répondues en anthropologie, des sociétés où les pères ne pouvaient reconnaître leurs enfants du lot de la tribu. Une période historique où les hommes n’ont pas qu’une partenaire unique, mais plusieurs relations. Même chose chez les femmes. Les rapports sexuels règnent alors sans entrave. Il n’a pas d’interdiction limitative, mises à part évidemment les restrictions déterminées organiquement. À cette époque ancienne où les pères ne reconnaissent pas leurs enfants - ils ne les distinguent pas - le nom de l’enfant est celui de la mère. Les institutions de la reproduction sociale sont matrilinéaires, donc l’idéologie est d’abord féminine. Les liens de l’enfant s’étendent jusqu’aux autres femmes de la tribu qui l’éduquent, le surveillent et l’aiment. Cette période est appelée le communisme primitif, une hypothèse qui rend, en principe, possible un nouveau renversement dialectique de l’autorité non légitime. Le patriarcat, qui nie le plaisir possible à partir du corps et lui justifie répression, peut être nié à nouveau s’il en a déjà été autrement. Un possible retour des choses.

La sexualité joue un rôle économique moteur dans le clan du communisme primitif : elle est abondante, visible et primaire. Toute tentative de renier cette période est un refus de la sexualité comme forme motrice et inconsciente du biologique, comme nécessité organique de l’espèce dans ses objectifs unitaires d’existence.

« L'étude de l'histoire primitive nous révèle des conditions où les hommes vivent en polygamie et leurs femmes, simultanément, en polyandrie, et où les enfants communs sont d'ailleurs considérés, pour cette raison, comme leur étant communs, conditions qui subissent elles-mêmes toute une série de changements avant de se résoudre finalement dans le mariage conjugal. » (2)

À ce moment crucial de l’humanité, on peut proposer l’idée que la propriété est absente, diffuse : elle est plutôt un anachronisme. Plus tard, la tribu exercera une propriété collective rendue possible par les mariages collectifs, les cérémonies et le langage de plus en plus développé : les premières tribus humaines sont, en soi, des familles consanguines sur lesquelles le sort de l’humanité repose. Elles se mélangent de l’intérieur constamment. Dès la formation de la propriété de groupe, une organisation sociale a fait son apparition pour tenir les comptes, pour gérer les ressources : les bases de l’État.

La famille hiérarchique, elle, apparaît au moment où les enfants et les femmes sont utilisés sous forme de marchandises, d’investissement libidinal unidirectionnel sous le joug de l’homme. La monogamie est probablement associée à une propriété familiale primitive. Les hommes ont pu développer un système de domination plus poussé qu’avec la famille nucléaire close, qui leur permettait la gestion d’une propriété des ménages et l’utilisation de sa plus-value : la femme devient ainsi cet objet de plaisir, cette petite poupée de chiffon des imageries populaires et commerciales. L’enfant est cet investissement, ce produit, dirigé unilatéralement.

La famille patriarcale est issue du système pyramidal - celui des chefs - où le lien divin est entretenu par un homme, représentant officiel des dieux sur Terre. C’est la figure ancestrale et autoritaire du père. L’institution maritale monogame dérive des premières institutions religieuses de masse en tant que matière première - aliénation première dirais-je - pour développer un système économique de domination complet, sexiste, avec les composantes qu’on lui connaît aujourd’hui : c’est une modalité primaire de la propriété privée, une base territoriale exercée par une cellule élémentaire, première usine de fabrication en série et de catégorisation sexuelle dans les psychés, la famille patriarcale.

La propriété privée est probablement d’abord celle d’êtres humains sur d’autres êtres vivants, ou plutôt sur l’externe en général. Le processus de transformation entre matriarcat et patriarcat est grandement déterminé par des facteurs économiques, comme la satisfaction en nourriture, les pressions des changements climatiques, les techniques disponibles, les pénuries généralisées qui ont entraîné des guerres de tribus incessantes. Une sexualité subalterne, dénaturée, conflictuelle et mutilée a touché l’ensemble des individus au moment où les guerres interfamiliales s’engageaient, dans une lutte contre l’extérieur. Cette lutte intestine est simultanément une guerre contre soi-même, à travers la négation du plaisir; les restrictions ont nécessité des adaptions sociales : la division du travail est apparue dans une friction entre besoins et possibilités. Traditionnellement, depuis les bouleversements en question, les femmes éduquent cycliquement les enfants et les hommes s’aventurent linéairement sur le monde. Les séparations sexuelles se heurtent aux mutations économiques toujours plus totalisantes sous l’égide protectrice du pouvoir masculin qui veut faire disparaître symboliquement la femme du système politique, en l’intégrant malgré tout à l’exploitation économique des ressources humaines.

Par ailleurs, la société proprement patriarcale s’éveille avec son fardeau de répressions continues. Dans un climat de mutation - conditions forcées, environnement hostile - les nouvelles autorités se développent et imposent peu à peu une éducation en concordance avec la nouvelle situation autoritaire, associée aux nécessités primaires de la spécialisation sexiste du travail. Pour ce faire, cette autorité doit premièrement mutiler les individus afin de les soumettre efficacement. Faire souffrir pour mieux contrôler. On mutile leurs sexes, leur plaisir, leurs connaissances, leurs rapports sociaux. On forme les hommes à la guerre, à la gestion politique et à la religion. Les subalternes féminines survivent comme agentes de reproduction et d’éducation. La jalousie du mâle apparaît dès lors comme une valeur civilisationnelle associée à la naissance de la propriété privée, au règne des dominants sur son territoire et sa marchandise (femmes, enfants, ressources naturelles, etc.), à la protection paternaliste des faibles qui entraîne leur exploitation.

« Toutes les grandes époques de progrès humain coïncident plus ou moins exactement avec des époques d'extension des sources d'alimentation. » (3)

En suivant cette logique, on peut affirmer que la famille nucléaire n’est pas un modèle éternelle, il en a déjà été autrement. La monogamie n’a pas toujours été la règle sociale : elle est apparue en lien avec des changements historiques dans la condition humaine. L’apparition des restrictions sexuelles, le patriarcat, est un moment critique pour saisir les origines de la répression et de la névrose universelle.

Questionnement sur les fondements familiaux

Dans la relation sexuelle d’un homme avec une femme, il s’agit de reconnaître les processus économiques d’origine interne qui expliquent la tension toujours omniprésente, cette envie, ce désir institué envers l’autre. Il faut détecter les fonctions de ce lien qui dégage de lui-même les origines de la domination et, de fait, qui est possiblement de nature sexuelle à la base. Deux éléments sont ici en jeu : la gestion libidinale du sujet, à travers le plaisir que procure l’apaisement des tensions, et l’auto-conservation de l’espèce dans l’acte de procréation. Le mariage s’enchaîne essentiellement à ces deux économies complémentaires.

L’énergie sexuelle, comme toutes les énergies observables dans leur mouvement, possède ses propres fonctions au sein de l’organisme humain : accumulation, remplissage et décharge. Comme la rétention de la vessie, le cerveau accumule la libido pour finir par le sain éclatement. Cette énergie doit pouvoir se réguler dans un réseau, un mécanisme de satisfaction menant à bien la psyché de l’individu dans sa quête de sens. Tout le monde a des pulsions sexuelles. Peut-être est-ce la base du mariage : l’équilibre psychique des énergies libidinales - nous pourrions même dire organiques – de l’être? Donc, dans la liaison amoureuse, il y a toujours cette base matérielle primaire qui explique l’apparition des discours d’amour. Nous ne disons pas ici que l’individu ne veut que du sexe comme première motivation dans sa liaison, mais plutôt qu’il n’y a pas de relations sociales pour elles-mêmes. Les relations amoureuses ont leurs fonctions sexuelle, économique et culturelle, toutes indissociables les unes des autres. La pulsion humaine – essentiellement sexuelle - explique la recherche continuelle de liaisons d’amour : elle explique la sociabilité naturelle du sujet.

L’importance d’une sexualité épanouie n’est plus à faire. L’abstinence sexuelle, mais aussi l’abstinence d’ordre alimentaire ou culturelle, mène l’individu à une détresse interne, une conflictualité intense qui remanie l’ensemble de ses sensations et demande des refoulements intensifs, des canalisations. L’abstinence est une répression, une autorépression inculquée chez certaines personnes qui ne réussissent pas à avoir un certain plaisir naturel dû à des mutilations antérieures souvent associées aux interactions parentales à travers la répression de la sexualité, mais aussi à travers la morale conservatrice enseignée par les parents. Cette incapacité est malheureusement répandue. C’est ce que Reich appelle la misère sexuelle. Il n’y a pas de santé mentale là où les relations sexuelles, les choses naturelles, sont interdites, réprimées et camouflées derrière de longues phrases de patriarches, de scientifiques et autres idéologues. Aujourd’hui, dans l’industrie culturelle, il y a une quantité impressionnante d’images sexuelles associées à la jouissance, abondance de clichés, mais aucune libération sexuelle véritable. La quantité ne se transforme pas toujours en qualité.

Pour comprendre cette aliénation civilisationnelle (la négation de la sexualité), nous voulons trouver des pistes culturelles éclairantes et particulièrement les bases historiques de cette transformation, les motivations qui s’y rattachent. Voilà pourquoi les hypothèses sur les sociétés matrilinéaires. La théorie freudienne, malgré qu’elle écarte le modèle féminin naturel, nous est d’un grand secours pour avancer l’hypothèse selon laquelle la civilisation est basée sur la répression des instincts afin de rediriger l’énergie sexuelle à d’autres fins plus conscientes mais secondaires : la culture. Mais quelle culture associer à l’impossibilité de jouir? Celle de la besogne maladive, chronique et quantitative, celle des classes sociales subordonnées aux dogmes économiques? L’apparition des classes sociales aurait donc un lien avec l’impossibilité de jouir?

De la mutilation inconsciente

La mutilation des enfants et de leurs systèmes réceptifs laisse des cicatrices mentales. Chaque geste parental influe sur le développement de l’organisme et individualise chaque personne dans une totalité historique unitaire; voilà bien une découverte essentielle de la psychologie de Freud. Elle est sociologique à la base, vivante et dynamique. La blessure de la pénurie est éternelle. Elle laisse des cicatrices profondes dans les psychés, à l’interne : ce sont des traces mnésiques. Hegel se trompait en proposant que les attaques mentales ne laissent pas de traces. Le champ de l’invisible a également son influence dans le développement des forces matérielles. La souffrance est matérielle et fait partie de la réalité de chaque individualité dans sa conflictualité. Les blessures mentales possèdent leur propre réalité matérielle dont nous ne repérerons jamais le gène.

On peut affirmer qu’une difficulté lourde en vue d’un changement qualitatif de la société se retrouve au sein des psychés ayant des antériorités mutilées. Tout le monde a été mutilé, mais à divers degrés. Le conditionnement qu’entraîne une mutilation sociale généralisée chez l’individu modifie à jamais son rapport au monde, son authenticité radicale. Par le principe de conditionnement classique, la mutilation d’un sens entraîne la transformation négative des instincts en vue d’une réorientation sociale prédéterminée. S’installe ainsi une dialectique négative devant ses semblables, devant l’Autre et ses réalisations, un conditionnement négatif, familial, qui fausse notre vision du monde en le restreignant à la souffrance dès la petite enfance. La famille, dans ce modèle répressif, représente une courroie de transmission entre la base matérielle de satisfaction des besoins élémentaires de l’enfant et la reproduction des morales autoritaires prescrites en société. D’un côté, on mutile, de l’autre, on aide : c’est la survie, l’esclavage. L’ouvrage de la civilisation répressive est poursuivi par une série d’institutions féroces tout au long de l’existence de l’individu. L’éducation ne s’arrête jamais, sauf au seuil de la mort chez l’individu; pour la civilisation, elle se perpétue encore et encore grâce à la famille. La famille instituée est un fil conducteur de cette transmission générationnelle des névroses.

Évidemment, la révolution demande des énergies vives qui casseront les bases de l’aliénation interne en développant de nouvelles communautés capables d’offrir l’essentiel associé à la famille traditionnelle du vieux monde, en y abstrayant bien sûr le rapport improductif et malsain d’autorité; abolir le lien pyramidal dans une communauté d’éducation plus large, plus libre. L’enfant mutilé est quasi-perdu, sans ressources pour aller vers un autre monde à partir de sa propre personnalité, sans appui. Il lui faut faire un travail long, interminable, en contact avec des individus sains (4). Ceci explique pourquoi il n’y a pas foule révolutionnaire : les gens sont policiers pour eux-mêmes. La répression est intériorisée; la mutilation se perpétue dans les structures internes.

Quelques conceptions psychanalytiques

Il existe une masse de préjugés quant aux théories freudiennes. Nous ne ferons aucune interprétation du malaise face à cette théorie. Nous présenterons seulement quelques points décisifs qui demandent un regard de par les étudiant-e-s (5) qui souhaitent retirer les aspects théoriques éminemment révolutionnaires de la théorie freudienne.

« Les doctrines de la résistance et du refoulement, de l’inconscient, de la signification étiologique de la vie sexuelle et de l’importance des événements de l’enfance sont les parties essentielles de l’édifice psychanalytique. » (6)

Freud se veut le premier investigateur scientifique de l’individu. Avant lui, les médecins aliénistes ne faisaient que de la morale : suggestion, traitement sauvage et hypnose. Avant, il n’y avait que la science du comportement à détermination transcendantale.

Freud dépassa les limites de son époque et s’avança vers les zones nébuleuses. Le matériel de la psychanalyse, c’est l’individu qui reflète l’histoire de l’espèce. Dans la première topique de Freud, l’individu est un appareil personnifié - un système - de mémoire ayant sa propre histoire et réécrivant sans cesse sa vie à travers ses nouvelles associations. La construction de la théorie psychanalytique débute avec les formulations des systèmes psychiques, dualistes et dynamiques. D’une part, très profondément, se retrouve les fondements de l’inconscient, des sédiments, des traces mnésiques qui résistent aux époques et se rendent en interaction, de manière latente, aux autres sous-systèmes internes. Pour Freud, le rêve est la voie royale de l’inconscient. L’inconscient est le lieu de la condensation des refoulements continuels qui, à l’occasion, peuvent réveiller des traces profondes lorsqu’elles rentrent en contact avec un symbole associé historiquement avec une situation antérieure. Les composantes psychologiques relativement fixes renvoient à une pluralité de facteurs traumatisants. Il y a donc surdétermination dans la psyché.

Pour ce qui est de l’inconscient stable, nous sommes en accord avec les critiques formulées par l’École de Francfort par l’entremise de l’écriture d’Adorno : « une structure sociale donnée n’exprime pas des tendances psychologiques spécifiques, elle les choisit. Contrairement à la grossière thèse freudienne de l’atemporalité de l’inconscient, il est certain que des composantes historiques concrètes entrent déjà dans l’expérience infantile précoce. » (7) C’est pourquoi nous pensons qu’il existe un lien historique qui lie la partie latente du système psychique, l’inconscient, et la civilisation moderne à travers l’institution familiale.

Deuxièmement, le préconscient individualise les stades de développement naturels du jeune enfant dans ses relations avec l’extérieur, et particulièrement avec sa famille. C’est la jeunesse du sujet dans ses conflictualités qui façonnera les prémisses de sa conscience future jusqu’à sa formation finale, c’est-à-dire jusqu’à l’intériorisation relative des règles de la civilisation en vigueur et la recherche consciente du sens de la vie. Le principe de surmoi, de la civilisation, c’est le non-être.

L’inconscient, corpus des pulsions sexuelles élémentaires, demeure la plus grosse partie de ce système psychique et la conscience de l’individu, la plus petite. La conscience est la pointe de l’iceberg psychique.

Freud est un ennemi objectif des croyances religieuses en insinuant que « les deux principaux points des programmes de pédagogie actuels ne sont-ils pas de retarder le développement sexuel de l’enfant et de le soumettre de bonne heure à l’influence de la religion? » (8) Vendu à la science qui mène son combat pour le règne de la raison instrumentale, Freud attaque toutes les formes archaïques de représentation du monde. Freud propose l’hypothèse selon laquelle les énergies sexuelles sont refoulées pour la rediriger vers des idées religieuses et culturelles. Pour lui, l’énergie sexuelle reniée est un outil de contrôle et de falsification exercé par la civilisation moderne. Reich reprend cette hypothèse fructueuse sur l’étiologie des névroses.

« Je suis partisan, dit Freud, d’une vie sexuelle infiniment plus libre, bien que j’aie fort peu usé moi-même d’une telle liberté. » (9) C’est qu’il a découvert un point nouveau, occulté par les hautes élites intellectuelles, qui explique cette recherche de liberté : la sexualité infantile dans ses stades préconscients. Au 19e siècle, les élites croient, conformément à l’idéologie bourgeoise, que la sexualité est le propre de l’adulte. Freud attaque de plein fouet cette conception et il veut libérer de la répression les jeunes gens auxquels on refuse une sexualité naturelle, et spécialement les jeunes filles. Très tôt, c’est dans les composantes sexuelles de l’être que Freud recherche la cause des maladies psychiques, selon les modèles en vigueur à son époque et élaborés par des scientifiques comme Breuer. Le fait que la sexualité surgisse brusquement au premier plan d’un système théorique, comme pulsion de base et comme explication possible des névroses de masse, en a choqué plus d’unEs, sans oublier l’impossibilité que décrète Freud de la maîtriser facilement par l’usage de la conscience. Freud blesse le culte de l’identité du sujet bourgeois.

Dans la deuxième topique de sa pensée, Freud élabore davantage l’aspect culturaliste de sa vision du monde. Nous reviendrons sur certaines idées dans un prochain numéro de La Fronde. Il n’existe pas de problématique sociopolitique en tant que tel chez Freud, mais plutôt un abord à la culture en lien avec ses hypothèses en termes de désirs individuels. Voilà une faiblesse à laquelle s’attaquent les freudo-marxistes qui souhaitent une analyse systémique.

C’est en ces termes que Freud parle, comme nous au début de ce texte, de la naissance de la civilisation répressive : « Ne possédant pas assez de moyen de subsistance pour permettre à ses membres de vivre sans travailler, la société est contrainte de limiter le nombre de ses membres et de détourner leur énergie de l’activité sexuelle vers le travail. » (10) C’est le point théorique que nous avons largement présenté un début de cet article. Nous ne pouvons passer sous silence le fait que Freud était un grand pessimiste politique. Marcuse dit que « la notion selon laquelle une civilisation non répressive est impossible est la pierre angulaire de la théorie freudienne ». Partant de cette conception, Marcuse, dans Éros et Civilisation, tente de dépasser les frontières classiques de cette théorie pour entrevoir les prémisses d’une civilisation érotique et libre que permet le niveau actuel de la production matérielle, en suivant les possibilités de l’automation qui contrecarre la pénurie d’autrefois et la nécessité de la répression des instincts. Marcuse veut politiser l’exigence au bonheur et redonner enfin un sens à l’utopie à partir des hypothèses freudiennes, en les pervertissant. Notre prochain article se concentrera davantage sur Marcuse et ses amis de l’École de Francfort.

La famille pour Reich

« La valeur attribué à la famille devient donc la clé de l’appréciation générale de chaque type d’ordre social. » (11)

Reich continue la réflexion sur la famille, les structures autoritaires de la famille patriarcale représentées par la pyramide fondamentale père – femme – enfant. Il y voit l’origine de l’autorité. La famille répressive n’est pas le lot exclusif des classes possédantes, car, comme chez Marx, Reich croit que l’idéologie dominante est toujours celle des classes supérieures : c’est son origine, mais elle se transmet au sein des mœurs prolétariens, par le bas. Nous parlons ici de la famille bourgeoise reflétée dans une sorte de famille générique.

« Le type prédominant de famille, la famille des classes moyennes, dit Reich, s’étend bien au-delà de cette classe même, autrement dit, le type petit-bourgeois de famille vaut non seulement pour la petite bourgeoisie, mais aussi pour les classes supérieures et même pour la classe ouvrière. » (12) La question de la famille autoritaire dépasse la question des classes sociales en ce sens qu’elle est le lieu incubateur de toutes les classes.

La famille comme usine de reproduction d’idéologies
Selon Reich, c’est la famille qui transmet les traits majeurs sur l’individu et les valeurs prescrites socialement. Grâce à une éducation particulière de ses parents, l’enfant absorbe progressivement – selon ses stades d’évolution - la somme des inhibitions quotidiennes vécues à proximité. On parle ici de transmission d’idéologies. L’enfant absorbe le dit et le non-dit. La famille est le centre des inhibitions infantiles, sexuelles. Une masse de sujets ne peuvent être abordé en présence de sa famille. De même, l’enfant garde un contact fautif, craintif, avec le reste des institutions externes, de biais, par sa structure réactionnelle – pour ne par dire caractérielle (13) - construite. L’état psychologique des parents marque l’enfant de façon permanente.

Pour Marcuse, « l’organisation répressive des instincts semble être collective et le moi semble être prématurément socialisé par tout un système d'agents et d'agences extrafamiliaux. [...] Les experts des mass-médias transmettent les valeurs exigées : ils offrent une parfaite éducation de l'efficacité, de la ténacité, de la personnalité, de la rêverie et du sentimentalisme. Contre une telle éducation, la famille n'est plus capable de lutter. » (14) C’est pourquoi Marcuse accorde une prédominance primaire au règne du capitalisme et ses effets sur la famille. Il nous semble plutôt qu’il ne s’agit pas d’une sphère (économique, bouffe) sur une autre (familiale, sexe), mais plutôt d’une imbrication historique et contingente de la domination à travers plusieurs institutions dans leur médiation. La famille autoritaire n’est pas apparue à l’âge du libéralisme; ses modes de fonctionnement se sont tout simplement adaptés aux nouvelles conflictualités dans les rapports sociaux.

En n’accordant aucun droit économique aux femmes et aux enfants, le père devient un symbole de protection primaire. C’est le patriarcat appliqué. Il devient cet interprète de la société répressive, ce juge, un être d’autorité devant ses possessions maritales. Il est le chef, la référence en terme de conceptions politiques et sociales. Le père, dans la famille patriarcale, est le fier représentant de l’État et de ses mesures de contrôle. Il est au sommet de la pyramide et, en échange de sa protection, ses sujet-objets lui doivent obédience, loyauté et franchise. Parfois, c’est la propriété privée, d’autres fois collectives, mais l’exploitation pyramidale de la famille demeure. Les différences historiques de la famille n’ont pas, à ce jour, su enrayer sa forme autoritaire, potentiellement changeable d’un point de vue révolutionnaire. Le niveau symbolique de cette autorité, c’est-à-dire le triangle de reproduction, le lien parental semble se multiplier inconsciemment par la reconstitution générationnelle.

Pour bien maîtriser ses sujets, l’homme de cette pyramide enseigne les morales conservatrices et applique une sévère répression sexuelle. Il insère la morale religieuse au plus profond des individus, ou une autre création spirituelle plus moderne. La négation de la sexualité, en jeune âge, modifie la libido de l’enfant et la canalise à d’autres escients, orientés par les autorités pour éviter les manifestations agressives. L’énergie sexuelle est plastique et servile, mais essentiellement satisfaite ou non (15). Elle peut se retourner contre ses propres refoulements : on appelle cet événement le retour du refoulé. Voilà un processus qui provoque, selon Reich toujours, des névroses importantes chez les adolescents qui méconnaissent les réalités sexuelles saines et dérivent inéluctablement vers les substituts éphémères de l’industrie culturelle (la pornographie).

Dès la jeune enfance, on inculque à l’enfant une répulsions aux zones érogènes - on les réprime lorsqu’il les touche et on en parle d’une manière négative à certains égards - afin d’augmenter graduellement le sentiment de culpabilité et de crainte face au plaisir corporel. On éduque les filles d’une manière, les gars autrement. Les habillements reflètent le contrôle esthétique de l’enfant L’étendu de la misère sexuelle est toujours ainsi configuré, très jeune et avec une précision très méthodique : c’est une mutilation inconsciente de la famille.

La situation économique transforme la famille. Elle n’est plus assez forte à ce jour pour influencer la situation économique. Le refoulement systématique des pulsions sexuelles chez les enfants est une conséquence d’un ordre social (économique et culturel) falsifié, un processus secondaire, qui peut être aboli historiquement. Le but premier de la répression sexuelle est donc d’assurer l’assujettissement des enfants face à l’autorité du père, parce qu’une sexualité vivante, interactive et en évolution éloigne nécessairement la peur du plaisir vécu directement comme réalité possible.

La morale bourgeoise

Reich dénonce la morale sexuelle qui offre les meilleurs parfums d’hypocrisie active dans l’intelligentsia bourgeoise. Il y a un tel décalage entre la réalité sexuelle, organiquement intégrée sous forme de pulsions chez l’individu, et la morale tranchante et répressive en vigueur que la stabilité sociale est de plus en plus menacée par l’irrationnel de la situation. En masquant le caractère réel et sain d’une sexualité active, les idéologues de la culpabilité poussent la crise, agrandissent l’écart à des niveaux jamais atteints. De là découle l’analyse du fascisme chez Reich. (16)

L’étiologie sexuelle des névroses est une conception clairement reichienne. Freud l'avait soutenu dans sa jeunesse. La cause de la névrose trouve ses racines dans la sexualité. Cet élément de l’analyse psychanalytique avait beaucoup influencé Reich dans ses développements intellectuels, au moment où la sexologie l’intéresse énormément, suite à l’obtention de son diplôme de médecin. Cet élément théorique avait incité Reich à rejoindre les psychanalystes de Vienne, comme Freud avait été conquis par une théorie sexuelle de l’hystérie dans le schéma de Breuer, aux frontières de la médecine aliéniste du 19e siècle. La sexualité semble être un point de ralliement de ces deux hommes.

Il s’oppose au dogme selon lequel la sexualité sert essentiellement à la procréation. Il voit dans l’orgasme une fonction de décharge psychique qui mène au bonheur; c’est la question du plaisir sexuel refoulé fortement à cette époque, et encore à ce jour. Pour lui, le dogme de la procréation explique la glorification de la famille, le caractère sacro-saint du mariage, le refus de reconnaître la sexualité infantile, la prohibition des relations extraconjugales, l’interdiction des relations érotiques entre enfants et l’illégalisme de l’avortement.

Théorie de la postmodernité et le sujet post-Freud

Aujourd’hui, quelques prototypes de la postmodernité peuvent se prévaloir d’une éducation où l’absence du père est une réalité, mais le modèle patriarcal reste le même. Il est en vigueur et la répression demeure la base de notre éducation. Le père, s’il est absent, est réifié institutionnellement à d’autres sphères de pouvoir : il mène toujours son combat pour l’exclusion des femmes du pouvoir, mais ailleurs et avec une ardeur nouvelle (17). Qu’on se le dise : les critiques de la postmodernité ont bien beau avancer tout ce qu’ils et elles veulent, la famille est toujours ce point central des psychés individuelles et le patriarcat est encore tout puissant. Être en avance sur son temps n’est pas toujours un gage de qualité supérieure!

Réflexion

Nous sommes une matière familiale, plastifiée selon les schèmes modernes de la production/reproduction. En tant que volonté révolutionnaire, nous devons prendre conscience de cet apanage symbolique intégré verticalement au sein de nos mentalités. C’est pourquoi la possibilité de transformer immédiatement la famille en constituant des corps collectifs libertaires peut se révéler être à double tranchant : une éducation subjectivement meilleure en théorie, dans un monde de pressions constantes du système capitaliste avancé qui nous empêche d’avoir un plaisir, peut se transformer en illusion totale. Nous sommes mutilés et nous reproduisons la répression. Quoiqu’il en soit, la construction de situations proche de notre idéal est notre unique espoir de vaincre la mort.

La méthode première pour soumettre un être à l’autorité est de le faire souffrir par les mains de cette autorité. La mutilation de ses sens, et particulièrement la répression sexuelle, va permettre un conditionnement négatif des zones érogènes de la victime, une expérience qui reste gravée à sa mémoire. Plus rien ne peut alors être comme avant. Le rapport au monde de la victime est progressivement éloigné de ses manifestations sensitives naturelles et devient un rapport à la domination, un rapport de force. L’enfant est ici en maturation : il ne peut répliquer d’une manière satisfaisante devant les acquis-mutilations de la gente supérieure. L’impossibilité de révolte immédiate chez l’enfant, due à son niveau de développement, élève rapidement le sentiment de culpabilité à des seuils névrotiques et insère ainsi l’enfant à tout jamais dans une réalité externe incontrôlable et répressive dont les forces ne cesseront d’augmenter avec le temps. Bientôt, l’école, le travail et la vie amoureuse, mais toujours la même souffrance.

Le modèle de la famille est ancien et il laisse ses traces partout. Toute tentative de compréhension globale du phénomène reste dans le spéculatif, mais demeure un exercice valable face au réel englobant. Nous sommes intégrés dans un système dès la petite enfance, jusqu’à la mort. L’affranchissement véritable de l’institution familiale, sur demande, n’est que symbolique devant son histoire et les traces mnésiques qu’elle laisse sur les psychés, les cicatrices et leurs ramifications diverses telles que l’État; l’appareil de contrôle s’étend jusque dans votre propre caractère! Nous sommes inévitablement victimes, étant jeunes, devant une famille inconsciente et agissante qui a depuis longtemps intériorisé, digéré et chié le modèle prédominant. Adorno, dans Minima Moralia, parlait ainsi de cette dégénérescence des gens : « Lourds de sommeil, les gens sont disponibles à tout moment et prêts à tout sans résistance, à la fois alertes et inconscients ». De même, les individus les plus incapables peuvent faire un enfant et se revoir grandir!

La maturation est un long processus historique et casser les liens avec le passé est tout simplement impossible, inconcevable. Le plus profond des dormeurs ressent les pressions existantes du système et résiste face au négatif potentiel. La praxis du dépassement exige une compréhension du passé, une théorie des cicatrices de la domination, un regard critique et un usage du négatif. La connaissance est une arme dans un monde où elle devient chaque jour un peu plus un non-sens manifeste.

Seule l’indépendance économique peut élargir le gouffre et transformer la situation familiale, mais la cassure finale avec la famille, au niveau psychologique, demeure impossible dans l’immédiat. L’indépendance, dans le capitalisme est une utopie. Soyons utopien-ne-s et dégageons les champs du possible quant à la mort de la famille.

Les sédiments du passé sont profonds; une zone de flou agissant, de processus latents qui se réactivent chez l’individu grâce aux perceptions quotidiennes. L’activité mentale est a priori une faculté de la mémoire, de l’histoire. Il en faut beaucoup pour en finir psychologiquement avec l’archétype familial : un long deuil. La révolution sera ce deuil final où la joie dominera. Il ne s’agit pas naïvement d’haïr consciemment votre famille, il vous faudra traverser le deuil d’un changement de rapport. Le prix du changement est une tendance historique lourde.

BadAcid

1. Et même! nous rajouterions qu’il s’agit d’une aiguille dans une botte de foin.
2. Engels, L'origine de la famille, de la propriété privée et de l'Etat, www.marxists.org
3. Morgan, Ancient Society, Londres, 1877. À noter que cette formule peut être critiquée amplement, mais elle traduit malgré tout le lien entre transformation économique et autoconservation de l’espèce.
4. Ce concept est vide pour le moment.
5. Étudier au sens que l’ASÉ y donne : vivre sans temps mort.
6. S. Freud, Ma vie et la psychanalyse, p.50
7. Theodor W. Adorno, Zum Verhältnis von Soziologie und Psychologie, Frankfurt Main : Suhrkamp STW, 1995, pp.74-75
8. S. Freud, L’avenir d’une illusion, Denoël et Steele, 1932, Paris, fin du premier chapitre
9. S. Freud, Correspondance, Gallimard, 1966, p.82
10. S. Freud, Introduction à la psychanalyse, Payot, p.291
11. Wilhelm Reich, La révolution sexuelle, p.110
12. Wilhelm Reich, La révolution sexuelle, p.114
13. L’analyse caractérielle est un concept élaboré par Reich. C’est sa seule contribution réelle au mouvement de la psychanalyse et particulièrement à la thérapeutique. Ce concept n’a pas été retenu dans la thérapeutique moderne. On peut affirmer que la contribution de Reich aux thèses freudiennes est plutôt au point mort.
14. Herbert Marcuse, Eros et civilisation contribution à Freud, traduit par Jean-Guy Nény et Boris Fraenkel, Coll. Argument, Ed. de Minuit, 1963
15. La puissance orgastique est cette faculté pour s’abandonner totalement à l’acte sexuel afin d’apaiser un maximum de tension accumulée au sein de l’organisme. Pour Reich, un nombre très restreint de personnes peuvent jouir de tout leur corps.
16. Voir son livre La Psychologie de masse du fascisme
17. Comme en témoigne le mouvement masculiniste.

Site consacré à la Théorie critique de l'École de Francfort.
www.chez.com/patder/
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Asunto: 
Belle article de désinformation dans le
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Mar, 2003-07-01 12:12

but de discréditer ce que les hommes et on ose siter Marx

l'homme sur qui le communisme c'Est fondé le démon qui dis que la religion est l'opium des peuples

ce qu'on retient de son oeuvre les valeurs c'Est pas bon

nous ramenons ici tout au rapport primitif de l'homme

tu veux je te dise de quoi??

et tou ramener au plaisir.

ca mon gars ca incite a la débauche et drole a dire mais a l'insatisfaction

marx discréditer Freud en train de l'etre

sans la technologie arme machine etc la femme perd sa "force" alors ne retourne t'elle pas a l'etat primitif?


[ ]

Asunto: 
indépandance le fléau des temps moderne
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Mar, 2003-07-01 14:14

aujourd'hui on fait tous pour que les gens sois indépendant et pour qu'elle raison??

n'as pas deja diviser pour mieux regner??

on as tous besoin les un des autres indépendance n'est qu'un agent subversif

la preuve les pays tres ou il y a grande dépendance entre individus on beaucoup moins de suicide et de meutre alors qu'ils sont plus et plus démunis

comment t'explique ca??


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Asunto: 
L'indivi-dualité perdra l'humanité!!!
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Mar, 2003-07-01 19:27

Diviser pour règner, corrompre avec la sexualité, le plaisir personel au lieu du plaisir universelle... Tsé freud mon chum c'était un coké fenis qui c'est auto-psychanaliser pis qui à développer des théories selon laquelle le cul serait le centre et que tout est cause à effet!!! Tu connais-tu carl jung??? L'éleve de freud qui lui plaidait plus pour un mélange de causalité et d'acausalité???

Savais-tu aussi que les sociétés où règnait la débauche sexuelle(comme rome ou la grèce) on vu leur déclin se produire lors de l'éclatement des moeurs sexuel???

Quant à marx...
"Ceux qui complotent une Révolution utiliseront tous les vices afin de briser les structures morales, et détruire le respect personnel des personnes qu'ils veulent soumettre. Ils prêchent non seulement la subversion et l'idéologie athée de Marx, mais encore, ils enseignent aux jeunes l'inversion des Commandements de Dieu en disant que l'histoire enseigne que des Organisations ont utilisé même des dégénérés(Bush?) pour réussir, compléter, et faire avancer leurs Plans."

" DONNANT UNE ORIENTATION À LA RÉVOLTE par le fait d'identifier faussement les contraintes à la " Liberté de la Jeunesse " ; c'est-à-dire en falsifiant les définitions : (Famille-Parents-Couples, signifiera Esclavage de la Femme, et non plus, Amour ; É cole-Professeur, se reférera à Apprentissage de la Répression Traditionnelle, et non plus, Acquisition du Savoir, de l'Autonomie et des Responsabilités ; Gouvernement-Responsable du Pouvoir Politique voudra dire, Dictature de la Liberté Individuelle, et non plus, Gérance de l'Etat pour le Bien-être de la Collectivité ; Militaire sera apparenté à Abrutissement des Individus, et Police, à Répression des populations, et non plus, à Protection de la Collectivité.

Ainsi toute Autorité sera représentée comme étant un interdit à la liberté d'expression de tout individu. En détruisant de cette manière les Valeurs Spirituelles et Morales des populations, il deviendra donc possible par la suite, de suggérer n'importe quoi, y compris les Mythes les plus invraissemblables tout simplement parce que les barrières auront été détruitent."
http://www.chez.com/cible666/plan10.html

Tu trouve pas que ça ressemble à ce que tu prêche le free for all???

Asservir pare tout les vices et sévices!!!

fraternité,égalité,liberté??? des termes bien beau en apparence mais qui s'opposent tous!!! Si vous voulez que je vous expliques, demander le!!!!

Bonne méditation


[ ]

Asunto: 
Ouais pis en plus chek d'autres de tes idoles!!!ol!!!!
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Mar, 2003-07-01 20:37

Continu ta propagande brainwashing avec des fausseté bien apprise par coeur!!! VOus allez avoir l'air fin quand trop de monde vont savoir que sous votre déguisement de clown bienfaisant se cache quelque chose d'horrible!!! Une volonté d'asservir tout les gens pour qu'ils soit tous vos serviteur!!!

"En 1848, Karl Marx écrivit le Manifeste communiste, sous la direction de membres des Illuminati, pendant que le professeur Karl Ritter, de l'Université de Francfort, en Allemagne, écrivait l'antithèse de l'ouvrage de Marx, sous la direction d'autres membres des Illuminati. L'idée des Illuminati était d'utiliser les différences entre ces deux idéologies pour leur permettre de diviser un nombre de plus en plus grand de la race humaine en camps adversaires, et de les amener à s'entre-tuer, détruisant en même temps toutes les institutions religieuses et politiques.

L'oeuvre de Ritter fut continuée après sa mort par le soi-disant philosophe allemand Friedrich Wilhelm Nietzshe, qui aida à développer le racisme et le nazisme, qui devaient être utilisés pour fomenter les première et deuxième guerres mondiales.

En 1834, le chef révolutionnaire italien Giuseppe Mazzini fut choisi par les Illuminati pour diriger leur programme révolutionnaire à travers le monde, et il accomplit ce rôle jusqu'à sa mort, en 1872. Mais quelques années avant de mourir, Mazzini avait attiré chez les Illuminati un général américain du mon d'Albert Pike. Pike était fasciné par l'idée d'un gouvernement mondial, et devint finalement le chef de cette conspiration luciférienne.

De 1859 à 1871, Pike prépara un plan prévoyant trois guerres mondiales et différentes révolutions à travers le monde, destinées à amener l'accomplissement final de la conspiration au 20e siècle

Les guerres mondiales

La première guerre mondiale devait avoir lieu pour permettre aux Illuminati de détruire le régime des tsars en Russie . Un objectif que les banquiers internationaux s'étaient jurés d'atteindre depuis que le tsar avait fait échouer leurs plans au congrès de Vienne - et de transformer la Russie en un château-fort du communisme athée. Les différences entretenues par les agents des Illuminati entre les empires allemand et britannique seraient utilisées pour fomenter cette guerre. Une fois la guerre terminée, le communisme serait installé, et utilisé pour détruire d'autres gouvernements, et affaiblir les religions.

La deuxième guerre mondiale, devait être fomentée en utilisant l'opposition entre les fascistes et les sionistes politiques. Durant cette guerre, le communisme international devait s'étendre jusqu'à égaler en force le pouvoir des pays chrétiens, et une fois cette étape atteinte, le communisme international devait être refréné et tenu en échec jusqu'au jour du cataclysme social final.

La troisième guerre mondiale devra être fomentée en utilisant l'opposition entre les sionistes (les partisans de l'Etat d'Israël) et le monde musulman. Cette guerre sera dirigée de sorte que l'Islam et Israël se détruiront mutuellement, tandis que le reste des nations du globe, divisées sur cette question, seront forcées d'embarquer aussi dans cette guerre, jusqu'à l'épuisement physique, mental, spirituel et éconmique complet. Tout sera alors mis en place pour l'établissement d'un gouvernement mondial. "

http://www.prolognet.qc.ca/clyde/illumina.htm

Dis moi on dirait pas que c'est les troisièmes guerre du plan qui se prépare en israel???

Plan qui avait été mentionné avant aussi
""We shall have world government whether or not you like it, by conquest
or consent." Statement by Council on Foreign Relations (CFR) member James Warburg to The Senate Foreign Relations Committee on February 17th, l950 ""

http://www.mt.net/~watcher/nwofamousquotes.html

Tu connais animal farm de george orwell sur la conspiration pour le renversement du tzar et la suite avec staline... Tes idôles genre???

Lenine et staline, c'était de gentils hommes surement!!! Savais-tu aussi que marx critiquait le mésemploi de certaines de ses théories et qu'a la fin de sa carrière, il critiquait lui même le communisme???

Continu ta propagande..plus tu en feras, plus il se levera des gens contre ses foutaises répétes par des perroquets... L'union fait la force!!!

Ils complotent pour obtenir le contrôle absolu de ce monde, et de tout ce qu'il renferme. Ils utilisent tous les mouvements subversifs pour diviser les populations en différents camps opposés, sur les questions politiques, sociales, raciales, économiques et religieuses ; puis ils les arment, les font se battre en elles, et les poussent ainsi à se détruire mutuellement. De cette manière, ils espèrent pousser l'humanité à adopter ce processus d'auto-destruction jusqu'au moment où toutes les Institutions politiques & religieuses auront été détruites. Puis, finalment ils comptent couronner leur Chef (Roi-despote) du monde entier, et, ainsi, donner corps et force d'existence à la "" Dictature Luciférienne "" recouverte du despotisme satanique.

Ce sont des personnes exceptionnellement intelligentes que les Illuminatis choisissent dès leur jeune âge ; qu'ils éduquent ; puis endoctrinent dans l'idéologie d'un Matérialisme séculaire. Par la suite, ceux-ci sont spécialement entraînés, et rendus capables d'agir en tant qu'experts et spécialistes dans les coulisses des tous les Gouvernements : (légitimes et subversifs), aussi bien qu'à tous les niveaux du monde politique, économique et industriel, ainsi que celui des sciences sociales et du religieux.

En exercant un tel contrôle, ils (ces agents-espions des Illuminatis) peuvent ainsi persuader, ou forcer les Exécutifs à adopter des politiques qui permettront de réaliser leurs propres plans secrets en vue de la constitution d'Un Gouvernement Mondial pour lequel ils sont organisés, et même prêts à usurper les Pouvoirs

Parmi ceux qui savent qu'ils travaillent pour l'établissement d'Un Super Gouvernement Mondial, et ceux qui ne le savent pas, beaucoup ne sont pas du tout conscients qu'ils travaillent pour Satan. Ils sont pour la plupart, gagnés à l'idée du Futur Gouvernement Mondial ! Plusieurs d'entre eux d'ailleurs, n'ont même pas cherché à savoir Qui pouvait bien se trouver derrière la promotion d'une telle idée.

Ainsi, beaucoup n'ont pas réalisé que toutes les organisations avec des aspirations internationales ont été organisé, financé, dirigé et contrôlé par les Illuminatis depuis 1786."

http://www.chez.com/cible666/historiqueilluminatis.html

Arrêtons ses propagandiste qui sous des prétextes de liberté nous offre une belle cage doré et qui ne cherche qu'a diviser pour mieux règner!!!!

AHHHHH!!!!!Nonyme!!!!!


[ ]

Asunto: 
complot franc-maçon au CMAQ!!!
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Mié, 2003-07-02 17:25

hé ho
jo qui a laissé une longue torchée d'abrutissements débiles à propos des complots illuminati et autres luciférismes, tu crois pas que si tu lisais mieux les textes que tu critiques t' aurais un peu plus de crédibilité? Au moins plus que celle des théories abstracto-fascisantes à la Béret-blanc que tu déclines tout en mettant en garde contre la propagande. Si l'auteur du texte sur la famille est léniniste ou stalinien, aussi bien dire qu'il est aussi un élohim ou le dernier des sages de sion. Ca me révolte qu'autant d'abérrations(parce que ça prends de la place ces contes de fées!!)puisse aboutir jusqu'au CMAQ.
En tout cas.
C'est triste.
signé: un agent du Mossad


[ ]

Asunto: 
salut nicolas ca va
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Mié, 2003-07-02 18:21

essaye pas je t'ai reconnu


[ ]

Asunto: 
Dis moi sans rire que Ça ne ressemble pas à Ça???
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Jue, 2003-07-03 02:53

"ILS AGISSENT EN DONNANT UNE ORIENTATION À LA RÉVOLTE par le fait d'identifier FAUSSEMENT les "CONTRAINTES" de la vie à la "LIBERTÉ DE LA JEUNESSE " ; (EST-CE POUR ÇA QU'ON CONSTATE UN CLIVAGE ENTRE LES GÉNÉRATIONS...FAUSSEMENT SOUVENT ON ACCUSE LES JEUNES À TORT ET À TRAVERS D'ÊTRES LA CAUSE DE PLUSIEURS PROBLÈMES ET ON ACCUSE LES PERSONNES AGÉES DE COUTÉ BEAUCOUP D'$$$$... MERDE PREMIÈREMENT CES PERSONNES ONT PAYÉS TOUTE LEURS VIES ET ELLES DÉTIENNENT UN SAVOIR INESTIMABLE QU'ELLES POURRAIT NOUS ENSEIGNER...LA SAGESSE ET L'EXPÉRIENCE, ÇA NE VAUT PLUS RIEN??? POURQUOI ENTRETENIR CE CLIVAGE?

c'est-à-dire en FALSIFIANT les définitions : (Famille-Parents-Couples), signifiera Esclavage de la Femme,ESCLAVAGE ET NON PLUS, AMOUR!!!!; N'est-ce pas malheureusement se que scandent certaines???Heureusement d'autres ont qualifiées l'accouchement de plus belle experience de leur vie!!!

École-Professeur, se reférera à APPRENTISSAGE de la RÉPRESSION TRADITIONELLE, et non plus, ACQUISITION DU SAVOIR, DE L'AUTONOMIE et des Responsabilités ; C'EST CERTAIN QUE LE CADRE TROP STRICTE FAVORISE LA PERCEPTION DE CERTAINS DE VOIR L'ÉCOLE COMME UN ENTRAINEMENT À L'ARMÉE OU D'UN VÉRITABLE LAVAGE DE CERVEAU(ONT-ILS TOUT FAUX???) DES JEUNES GARS ÇA À BESOIN DE BOUGER BEAUCOUP ET DE PLUS EN PLUS D'ÉTUDES CONFIRMENT QU'ILS EST PRESQU'IMPOSSIBLE DE SOUTENIR SON ATTENTION PENDANT PLUS D'UNE DEMI-HEURE... EST-CE QUE SI LE CADRE STRICTE TE DÉPLAIT UN MAX, EST-IL PERTINENT DE PENSER QUE POUR CERTAINS DES RESPONSABILITÉS SERONT VU COMME DES COMPTES À RENDRE À UNE AUTHORITÉ? EN RIEN L'AUTONOMIE N'EST ENCOURAGÉ CAR L'AUTONOMIE ET OU LIBERTÉ DE PENSER ET DE PARLER NE SONT PAS ENCOURAGÉ PAS PLUS QUE L'ACQUISITION DE CONNAISSANCE CAR PLUS LES GENS SONT MAL-INFORMÉ,DÉSINFORMÉ ET MANIPULER PAR LES MÉDIA DE MASSE QUI ENCOURAGE LE MY MYSELF AND I, LE LIBERTISME, LA TROMPERIE , LE CORPS DES HOMMES ET DES FEMMES POUR FAIRE VENDRE PLUS ET LE MENSONGE MOINS ILS DÉRANGERONT LES PROJETS DES NOUVEAUX ROI DE CE MONDE NOUS ASSISTONS À LA MONARCHIE DES MARCHANDS. QUELQU'UN QUI SAIT DES CHOSES C'EST DANGEREUX POUR LEUR PROJET. ON FAIT LA PROMOTION DE LA CONFORMITÉ EN SACHANT QUE C'EST IMPOSSIBLE ET QUE ÇA ENGENDRERA DES CONFRONTATION ET ÇA JUSTIFIRA LA RÉPRESSION(( AVEZ-VOUS OUBLIEZ QU'EN ONTARIO UN ADO VAIT FAIT 21 JOURS DE PRISON POUR AVOIR ÉCRIS UNE NOUVELLE?!?))

TOUT GOUVERNEMENT-RESPONSABLE du Pouvoir Politique VOUDRA dire, DICTATURE DE LA LIBERTÉ INDIVIDUELLE, et NON-PLUS GÉRANCE de l'Etat pour le BIEN-ÊTRE de la COLLECTIVITÉ...DIS MOI SANS RIRE QU'ON EST PAS RENDU À LA DICTATURE DE LA LIBERTÉ INDIVIDUELLE?!? DIS MOI QUE TU EN ENTEND BEAUCOUP SUR LE CMAQ SE PÉOCCUPER DE LA COLECTIVITÉ, LA SOLIDARITÉ... ON ASSISTE À UN DÉBAT À LA NAZI CAR TOUT CE QUI CRITIQUE UNE VERSION DES FAITS, ON EST PAS CORRECT!!!!

Militaire sera apparenté à ABRUTISSEMENT des Individus,
"Can we get control of an individual to the point where he will do our bidding against his will and even against fundamental laws of nature such as self preservation?" The race was on to create a programmable assassin!

A crack CIA team was formed that could travel, at a moments notice, to anywhere in the world. Their task was to test the new interrogation techniques, and ensure that victims would not remember being interrogated and programmed. All manner of narcotics, from marijuana to LSD, heroin and sodium pentathol (the so called 'truth drug') were regularly used."

http://www.raven1.net/mk-gall.htm

"The primary focus of CIA's initial search was records on the use of ionizing radiation on humans by the U.S. Government. The agency did not initially search specifically for information on such topics as the 1949 "Green Run" release (an intentional release of radiation in Hanford, Washington) or the activities of the JAEIC, CMS, or Joint Panel on the Medical Aspects of Atomic Warfare. Nor did CIA initially focus on activities of the Soviet Union and other countries that may have prompted U.S. agencies to consider human radiation experiments (e.g., when the Soviet Union sent approximately 40,000 troops to a test area to conduct military exercises 30 minutes after an atomic bomb test in Totsk, Kazakhstan, on September 14, 1954). "

"Through the course of MKULTRA, CIA sponsored numerous experiments on unwitting humans. After the death of one such individual (Frank Olson, an army scientist who was given LSD in 1953 and committed suicide a week later), an internal CIA investigation warned about the dangers of such experimentation."

http://earthops.org/mk_ultra.html

Police, à Répression des populations, et non plus, à Protection de la Collectivité.
POUR TROUVER DE QUOI LA DESSUS, TU N'AS QU'A LIRE SUR LE CMAQ!!!

A+++

TOUS CONTRE LA MONDIALISATION ET CES PROMOTEUR!!! LES FINANCIER,LES GROSSE CHAINES MONDIALES!!!

À BAT LE CAPITALISME SAUVAGE!!!

À BAT LE NÉO-CAPITALISME TOTALITAIRE!!!


[ ]

Asunto: 
Ben oui Le mot sad, y a pas de preuve concrètes!!!
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Mié, 2003-07-02 23:59

"Aussi surprenant que cela puisse paraître, l'insigne de l'Ordre des Illuminati apparaît au revers du billet d'un dollar américain, et cela depuis 1933, année où il y apparût pour la première fois, sur ordre du Président américain Franklin D. Roosevelt, au tout début du "New Deal" (nom donné aux réformes politiques de Roosevelt).

On peut lire à la base de la pyramide de 13 étages l'année 1776 (MDCCLXXVI en chiffres romains). La plupart des gens s'imaginant que ce chiffre représente l'année de la signature de la Déclaration d'Indépendance américaine, mais en réalité, il représente l'année de la fondation de l'Ordre des Illuminati par Weishaupt, le 1er mai 1776.

La pyramide représente la conspiration pour la destruction de l'Eglise, et l'établissement d'une dictature mondiale. L'oeil au sommet représente le réseau d'espions mis sur pied par Weishaupt pour conserver le secret de l'Ordre, pour terroriser la population et la forcer à accepter sa dictature. Les mots latins "ANNUIT COEPTIS" signifient "notre entreprise (conspiration) a été couronnée de succès". En bas, les mots "NOVUS ORDO SECLORUM" expliquent la nature de cette entreprise; ils signifient "un nouvel ordre mondial".

Cet insigne fut adopté comme revers du grand sceau des Etats-Unis d'Amérique par le Congrès américain le 15 septembre 1789. (L'avers, ou côté opposé du sceau, montre le symbole plus connu de l'aigle, figurant lui aussi à l'endos du billet de $1 américain).

Le fait que ce symbole fit son apparition sur les billets de banque américain en 1933 signifie que les chefs conspirateurs des Illuminati considéraient alors que leurs efforts étaient effectivement "couronnés de succès", et qu'ils contrôlaient totalement le gouvernement américain"

http://www.prolognet.qc.ca/clyde/villu.htm

How Big Brothers used Orwell to fight the cold war

David Hencke and Rob Evans
Friday June 30, 2000
The Guardian

A 79-page FBI dossier released on George Orwell reveals how the British author of Animal Farm and 1984 was used by both the Americans and the Russians as a key figure in the battle for ideas for two decades after his death in 1950.

http://books.guardian.co.uk/departments/classics/story/0,6000,338261,00....

The guardian c'est surement des tit-culs...

A half century of U.S. intervention
CBC News Online | Apr 1, 2003

With the introduction of the Monroe Doctrine in 1823, the U.S. proclaimed itself the guardian of the Western Hemisphere against intervention by European colonial powers. With the passage of time, the U.S. became more entrenched in its role and became increasingly imperialistic in its own foreign policy, causing it to lock horns with its former occupiers.

In 1902, British, Italian and German warships blockaded the coast of Venezuela after that country reneged on loans to European banks. The Germans and British pressed the issue further by shelling Venezuelan seaports. Then-U.S. President Theodore Roosevelt responded by threatening naval action if Germany did not withdraw - the presence of European forces in the Americas was an embarrassing violation of U.S. hegemony.

Roosevelt took another step to make sure this didn't happen again. In 1904 he introduced what became known as the Roosevelt Corollary to the Monroe Doctrine. It stated that the U.S. would intervene in disputes in the Western Hemisphere to ensure that European nations did not. It also stated that the U.S. had the right to intervene in the domestic matters of its neighbours if those neighbours were unable to do so themselves. This foreign policy was built upon and expanded during the 20th century while the U.S. grew as a world power.

http://www.cbc.ca/news/iraq/issues_analysis/usinterventions.html

Cbc c'est surement pas fiable non plus hen?

Désolé d'être hors sujet mes que tu nies que les illuminati, franc-maçon,skulls and bones,bilderberg et autres clique de même controle tout...Soit que tu es là-dedans soit que tu es dedans..le champ!!!

En tout cas juste de réfuter des faits qu sont réel juste parce que tu es pas religieux...sans vérifier qu'il y a des millions de site qui parle de ça... et que ça se tient et même ça se vérifie...


[ ]

Asunto: 
Enfin un commentaire sensé!
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Sáb, 2003-07-12 07:14

Même si ça ne parle pas directement du texte.


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Asunto: 
Tu es complètement névrosé
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Sáb, 2003-07-12 07:12

Je ne peux t'aider d'ici.


[ ]

Asunto: 
Quoi?
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Sáb, 2003-07-12 07:11

Je ne comprends pas. Désolé!


[ ]

Asunto: 
Un dialecte incompréhensible
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Sáb, 2003-07-12 07:10

Tu comprendras que je ne réponds pas. Je ne comprends pas ton analyse. Je ne suis pas un fan des règles de grammaire, mais celles de base, sujet-verbe-complément, aide à se faire comprendre. tu ne réussis même pas à te faire comprendre, ni à t'exprimer de façon satisfaisante. Mais continus, c'est de même qu'on y arrive un jour.


[ ]

Asunto: 
cessons ce petit jeu svp
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Mar, 2003-07-01 14:15

on ramene tout a l'individu est la est le probleme de notre société


[ ]

Asunto: 
Tu ne sais pas lire...
Autor: 
Anonyme
Fecha: 
Sáb, 2003-07-12 07:05

Parle pas de qu'est-ce que tu comprends pas.


[ ]

CMAQ: Vie associative


Collectif à Québec: n'existe plus.

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