Bal bla bla bla: la prostitution de rue est contrôlée par les Grands criminels. Il n'y a rien à faire, c'est la nature de l'homme de vouloir plusieurs femmes à la fois et la prostitution ca rend les hommes doux comme des agneaux. Des arguments aussi sûrs que du lait passé date pour des oreilles en feuilles de choux. Entre le choux et la chèvre.
Des "gangs reliés aux motards"(Wolf Pack), de jeunes fugueuses impliquées dans un réseau de prostitution, des clients richissismes, sinon connus : un beau conte à l'eau de vaisselle pour les femmes que l'on prend pour des dindes. L’animateur de radio Robert Gilet, le propriétaire des pharmacies Racine(qui entre autres forcerait ses employées à coucher avec), Wiliam Gibblins, un prêtre et autres trous du cul du genre sont bien défendus contre les critiques des féministes par leurs confrères, qui se moquent éperduement des femmes à qui ils racontent des bobards, pour excuser les frasques des plus imprudents d'entre eux.Non mais, il en tu un de ces cinglés, le doc Mailloux dans le panier, qui ne s'est pas fait un fun noir à se faire sucer par une petite tahilandaise de neuf ou dix ans!?! C'est un fait connu, ce qui ne se voit pas ici se fait dans les pays chauds, ouvertement, comme dans toutes les colonies de vacances.
Il y en a neuf coupables, que l’on vient d’expédier au trou(en prison). Il n’y a pas à dire, la demande crée l’industrie : il n’y aurait pas de banane sans bananier, et pas de caries sans sucre. Et si la transposition dans le réel est loin d’être aussi savoureuse, elle n’est guère reluisante. Ce qui brille le plus chez Robert Gilet en ce moment, c’est le dessus de sa tête. Éteinte la star, les volets sont fermés et le spectacle est terminé. Pour combien de temps ? Le temps que ces enjôleurs d’animateurs de radio et de télévision calment l’ire de compagnes de travail, qui jusque là, se « mêlaient de leurs affaires ». C’est un fait connu, ces gars-là fréquentent des prostituées depuis longtemps. Mais depuis un temps, les femmes avec qui ils travaillent dans le milieu des médias se font revendicatrices. Pour le genre de gars qui est prêt à payer pour une femme parce qu’il déteste toutes celles qui lui tiennent tête, les tendrons de moins de dix-huit ans sont des femmes à qui il cherchera à imposer les pires humiliations, pour se venger des femmes qu’il déteste. Déjà dans les agences, la pression est forte pour que les filles fassent des fellations sans condoms, pour qu’elles se laissent sodomiser. Pour une jeune fugueuse, ou bien pour une jeune femme adulte sans qualifications professionnelles, c’est soi l’exécution de gestes dégoûtants ou soit la porte. C’est presque toujours énormément de violence psychologique, qui se transforme parfois en coups, pour les plus vulnérables.
Au lieu de laisser les propriétaires d’agences de prostitution se débattre avec bien des problèmes financiers(bon, on s’en fout de leurs problèmes, mais ces gars–là, la plupart du temps ne sont pas affiliés aux Hells, contrairement à ce que des menteurs de journalistes prétendent), on pourrait leur offrir des pots de vins pour qu’ils livrent la liste des noms de leurs clients les plus connus. La plupart de toute façon passent leur temps à dire à tous leurs amis et à tout leur entourage lesquels fréquentent leur agence. Les arguments masculinistes de protection des pairs, entre hommes, contre l'ennemi(les femmes), ne tiennent pas pour eux: ce sont des crèves-faim et des jaloux qui haissent l'opulence des riches. Puis de toute façon, dans les grandes villes, si on « engage » dans les agences, la plupart des équipes de travail sont composées de prostituées qui se connaissent depuis longtemps, et qui sont compatibles entre elles côté caractère. Ce qui veut dire que pour avoir de nouvelles filles(les clients veulent rarement avoir la même fille deux fois), les clients se ruent littéralement sur les nouvelles agences. C’est là qu’on peut pêcher beaucoup de personnalités connues, car les propriétaires de petites agences sont prêts à tout pour se faire une place au soleil, parmi les « grands proxénètes ». Il y a des galons pour la prostitution comme partout ailleurs. Ils travailleront donc aux petites heures du matin, ne vérifierons pas l’identité des jeunes femmes qu’ils engagent, et de plus, ils envoient ces jeunes femmes à des gens éméchés qui sont trois ou quatre à vouloir se partager une femme à la sortie des bars ; en gros ils perdent toute prudence
Bien que je comprend très bien votre point de vue, il m'est impossible de valider cela à cause des injures que vous tenez dans votre article. Tenez compte toutefois que je comprend pas pourquoi des adultes trouvent des enfants «sexuellement attirant», je genre de chose ne devrait tout simplement pas exister.
Ce genre de choses existe ...
Je ne vois pas d'injures.
Je ne pense vraiment pas qu'il faille rayer ce texte, dont il est difficile de vérifier la véracité des propos, c'est vrai. Mais là n'est pas la question.
Il faudrait aussi corriger quelques fautes mais je n'arrive pas à aller dans "modifier le texte".
Ce texte contient des éléments intéressants (il semble avoir été écrit par quelqu'un qui connait pour vrai le milieu de la prostitution) mais il y a trop d'erreurs factuelles (ex: les gens ne sont pas encore condamné). De plus la rumeur sur le fait que le proprétaire des Pharm. Racine agresse sexuellement ses employé n'est pas démontrée, ça s'approche du libel...
Dommage qu'on ait pas d'adresse de retour pour demander des correctifs. J'ai presque failli lui donner +1...
J'ai voté à mon tour -1 pour cet article en raison des propos diffamants qu'il contient (voir le critère de refus No 2 dans la Politique
éditoriale du CMAQ: "Matériel à caractère diffamatoire"). Cet article contient des propos injurieux (cf. 1er paragraphe) à
l'endroit des personnes interpelées par la police dans cette sordide affaire de prostitution, et relaie des rumeurs avilissantes sur
leur compte en les énonçant comme des vérités.. Comme le mentionne Christian dans un commentaire ci-haut, ces gens n'ont pas encore été condamnés par le système judiciaire, et l'auteur parle comme si c'était le cas. Les commentaires négatifs sur les journalistes masculins ("... leur confrères qui se moquent éperdument des femmes...") prêtent à une généralisation qui frise le sexisme: l'auteur tombe dans un excès pour en dénoncer un autre. Le texte est enfin si confus qu'on a bien du mal à en saisir le propos. Dommage, puisqu'il avait visiblement pour intention de dénoncer une injustice réelle. Mais l'argumentaire en est si défaillant qu'il s'en faut de trop pour qu'il soit compréhensible et constructif.
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