L'immigration au Canada: vraiment sans danger?
Non, mais hého!, les responsables de la publication des textes sur le Cmaq, respecterez-vous enfin votre serment de donner voix à ceux qui s'expriment sur des sujets controversés, sans inciter à la haine, même si c'est pas à la mode de votre béni oui ouisme pro-immigration? Ôtez vos oeillères et cessez de vous sentir coupables d'être bien dans votre peau et de ne pas voir vos enfants crever de faim comme de petits africains au ventre ballonnés.On a pas à être comme les crèves-faim pour avoir le droit d'exister, et d'être bien!
Peux-on être pour l'immigration sélective et n'être pas raciste à tout crin?
Peut-on écrire des choses que beaucoups de canadiens(et d'occidentaux) ont envie d'écrire?
Peut-on écrire que certains comportements dérangent car contraire à toutes morale, et peut-on permettre à ceux qu'on dénonce de s'en instruire, pour que cela cesse?
Relisez le texte : j'ai ôté la généralisation et les insultes. Mais je veux être publiée, car je suis écoeurée de voir des africaines, dans les universités canadiennes(Laval et Uqtr), se faire battre comme des bêtes de somme au moindre soupcon d'infidélité, par leurs chums).Écoeurée de voir des "....", pas beaux et pas fins me sauter dessus dès que je montre le moindre intérêt pour eux, même pas sexuel. Non, mais, on essaie d'être polis avec eux, on leur donne un "pouce" et ils vous arrachent le bras en essayant de vous "tirer" dans leur lit! Vraiment, je plains les femmes de vivre dans les "...." de pays de "...." où se battre est synonyme de virilité. "Utilise "ta graine" ou ton gun c'est pareil!"
Vous pouvez retirer tout ce que je viens d'écrire après la première phrase ici dans le résumé, mais bon sang publiez-moi!

Les cultures étrangères, vraiment sans danger pour les canadiens?

Les cultures étrangères, vraiment sans danger pour les canadiens?

L'intimidation et la violence semblent être devenues un risque professionnel pour les journalistes haïtiens et les autorités ne prennent que des mesures insuffisantes pour enquêter sur ces événements et assurer la protection des professionnels des médias, a déclaré Amnesty International dans un communiqué publié ce 15 novembre 2002.

L'intimidation et la violence semblent être devenues un risque professionnel pour les journalistes haïtiens et les autorités ne prennent que des mesures insuffisantes pour enquêter sur ces événements et assurer la protection des professionnels des médias, a déclaré Amnesty International dans un communiqué publié ce 15 novembre 2002.

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Un recueil de nouvelles refusé par les maisons d'édition pour son contenu politique.

L'Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH), le Groupe de Réflexion et d'Action pour la Liberté de la Presse (GRALIP) et la Fédération de la Presse Haïtienne (FPH), dénoncent les menaces dont la presse haïtienne est aujourd'hui la cible.

L'Association Nationale des Médias Haïtiens (ANMH), le Groupe de Réflexion et d'Action pour la Liberté de la Presse (GRALIP) et la Fédération de la Presse Haïtienne (FPH), dénoncent les menaces dont la presse haïtienne est aujourd'hui la cible.

Une cinquantaine de personnes a manifesté ce 17 octobre devant le consulat d'Haïti a miami pour exprimer leur solidarité a la presse haïtienne. Ce rassemblement a été convoqué par des secteurs d'opposition au régime lavalas au pouvoir en Haïti.