Les gens d'affaires sont tenus en otage par des syndicats tout-puissants et un État québécois aux mains « d'un gouvernement qui ne croit pas au marché », dénonce le président de la Chambre de commerce du Québec, Michel Audet.

Les gens d'affaires du Québec ont décidé de réaligner leur stratégie nous apprend La Presse, ce samedi, C'est que les syndicats sont tellement forts qu'ils arrivent à faire faire ce qu'ils veulent au gouvernement.

Comme si les études du Conference board, de l'Institut économique de Montréal ou encore de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE) auxquelles réfèrent constamment nos gouvernants étaient des études tout à fait objectives reflétant rigoureusement les deux côtés d'une médaille.

Comble d'ironie, l'un des conférenciers invités par la Chambre du commerce de Québec était nul autre qu'Alain Dubuc, éditorialiste du quotidien Le Soleil qui est venu découper en petits morceaux le modèle québécois source de tous nos maux !

Le jour où un éditorialiste de la presse de masse viendra galvaniser les troupes syndicales lors de leur congrès on en reparlera. OK ?