La Mairesse Boucher à l'émission de radio "Franc-Parler", un pas de plus vers la Fraternité et l'Intelligence universelle?

La Mairesse Boucher:
Elle a «politisé» l’Université, l’Université Laval en particulier. Depuis son arrivée au pouvoir, à la mairie de Ste-Foy, l’Université Laval a sa propre police. Eh oui, on a des policiers(et en quantité) pour se défendre "au cas où". Au cas où un étudiant(improbable) tenterais de tuer un professeur (ou son chien!). Dans la ville la police pour contrôler la menace citoyenne, à l’Université Laval la même chose avec ces étudiants que la mairesse Boucher déteste.
On voit la momie Andrée Boucher se profiler derrière cette tentative de contrôle de la menace étudiante. Même attitude devant la jeunesse que les vieux qui ont peur de tout, y compris de la température. Alors les étudiants contestataires, la barbe ! C’est pire que la mousson ça, ou pire encore que la technologie, qui menace les remparts croulants et vermoulus de la monarchie Boucher.
À l’occasion de la St-Jean, vous l’aurez déjà entendu cette hystérique insinuer à la radio avec sa petite voix tremblotante de radoteuse qu’il pourrait y avoir de la VIOLENCE lors des festivités. A l’entendre, la St-Jean pouvait "tourner mal". C’est vrai qu’il y avait beaucoup de jeunes sur la rue St-Jean ce jour là, en particulier beaucoup de jeunes universitaires… Les jeunes, c’est comme des sauterelles emprisonnées dans un bocal : c’est joli "dedans" mais "dehors" c’est pas contrôlable.

21 août 2002. Andrée Boucher et Stéphane Gass, sur l'heure du midi, animent "Franc parler", une émission de radio prisée par certains amateurs de vieilleries complètement surannées rappelant le goût des tartes trop sucrées ratées de nos grands-mères. A la page, Mom Boucher ?
Le 20 août 2002, un manège de fête foraine de l’Expo-Québec avait perdu une grosse pièce qui est allée s’écraser, sous l’effet de plusieurs forces G, comme une grosse soucoupe volante contre une clôture adjacente. Une chance qu’il y avait pas personne au travers du chemin de ce projectile…

Un fêlé appelle à l’émission le 21, à 12h30 et s'exprime ainsi au sujet de ce qu'il sait de la sécurité des manèges :

--"on sait que ça fonctionne "sur une pine" mais j’ai confiance que ça va tenir… "--

Incroyable mais vrai : si vous aviez dit à ce type que les sièges d’autos de ses enfants n’étaient pas sécuritaires, il se serait empressé de les faire retirer et les aurait remplacé par quelque chose de neuf. Le même individu n’hésite pas à faire confiance à une mécanique plus que mystérieusement(et semble t-il aléatoirement) entretenue, et même à y asseoir ses propres enfants, sans savoir si elle est véritablement sécuritaire, tout ça grâce à la pensée magique qui lui évite de s’imaginer qu’il pourrait être la prochaine victime de son inconscience !!
Quelques minutes plus tard, André Boucher en parlant du manège brisé :

--"l’incident d’hier ce n’est pas grave"

!!!!

On s’empêtre en fin d’émission, les témoignages contradictoires affluent : les machines ne sont visiblement pas sécuritaires, les employés des parcs d’attractions n’inspirent pas confiance.

Faut-il croire que les somnifères servis à Mme Boucher par les exploitants de manèges qui affirment qu’il faut les laisser régler le problème "de l’intérieur" de leur entreprise, auront fait leur effet sur la capacité de faire preuve d’esprit critique de Mme Boucher, ou bien ne sait t-elle pas encore que tout ce qui n’est pas véritablement nanti d’un idéal, à savoir le secteur privé de l’économie, se fout immensément du consommateur ?
Ou bien encore se rallie–telle à l’opinion du dernier qui a parlé, en particulier si celui-ci détient un titre ou une qualification le rapprochant de la Sainteté, comme un poste de directeur ?
Lorsque il y a présence manifeste d’idées irrationnelles, comme de faire confiance dans le doute dans des situations qui réclament une façon de penser pratique ou une intervention drastique, les «journalistes» comme Mme Boucher sont-ils à même de détecter ce genre de raisonnements lâches grâce auxquels les pires catastrophes peuvent survenir ?
Vous croyez ?
La technologie pour Mme Boucher ?
Une antenne parabolique :
--"une soucoupe"(21 août 2002)
…

Retour au passé, à l’histoire et aux valeurs anciennes : voilà la marque de commerce rassurante d’une Mme Boucher qui séduit lorsqu’on ne l’entend mais ne l’écoute pas, ou lorsque qu’on est un touriste fraîchement arrivé au Canada encore tout ébahi de la beauté de la ville de Québec. Valeur historique ou pas, le monument Boucher est rongé par les mites, malgré un certain charme désuet qui semble représentatif de la ville de Québec.
Le problème d’Andrée Boucher ? Elle n’a aucun sens pratique, en dépit du fait qu’elle a bravement élevé ses enfants. Son identité de femelle responsable l’a définitivement rangé parmi les grands-mères, acceptant toutes les facéties des enfants, indifféremment du fait qu’ils détruisent la maison ou non. Elle n’oppose aucun sens critique à ce qui devrait normalement retenir son attention, c’est à dire le manque de sens moral de certains de ses interlocuteurs… Il semble que ce soit plus le total des opinions dites de «gauche» ou de «droite» qui retiennent son attention et font pencher la balance d’un côté plutôt que de l’autre, plutôt que leur qualité, la nature du total excédentaire définissant la nature de ses propres opinions. Comme André Boucher est une ex-mairesse, et qu’elle est incapable de se départir de ses anciennes mauvaises habitudes, il est normal qu’elle n’hésite pas à appuyer prioritairement tout ce qui rapporte des «votes» : tradition, religion, exploitation, fortune. Elle frôle parfois la démocratie, mais tout le monde sait qu’elle ne fait que de la démagogie. Ses discours caméléons sont d’ailleurs complètement incohérents, du début de ses émissions à la fin, à vouloir représenter toutes les opinions. Andrée Boucher est comme ainsi dire, incapable de saisir le côté argumentatif d’une conversation, et d’en démontrer les failles. Elle est décidément trop ouverte à tous les vents, fossilisation oblige.
André Boucher n’est pas journaliste : elle est dangereuse, un point c’est tout.