A mon arrivé vers midi, dans le parc Georges V, il y avait une vingtaine de personnes qui se préparait à partir, les gens remballait les tentes.

Québec, 2 juillet 2002 - A mon arrivé vers midi, dans le parc Georges V, il y avait une vingtaine de personnes qui se préparait à partir, les gens remballait les tentes. En faisant un check-up de la surveillance policière, j’ai remarqué la présence de trois gros camions noirs de la GRC, un char de flics, un camion de camping pour le moins louche car il était stationné face à l’hôtel Laurier, un camion de la compagnie Sauvageau et finalement, 2 agents fédéraux qui surveillent les campeurs.

Une fois rendu près de l’Assemblée Nationale, deux agents de « sécurité » en civil viennent à notre rencontre et nous explique ce que l’on peux faire et ne pas faire. Il nous dit qu’il est interdit d’installer des choses temporaires sur le terrain comme des tentes (du moins il ne faut pas que les tentes soit ancré dans le sol grâce à des clous et autres interdictions que ne n’ai pas pu retenir à cause de la chaleur.

Une fois installé, les agents de sécurité sont venu nous voir pour nous dire que les tentes devrait être installé à un autre endroit afin qu’ils puissent être visible du parlement et sont venu nous aider à les placer à l’endroit que les agents souhaitait. Finalement, nous avons pu pique-niquer sur le terrain du parlement sans être opportuné par la présence policière.

Vers 14h30, il y a eu du théâtre de rue, face au parlement sur les sortes de discriminations que les propriétaires font subir aux locataires et à ceux qui se cherchent un logement.