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La liberté d'expression et nos écolesAnonyme, Thursday, April 18, 2002 - 11:53
Jérémie Duchesneau
Un incident grâve c'est produit à mon école, celui si entravait mon droit de liberté d'expression, j'ai donc eu un châtiment pour m'être exprimé pacifiquement. Je vous conseille de lire mon article, qui est de bonne qualité. Liberté d’expression ? Dans nos écoles, nous sommes souvent victimes d’un fascisme, le fascisme est tellement répandu de nos jours, plus moyens de s’exprimer dans un tel monde. J’écrit mon article de journal pour partager ce qui s’est passé avec mon directeur, un facsiste de première. D’apès la charte des droits humains, nous avons le doit à la libre expression, ce droit est un des plus importants. Il y a quelques mois de cela, j’ai eu à participer à un concours de mathématique, je le réussi et je me rend aux régionaux, c’est à ce moment ou je m’exprime en écrivant quelques phrases (Fuck Authority, Mort aux clônes de la sociétés aveuglés par l’argent et le pouvoir, et autres phrases de ce type , ces phrases reflêtes ma personnalité.). Me voilà assis dans le bureau du directeur, me disant que je suis en quelque sorte « fou » et que je n’ai pas le droit d’écrire ce que j’ai écrit car cela ne faisait point parti de l’éthique du concours (aucune règles ou éthique étant inscrite sur aucun papier du concours). Je me voit refusé l’accès aux provinciaux de se concours, ayant eu une des meilleures notes de mon école. Je me voit aussi infligé une punition pour m’avoir exprimé, sur un concours dont l’école n’est pas responsable. N’est ce pas un exemple grâve de fascisme ? Me voir infligé un châtiment pour m’être exprimé, ce Mr Théami n’as pas fait le moindre geste pour essayer de comprendre ce que je lui disait, que j’avais le droit de m’exprimer comme bon me le semble. Me traitant d’anarchiste, je lui ai répondu que cela ne me dérangeait que cela ne me définissait point, il ne me cru pas et osa dire que malgré ce que je disait, je n’était qu’un anarchiste. J’espère que vous aller comprendre à quel point cela me frustre et me pousse à la rébellion, me voir refuser l’accès d’un concours pour avoir dit ce que je pensait, que de stupidité, mais dans quel monde vivons nous ? Un monde ou seul ceux qui ont un peu de pouvoir peuvent tout contrôler, quel merde ! Au revoir, je ne me calmerai pas de si tôt, j’écrirai donc encore, et encore.
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