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Réplique de Bernard Cooper à l'avis de motion proposant son expulsion de l'AEELI4ravache, Tuesday, November 29, 2011 - 16:23 Le texte suivant à été lu à l'assemblée de l'Aeeli du 23 novembre 2011. Une majorité des membres, sans même tenir compte de cette «défense», m'ont par la suite expulsé, après faire à leur tour une petite revue de courriels hors de contexte que j'avais écrit. Une «divulgation de preuve» tardive… Pour ceux en dehors de la librairie l'Insoumise et de l'Aeeli (corporation à but non-lucratif qui détient la librairie et le bâtiment qui l'abrite) vous trouverez des explications additionnelles entre [ ] quand les informations ne semblent pas assez détailler. Certains noms ont été remplacer par des pseudo-noms. Réponses et questions sur l'avis de motion proposant mon expulsion de l'AEELI Malgré que je vais vous expliquer pourquoi je ne considère pas comme recevable la proposition de mon expulsion, par un souci de ne pas donner l'unique impression de soulever des «obstacles procéduriers» (comme on m'a accuser de faire dans la lettre du 9 octobre) je veut partager mes constats sur la proposition déposée contre moi. On m'accuse généralement de: «crée un climat récurrent de tension» «depuis des années» «à intervalles réguliers» et d'empoisonner la vie de l'AEELI, «de ses locataires, ou d'organismes du milieu» C'est intéressant que sa a pris toutes ces années [depuis 2004, année de fondation de l'Insoumise] pour se rendre compte de ces allégations supposément si graves. Quand on m'accuse de «créé un climat récurrent de tension» cela réfère à quels séries d'incidents? Sa donne l'impression que toutes tensions qu'aurait vécu l'association sont de ma création. Pourquoi alors qu'on réalise si tardivement et qu'on sévi maintenant? Y a t'il eu des événements en 2011 qui ont été particulièrement perturbateurs? Pourquoi alors ne pas en détailler? [En 2011, il y a eu, entre autre, des tentatives «d'amincissement» du stock livresque usagé, ainsi que les sections Écologie, Féminisme et Anthropologie. 2-J'ai proposer une diffusion primitiviste/DIY. 3- L'acheteur de livres usagés à démissionner de, puis repris, ses fonctions…] L'asso à non seulement ignorer ou supporter pendant toutes ces années mes prétendus «multiples agissements», [selon l'accusation vague et sans exemples ou preuves] mais les membres ont même exprimés leur confiance en m'élisant toutes ces années comme administrateur, et dans ces deux dernières années, président de la corporation, et en adoptant à l'unanimité une motion de félicitation en 2009 (AG du 13 juin), et même en refusant d'adopter un blâme venant d'un groupe hostile à ma tendance politique de l'anarchisme. [Félicitations pour avoir mener avec un certain succès un ingrat dossier de conflit avec un locataire qui nous a quitté avec plusieurs milliers de $ en dommages et loyers impayés] En ce qui a trait à mes interactions avec d'autres «organismes du milieu» l'assemblée de l'Aeeli je pense n'a pas la compétence pour juger ces choses; une telle reproche n'est pas recevable ici, j'espère qu'on en conviens. [Ce n'est pas le 1e exemple en cette année d'une tendance a vouloir juger impérialement des faits et comportements en dehors de la corporation] Encore une fois, on se contente de soulèver des allégations nébuleuses sans fournir des détails ou circonstances ou leur possible relation avec notre association. On prétends que: mes courriels non-sollicités visent à calomnier des membres, discréditer des groupes, créer des divisions entre le membership Les origines des divisions entre les membres ne sont pas récentes, et ces divisions ne sont pas constantes dans le temps. [L'Aeeli après 2003, refondée par l'ancienne Coalition des diffuseurs libertaires, est une confédération de groupes qui ne sont pas assez prochent pour former un groupe unitaire et "cohérent". De plus, le DIRA, membre des premières heures, a été froidement accueillit comme étant des «neutres» dans le conflit avec l'ancien collectif libraire en place, Alternative] De m'imputer la responsabilité pour ce fait sans fournir des détails visent à me calomnier et tends à réduire le problème à une cause: mes interventions. Au début de l'année 2011, il y avait t-il des divisions marquées entre les membres ? La réponse est non; au contraire, elles était bien moins présentes qu'en 2009 ou avant. [Les 2 dernières années, j'ai surtout fait de l'administration, à la grande satisfaction des membres] Comment alors se sont elles accentués par la suite? Pour quelles raisons qu'on décide que seules mes interventions (et lesquelles?) de cette année ont été si perturbatrices; si inacceptables, tout d'un coup? Quelles sont, en cette année, les prises de positions et les véritables explications des conflits qu'on traverse actuellement? Pour donner rien qu'un exemple, le fait qu'il y a eu des divisions autour de la question d'accepter [dans les rayons de la librairie] du "Do It Yourself" (DIY) n'est pas de ma faute. Néanmoins, cette question à soulever des failles idéologiques. On allègue que mon comportement perturbateur s'est accentuer depuis «le blâme du 15 [sic] juin» Voici une référence spécifique à un incident pour lequel on me blâme. Revenons sur l'assemblée du 17 juin: D'après les dires et gestes, ce printemps, des membres procrastinateurs-trices, qui ont carrément refuser de traiter de ma diffusion (au comité libraire ou dans l'assemblée), il est claire que si j'aurais demander d'adhérer en temps que groupe membre pouvant avoir 2 délégué-e-s et le droit de diffuser à la librairie, une majorité m'aurait refuser. [Dans l'Aeeli, ont peut être un membre individuel, ou membre (délégué) de groupe, avec 2 délégués-membres par groupe. Au début, je voulais que mon projet de diffusion, Fleurs du marais, soit accepter comme un groupe.] Je me suis alors rabattu sur mes droits actuels en temps que membre individuel, et j'ai simplement déclaré qu'il faut s'attendre que je diffuse, que c'est mon stricte droit en temps que membre, et que riens dans les règlements m'empêche. Ces déclarations ont été mal accueillit, qualifiées de «fait accomplit»; et que je joue au «malin». Le premier à s'opposer était le membre L'Ajean Sociale qui a invoquer un «bris de confiance» à mon égard et à proposer en premier lieu un blâme «pour son attitude en générale». Ce blâme trop vague et qui a provoquer du rire, n'a pas été retenu. Il a été reformuler pour dire «relativement à sa démarche quant à la diffusion de matériel à la librairie». La majorité on voté pour ce blâme. Cependant, le président d'assemblée a clairement indiquer «que selon sa compréhension des règlements, rien n’empêche un membre de diffuser.» On ne me reproche donc pas d'avoir tort, mais d'avoir une mauvaise «attitude» ou «démarche». Il y a 10 ans, on parlait de "bad vibes", et aujourd'hui on occulte des questions politiques avec un flou semblable. [Au début des années 2000, on ridiculisait Alternative bookshop pour refuser des membres à cause de "bad vibes", comme un de leur membres avait qualifié ce phénomène arbitraire] Parce qu'une majorité idéologiquement opposée à ma diffusion (et qui ne se sent plus obligée d'expliquer en quoi ce matériel n'a pas sa place à l'Insoumise) voulait que je renonce à mon droit de membre de diffuser, j'aurais dû changer d'attitude et renoncer à toutes démarches pour ne plus que sa «dérange»? La réponse est non, et les membres auraient pu simplement pris acte qu'on ne peut pas bloquer un membre de diffuser, selon les règlements et structures. [Certains membres veulent maintenant boucher ce «flou», en enlevant le droit d'un membre de diffuser à la librairie] De quelle manière mon comportement supposément dérangeant c'est il accentuer depuis le 17 juin? Examinons des faits saillants: Dans les semaines suivantes l'AG de juin, je découvre que je ne suis plus signataire du compte de l'Insoumise. Un faux «extrait de procès verbal» d'une instance inexistante a été fournit à la Caisse signé par le supposé «trésorier» B. Broche-à-foin. Pourtant la seule personne que nous avons voté trésorier été l'administrateur Sacha Desautels. La seule instance qui peut, selon les lois bancaires, changer les signataires est le conseil d'administration. (Dans notre cas, sur demande du comité libraire). Quand ce changement irrégulier a eu lieu, j'étais toujours président de l'Aeeli [juillet 2011] et un des responsables de ce compte. Ma découverte de cette manoeuvre a mis dans l'embarras un membre qui a sauter sur l'occasion pour me salir et qui pouvait compter sur l'appui quasi-aveugle des mêmes personnes qui ont appuyer la motion de blâme du 17 juin. En passant, c'est la première motion de blâme adopter contre moi dans l'histoire de l'Association! Malgré cela, il est intéressant de constater qu'aucune motion de blâme formelle m'a été fait à ce sujet, [Probablement par crainte que sa éclabousse B. Broche-à-foin] mais il est claire pour la majorité des membres que j'aurais dû laisser faire et assister à une rupture avec un fonctionnement redevable et transparent de nos affaires. [depuis au moins le 6 avril, l'Aeeli n'applique plus ses règlements de façon uniforme, mais selon la discrétion de certains membres] Dorénavant, certains membres ont les coudées franches, et d'autres restent redevable. J'accepte la responsabilité, (ou la reproche selon certains) de ne pas accepter ce glissement vers une hiérarchie informel et non-règlementaire dans notre organisation. Quand j'ai cesser d'accepter la relation fantomatique qu'un administrateur entretenait envers le C.A. [Conseil d'administration] depuis des années, cela a déranger. [Depuis plusieurs années, il y a un prête-nom sur le CA, le membre L'Ajean Sociale] On voulait que j'accepte les agressions procédurières du dit membre sans me plaindre de ses manquements dans la corporation. Malgré cela, le système de prêt-nom à pris fin, et L'Ajean a dû renoncer son titre d'administrateur. L'origine de ce problème particulier est dans les habitudes de L'Ajean, et non les miennes, mais encore je me trouve à être le bouc-émissaire pour l'embarras, l'orgueil blessé et la frustration des autres. J'ai aussi eu l'impudence de soulever que, lors des débats sur la relation que doit avoir des textes non-anarchistes à l'anarchisme, nous n'avons pas oser parler de Rosa Luxembourg ou de la section marxiste non-libertaire, ou du surréalisme. On m'a blâmer pour avoir attaquer une tendance, [Le groupe La Sociale] comme si personne d'autre pourrait être taxer de la même accusation en cette année. S'attaquer à l'anti-civ [anti-civilisation: thème cher aux anarchistes verts] et l'écologie sa passe, mais gare à ceux qui demande qu'on explique aussi la pertinence de marxistes autoritaires dans une librairie anarchiste. Et si on voit dans cette situation particulière un parti pris idéologiquement sectaire, c'est qu'on est probablement parano. [Parmi bon nombre de membres, il y a un déni total que les débats sur les critères de sélection de livres étaient ponctués de divergences politiques, selon les tendances de l'AEELI. Fidèle au pattern de dérive autoritaire, on m'a accoler des étiquettes d'ordre psychiatrique afin de baîllonner tout débat] En passant, je vous fait remarquer qu'un membre de la Nefac avait soulever cette question au tout début de notre aventure: «La Sociale have a few books from Rosa Luxembourg and other authoritarian marxists» Franky To: Friends of NEFAC Sent: Wed, 25 Aug 2004 Subject: [Friends of NEFAC] Montreal -The AEELI replies to the insinuations made by the Alternative collective Il est proposé «qu'en vertu du règlement 5.3.5», on retire mon statut de membre C'est en vertu de cet article qu'on veut m'expulser: Dans mon cas, touts les efforts à retirer mon statut de membre souligne qu'il n'y a pas d'ambiguïté: Le problème est justement que je suis membre, et non à savoir si je suis ou non membre. Si on admet que d'invoquer l'article 5.3.5 démontre un certain souci de procédure, mais que ce règlement s'applique uniquement pour des cas d'ambiguïté sur le statut, on revient à savoir "Comment donc faut-il procéder pour retirer à un membre son statut, ou l'expulser?" Les règlements de l'AEELI ne le précise pas pour l'instant. À présent, la solution non-règlementaire semble être: Nous décidons à majorité simple qui demeure ou non membre. Ce genre de résolution n'a pas besoin de l'article 5.3.5. Il n'y a pas de procédure, autre qu'une proposition d'apparence ordinaire, mais qui s'attaque directement au droit le plus élémentaire d'un membre. J'en fait un point d'ordre, et pour les raisons que je viens d'expliquer, je demande que la proposition soit déclarer non-recevable. -Bernard Cooper, 23 novembre 2011
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