L’influenza ou le contrôle de population.

Dans le sud mexicain oû les hommes et les femmes de maïs de Oaxaca qui ont su résisté au virus de la colonisation, et qui vit aujourd’hui une épidémie mais pas celle de la grippe porcine qui crée une psychose dans la population sinon celle du mensonge et de la désinformation qui envahissent nos écrans et qui envahissent l’air par les pores de l’aliénation.

Pendant que les militaires passent des couvre-bouches dans la rue à la population civile à travers le Mexique (vous voyez bien qu’ils aident la population avec leurs gros fusils made in usa et leurs énormes budget militaire conclut entre le Mexique et les États-Unis de 1400 millions de dollars à travers le Plan Mexico), et que Sarkozy et Calderon savourent les millions de dollars négociés pour le vaccin de la grippe aviaire et porcine(un contrat à été signé lors de la venue de Sarkozy au Mexique de 100 millions d’Euros entre Sanofi-Aventis pour créer des laboratoires en cas d’épidémie aviaires ou porcine), que le Partenariat sur la sécurité et la Prospérité crée un réseau sanitaire (et pourquoi pas militaire) pour réagir à ce genre de virus qui nous laisse croire à un nouveau type de
bio-terrorisme qui sert â contrôler la population.
La guerre biologique est une arme de contrôle et de soumission et plusieurs facteurs nous pousse à croire que la grippe porcine pourrait avoir été créé pour analyser les réactions en cas de pandémie et rendre ces opérations rentables au niveau du contrôle de la région mexicaine et
des intérêts político-militaires de l’impérialisme américain et canadien dans la région.

La crise actuelle dans la nation mexicaine est palpable, les politiciens non plus aucune crédibilité et la seule façon de se maintenir au pouvoir c’est à travers de la peur et du mensonge (se qui sous-entend la répression).

La crise économique est le fruit de la spéculation et la sur accumulation de richesses colossales d'une minorité
de capitaliste qui continue à accumuler des richesses (des sommes astronomiques des réserves fédérales du Mexique ont été vidé pendant les 6 ans de Félipe Calderon… 600 000 millions, les surplus de l’entreprise pétrolière soit
700 000millions sont disparues…), pendant que la nation (soit le peuple) s’endettent à travers le Fond Monétaire Internationale (400 000 millions de prêts).

La guerre aux narcotrafficants dans le Nord mexicain se compare aux statistiques de violence de la guerre en Irak ou en Afganistan, ce qui mets la population entre deux mires celle du gouvernement et de leur bande de
narco et les autres.

Pendant ce temps, aucune institution gouvernementale
n’a résolu la disparition de plus de 500 femmes qui travaillaient dans les maquiladoras à Ciudad Juarez, et au lieu de cela, réprime les organismes de droits humains qui enquètent sur la question…
Les prix de la vie augmentent et les salaires baissent (le salaire minimum est estimé à 51 pesos par jour) et ceux et celles qui haussent réclamer leurs libertés syndicales en dehors du 'charrismo' (les scabs ou syndicat jaune du PRI,
Partie Révolutionnaire Institutionneles) sont réprimés brutalement comme les miniers de Cananae ou les militaires sont rentré dernièrement.

Dans le sud mexicain comme à Oaxaca les projets du néo libéralisme rentre avec force comme les 54 000 hectares de terres ejidales (propriété collectives de la terres) ont été vendues à une entreprise minière canadienne dans la région de Ocotlan, mais les paysans se sont opposéEs et
ont érigé des barricades depuis mars 2009, le projet de l’autopiste qui passera par les terres ejidales de Cuilapam, Zaachila, Trinidad ou le communautés commence aussi là-bas leur résistance.
Dans la région de la Cañada plusieurs communautés cuicatèques sont aussi menacés par une autre entreprise minière canadiennne qui a exproprier 3 500 hectares de terres collectives. Dans la région de l’Istmo une entreprise à aussi exproprier 15 000 hectares de terres ejidales et là bas aussi les paysans résistent.
Ou le barrage du passage de la Reine qui risques d’inonder plusieurs communautés dans la régions de la côtes de Oaxaca.

Mais toutes ces
situations non aucune importance puisque Influenza rôde à Oaxaca… Les mort par mal nutrition, par le sida par le dengue, par le gouvernement assassin de Ulises Ruiz Ortiz non aucune importance puisque Influenza rôde à Oaxaca.
Non touriste ne venez pas voir se qui se passe à Oaxaca (encore moins au Chiapas oû l’EZLN résiste à la paramilitarisation et au cercle militaire, sans parler de Guerrero ou les communautés résistent le même genre de projet du capitalisme sauvage).
Non touriste ne venez pas voir, le Mexique c’est dangereux… Surtout pas dans la sierra Norte oû les terres
sont collectives et oû les gens sont heureux de garder leurs terres collectives(puisque selon Desmarest, spécialiste de la contre insurrection américaine la propriété privé est signe de sécurité nationale, voir
article de Simon ou de 'El Enemigo Comun')
Pendant ce temps à la maison Blanche il doivent être entrain de faire un plan pour augmenter l’hispanophobie pour continuer leurs projet de mur entre les États-Unis et le Mexique, la militarisation (la garde nationale risque d’être mobilisée) et la para-militarisation de la frontière (les minutes man, genre de KKK frontalier) .
De créer l’hispanophobie face à la crise économique et à l’organisation de la classe ouvrière mexicaine qui
vit, souvent clandestinement, au États-Unis puisque les dernières mobilisations de 2005 de millions de personnes pourrait créer une psychose beaucoup plus grande de la classe dirigeante…

Non l’influenza n’est pas le pire des danger pour l’humanité (il est à noter qu’elle n’est même pas mortelle), non le pire des danger s’est de continuer de croire que nous pouvons vivre dans un système qui crée des
déserts la oû il y avait des forêts, de créer des esclaves la oû il y avait des communautés, de créer la guerre la oû il y avait la paix, de créer des psychoses là oû il y avait la conscience…

Libertés pour les prisonniers politique!
Mort au Tyran Ulises Ruiz Ortiz et Felipe Calderon!
Terre, liberté, démocratie, santé, toit, pain, éducation