Les journaleux de Québécor ne sont pas seuls dans ce syndicat, d’autres qui n’écrivent pas les merdes de Québécor sont pris dans ce lockout (secrétaire, préposé aux petites annonces etc.), à eux et à elles vont notre solidarité.

Les journalistes du Journal de Montréal ne méritent pas une once de solidarité de la part ce ceux et celles qui luttent contre le capitalisme. Ils font la sale job de propagande qui est le travail normal des journaleux des médias du capital, ils ont étudiés pour cela ou se sont formés pour cela dans la pratique.

Mais ils ne sont pas seuls dans ce syndicat, d’autres qui n’écrivent pas les merdes de Québécor sont pris dans ce lockout (secrétaire, préposé aux petites annonces etc.), à eux et à elles vont notre solidarité.

Il n’y a pas de position de principe qui nous amènerait à soutenir ces tâcherons écrivains des menteries des boss et de leurs système. Comme nous ne soutiendrions pas une grève de flics, il faut faire la différence dans ce conflit. Si on ne franchit pas une ligne de piquetage par principe, quand on a une analyse et une position de classe, il faut reconnaître nos ennemis et les journalistes du Journal de Montréal sont de ceux-là. Rappelons leurs actions face aux luttes ouvrières et populaires, dénigrement et désinformation systématiques des grèves, infiltration des luttes populaires (squatt, etc.) et des manifestations pour, en misant sur le sensationnalisme, favoriser leurs répression.

Dans chacune des manifs radicales, les journalistes sont souvent l’objet mérité d’expulsion en tant qu’alliés des flics et des patrons. Gardons cette attitude exemplaire de mépris pour cette engeance médiatique.

Ni Québécor Ni Journaleux, Rompons cette fausse solidarité interclassiste.

Pour une critique active et pratique du spectacle médiatique.
Soutenons les travailleurs et travailleuses en lutte.

CLASSE CONTRE CLASSE