derniers développements du harcèlements contre Olivier, cycliste vélorutionnaire toulousain

C'est la 4è fois depuis ma sortie de taule le 27 mai dernier que je suis convoqué, une fois encore le motif invoqué est farfelu.

La première fois c'était soi-disant pour me donner mon billet de sortie de taule, 3 mois après celle-ci et alors que je l'avais depuis longtemps...

La seconde c'était les flics qui "m'invitaient" à aller déposer plainte, contre leurs collègues et les magistrats, la ficelle était un peu grosse !

la troisième c'était soi-disant pour m'entendre sur l'affaire qui m'oppose au dénommé Amar Belacel, procureur qui m'a collé en taule, a déposé plainte contre moi juste avant ma sortie, a placé dans ma cellule (avec la complicité active de la sous-directrice de la maison d'arrêt disciplinaire de Seysses, également femme du juge de la cour d'appel qui m'a condamné systématiquement à la taule ferme sans jamais me donner copie du dossier d'accusation et où le public et les journalistes étaient interdits d'entrée dans le batiment) un violeur malade mental multi-récidiviste, en prenant soin juste avant de lui couper toute camisole chimique. Autant le dire, une tentative de meurtre par personne interposée.

La quatrième fois c'était hier, jeudi 15 janvier, 2 flics en civil, en homme et une femme accompagné d'un gosse de 14/15 ans soi-disant "stagiaire-collège", sont venus me signifier à Mix-Art Myrys que j'étais à nouveau convoqué le jeudi 22 janvier (cela a fait sourire le gras poulet) à 10h au commissariat central sur l'affaire concernant le plaignant Amar Belacel.

Dans tout ça ce dernier est donc à la fois plaignant, victime, procureur, juge et bourreau...

N'ayant aucun acte violent à me reprocher, ni même une quelconque agression puisque je suis simplement militant d'une association appelée Vélorution ! qui défend les droits des cyclistes, les aide quotidiennement à réparer leurs bicyclettes et à leur donner des conseils et des soutiens, le tout en échange de troc fixé par la personne (pas par l'association), je me retrouve une nouvelle fois harcelé sur réquisition du procureur dénommé valet (probablement un cireur de parquet...)

Dans l'affaire concernant l'autre procureur j'ai été "jugé" le 2 décembre dernier ainsi : audience prévue à 14h avancée sans me prévenir à 9h du matin, sans m'avoir transmis la copie du dossier d'accusation malgré plusieurs lettres recommandées, condamné arbitrairement par défaut (et par la force des choses) à 5 mois fermes et 800 nEUROnes d'amende, sans mandat de dépôt à l'audience. J'ai fait appel 2 jours après.

Aujourd'hui 16 janvier, j'ai donc contacté la capitaine Fuseau pour réclamer la présence à l'audition de deux personnes de mon choix (elle a dit qu'elle n'avait pas la place dans son bureau, qu'elle en trouve un autre), exiger au préalable la copie du dossier d'accusation avant toute nouvelle audition ainsi que l'instruction immédiate de toutes les plaintes déposées par mes soins depuis 2002. Certaines sont passibles de la cour d'assise pour les magistrats et policiers concernés, elles ont été faites par de multiples lettres recommandées avec accusé de réception. J'exige que ces engagements soient faits par écrit par le procureur préalablement.

Ces derniers mois le harcèlement s'est aussi décliné en arrêtant mes allocations chômage et le droit au RMI.

N'ayant d'autre choix que de continuer mon travail au sein de l'association "Vélorution!" (de toute façon je suis passionné et 2 heures après ma sortie de taule j'étais de nouveau au boulot, comme juste avant la taule), je suis aussi obligé de prendre en compte cette nouvelle "donne".

Le lundi 19 janvier je serai à "la chapelle" rue Danielle Casanova dès 19h pour raconter en détail les choses précédemment évoquée, également je suis invité sur plusieurs radios associatives pour y parler de bicyclettes mais aussi de cette situation face à des magistrats et policiers néo-fascistes. Je vous invite toutes et tous à venir, également sur les marchés auxquelles l'association participe où je ne manquerai pas de vous tenir informé des derniers développements de "l'affaire".

Pour me soutenir pas besoin de fric, venez ! Et si je devais être séquestré à nouveau cela ne durera que quelques jours, ensuite vous pourrez venir manifester dans l'hôpital où je serai transférer.

S'il n'y a pas de Justice il n'y aura pas de paix, Vive la Vélorution !

Olivier Theron, membre fondateur de la Vélorution toulousaine.

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