L’État de Oaxaca est devenu un laboratoire de la répression, le peuple est jugé pour n’importe quelles actions; le tyran a criminalisé la lutte sociale.

L’État de Oaxaca est devenu un laboratoire de la répression, le peuple est jugé pour n’importe quelles actions; le tyran a criminalisé la lutte sociale.

L’agression contre les compagnons du CODEP, qui ont subi une perquisition des forces policières, les agressions contre les compagnons du CIPO-RFM, le harcèlement, la persécution et la surveillance, par des individus non identifiés habillés en civil et qui ressemble à des flics, de jeunes solidaires contre la guerre dans la bande de Gaza réalisé par Israèl et par les États-Unis, sont des exemples clairs de l,avancé du fascisme dans le monde, sans que personne ne les arrete. Hier a été attaqué avec une arme blanche par des individus de type porros (personne payé pour attaqué les gens du mouvements social), attaque traitre qui s-est fait en plein centre historique de la ville de Oaxaca. De ces actes laches nous responsabilisons le gouvernement du tyran et nous dénonçons que toutes agressions aura une réponse de manière organicé.

Jusqu’à aujourd’hui, la seule façon que Ulises Ruiz Ortiz a pu se maintenir au pouvoir est à travers les corps policiers, qui le couvrent devant le rejet populaire où il n’a jamais pu gouverner. La militarisation de l’ État fait partie de la vie quotidienne de ceux et celles qui vivent ici et veulent un monde libre, juste, digne et autonome.

Nous faisons appel à tous les acteurs de la société civile, de l’ État, nationaux et internationaux; pour dénoncer, se solidariser, manifester et unir nos forces avec les luttes emergentes dans tout le monde, pour que le tyran de Oaxaca tombe ainsi que tous les autres fascistes.

Pour la chute du tyran!

Liberté aux prisonniers politiques!

Réapparition avec vie des disparus!

Pour un monde libertaire, depuis le Oaxaca de Magón!

Collectif Libertaire Magoniste, 11 janvier 2009