Oaxaca représente un nouvel espoir pour l'humanité, la commune de oaxaca en 2006 (1) à montré dans les faits un tissus sociale qui s'est construit secrètement au cour des différentes résistances du peuple contre les différents tyrans qui ont essayé de contrôlé l'insoumission généralisé d'un peuple qui prend son destin entre s'est main. Se tissus social prend racine dans les traditions ancestrales des peuples autochtones. Une nouvelle théorie sociale se développe sur la base d'une pratique sociale à la fois ancestrale mais très actuelle dans les dilemme que vit l'humanité.
Oaxaca représente un nouvel espoir pour l'humanité, la commune de
>>> oaxaca
>>> en 2006 (1) à montré dans les faits un tissus sociale qui s'est
>>> construit
>>> secrètement au cour des différentes résistances du peuple contre les
>>> différents tyrans qui ont essayé de contrôlé l'insoumission généralisé
>>> d'un
>>> peuple qui prend son destin entre s'est main. Se tissus social prend
>>> racine dans les traditions ancestrales des peuples autochtones. Une
>> nouvelle théorie sociale se développe sur la base d'une pratique sociale
>> à la fois ancestrale mais très actuelle dans les dilemme que vit
>> l'humanité.
>>
>> L'écologie, l'humanisme, la répartition égalitaire des richesses, le
>> travail collectif, la jouissance de nos cinq sens, la terre et la
>> liberté,
>> les fête communautaires, la recherche d'un sens profond de la vie,
>> l'identité et la culture, la langue qui libère et non emprisonne, la
>> spiritualité qui s'éloigne du new agisme qui s'accomode dans nos société
>> de consommation, la terre collective qui s'oppose à la propriété privé,
>> l'assemblée communautaire qui s'oppose au mode de représentation
>> démocratique des sociétés bourgeoise et autoritaire. Ceci est une humble
>> apportation de quelqu'un qui à vécue, écouté, lit et débattue sur les
>> différente idéologie qui domine la gauche et qui veut amener une autre
>> lumière sur la force motrice de la résistance des zapatistes, de la
>> commune de Oaxaca, des révoltes des autochtones, des piqueteros
>> autonomiste de Quilmes, des différentes communautés en résistance qui
>> pensent que la théorie se forme dans la pratique quotidienne, un peu
>> partout en amérique latine mais se basant avant tout sur l'expérience
>> qui
>> se sont produite à Oaxaca avant tout. Je ne suis pas autochtone et je
>> pense que cette vision peux dépasser la seule question identitaire
>> puisqu'elle se base sur la force motrice de la communauté et cette
>> communauté se déplace autant en milieu urbain comme en milieu rurale, et
>> elle s'applique à ceux et celles qui sont prêts à laisser leurs
>> privilège
>> fondé sur l'individualisme pour se déplacer vers la nosotredad, ce qui
>> se
>> traduirais vers le nous autres, vers le sens collectif. Je parle en fais
>> de la communalité qui se base sur une vision libertaire des communautés
>> autochtones, mais qui peux s'appliquer à toutes les communautés qui
>> s'élèvent contre l'idéologie dominante, celle du capitalisme.
>>
>> Il ne faut pas idéaliser non plus les communautés autochtones puisque
>> beaucoup de contradiction y sont présente. Le machisme qui se développe
>> à
>> travers le sistème patriarcal, l'État qui rentre pars toutes les pores
>> possibles et qui envahit les communautés avec ses programmes
>> assistencialiste et de contrôle sociales, de l'immigration et du retour
>> dans les communautés avec des valeurs qui renforce les mécanismes du
>> capitalisme, de la religion imposé comme le catholicisme romain et des
>> sectes protestantes qui ne mène que vers la conformation à l'idéologie
>> dominante, de la mentalité de l'opprimée qui à pénétré à travers des
>> différentes phases de la colonisation, de l'esclavagisme et maintenant
>> de
>> main d'oeuvre docile, de l'accès à la télévision qui idéalise le modèle
>> occidentale de société de consommation qui ne montre que des modèles de
>> beautés à la peau blanche alors que la réalité dans laquelle vit la
>> majorité est en contradiction avec la projection de cette image.
>>
>> Mais je veux parler de cette communalité qui se renforcent dans la
>> subjectivité du sujet qui vit un processus de résistance. La femme qui
>> restait à la maison dans ses tâches domestiques et qui en 2006 allait
>> aux
>> barricades pour son tour de garde ou pour donner à manger au jeunes qui
>> affrontait les paramilitaires à coup de molotov préparer souvent par des
>> grands mères ou des enfants, de ces étudiants qui cotoyaient les jeunes
>> de
>> la rue aux barricades et qui du même fait vivait une réalité qu'il
>> n'apprenaient pas en classe, des gens des communautés qui inspirer par
>> le
>> processus urbain commençèrent à briser des siècles de domination et
>> reprendre le contrôle de leurs communauté contre les cacique (2) et
>> priiste locale membre du partie officielle responsable de la répression,
>> des professeurs qui étaient conscient de leur mission pédagogique, et
>> que
>> cette pédagogie devient libératrice seulement si elle accompagne le
>> peuple
>> dans sa lutte quotidienne pour une transformation radicale de la
>> société,
>> des travailleurs qui appaès leurs travail allait faire leurs tour de
>> gardes pour protéger leurs communautés ou leurs quartiers, des paysans
>> qui
>> donnaient une partie de leurs récoltes au service de la résistance, des
>> enfants qui ont accompagné la lutte du peuple de Oaxaca dans ces succès
>> et
>> dans ces risques dans une ville sous contrôle populaire, de ses femmes
>> qui
>> prirent et occupèrent le canal 9 pendant 3 semaine et puis quand elle
>> furent déloger reprirent 12 radios commerciales. Ses espaces de
>> subjectivités rebelles s'exerce dans un controle effectif du territoire.
>>
>> Les organisations orthodoxes souvent de tendances autoritaires(les
>> exemples comme le FPR (3) ou comme la dirigence de la section 22) et
>> verticales qui ont formés l'APPO n'avaient pas prévues la prise des
>> installations de télécommunications ni celle des barricades érigés dans
>> des quartiers libérer, certains même si opposèrent puisqu'elle sortait
>> du
>> cadre de leurs analyse et de leurs intérêts propre. Mais les quartiers
>> populaires, les communautés en processus de libération, les collectifs,
>> etc., comprirent tout de suite ces espaces de résistances et les
>> renforçairent dans la quotidienneté et se jusqu'à la rentré de la PFP
>> (police fédérale préventive). Non à Oaxaca se n'est pas le prolétariat
>> qui
>> à pris le pouvoir à travers de soviet mexicain (le prolétariat étant
>> quasi
>> inexistant vu le manque totale d'industrie), ce n'est pas une guérilla
>> de
>> type maoiste ou de type foquiste guevariste(4) ou un socialisme qui
>> prend le pouvoir par la force. Ceux et celles qui ont pris le contrôle
>> pendant plus de 6 mois ce sont la nosotredad, le nous collectif qui se
>> construits dans la résistance et qui repose sur l'expérience ancestrale
>> de
>> résistance des peuples autchtones. Pas d'avant garde sinon, maman,
>> enfant,
>> femme de ménage, artisanEs, membres des communautés, travailleurs,
>> anarchsites, communistes, socialstes, étudiants jeunes et moins jeunes,
>> enfants de la rue, paysans, sans emploies ce sont cotoyer dans les
>> barricades qui devenaient les lieux de rencontre, d'assemblées et de
>> concensus sur les nécessités du moment mais aussi sur les causes
>> profondes
>> du conflit qui oppose les opprimés des oppresseurs.
>>
>> Alors identifions les principes de la communalité vue par les
>> communautés:
>> la communauté, les terres collectives et le territoire, l'aide mutuelle,
>> les fêtes communautaires, les autorités communautaires et l'assemblé
>> communautaire, la langue, l'identité, la culture, le tequio (service
>> gratuit à la communauté), la spiritualité. Ses principes qui se vivent
>> dans la vie des communautés ont inspirés certains révolutionnaire
>> mexicain
>> comme les frères Magón (5), Praxedis Guerrero (6) du partie libérale
>> mexicain et l'esprit du magonisme hante encore aujourd'hui les idéaux de
>> ceux et celles qui ne se rendront pas jusqu'aux ultime conséquence à
>> Oaxaca mais aussi partout au Mexique et partout ou il ont laissé leurs
>> traces dont Montréal. Nous pourrions rajouter l'autonomie, l'autogestion
>> et l'action directe pour atteindre cet idéal puisque les germes de cette
>> transformation radicale germeront sur les cendres de la société
>> capitaliste.
>>
>> Pour les autochtones le territoires c'est la terre, l'eau, les roches
>> les
>> plantes, les insectes, les animaux, le feu, le vent les nuages, mais
>> aussi
>> l'identité et la culture, l'autodétermination et l'autonomie. Les
>> territoires actuelles des autochtones se sont ceu que les espagnols dans
>> beaucoup de cas leurs ont relégués puisque les vallées ont été occupés
>> parles hacienda, grandes propriété terrienne qui fut la base de la
>> colonisation et du capitalisme à Oaxaca en plus des mines. Beaucoup de
>> communautés ont donc été relégués au montagne et se sont habitué à ces
>> terres beaucoup moins productives et plus difficile d'accès qui sont
>> dans
>> la mire des projets actuelles des capitalistes pour les ressources
>> naturelles. L'autodétermination se renforce dans certains traités
>> internationale comme l'article 169 (7) de l'OIT (Organisation
>> Internationale du Travail) même si je suis conscient que
>> l'autodétermination réelle rentre en contradiction avec
>> l'interdépendance
>> qui c'est développé entre les communautés et le système capitaliste, et
>> qu'une rupture est nécessaire pour obtenir une autodétermination réelle
>> et
>> une autonomie dans les faits.
>>
>> La terre collective à été renforcé par la révolution mexicaine et la
>> réforme agraire qui s'en suivie à travers le slogan de terre et liberté
>> proclamé par le général Émiliano Zapata et son armé libératrice du sud
>> dans l'État de Morelos entre 1910 et 1919 et son influence dans
>> plusieurs
>> communautés autochtones et de l'insurrection de l'EZLN en 1994 contre
>> l'entré de l'ALÉNA, de la modification de l'article 27 de la
>> constitution
>> (8) et pour l'éducation, la santé , la démocratie, la justice, la terre,
>> et la liberté créant leurs propres territoires rebelles et construisant
>> l'autonomie dans les faits. Elle s'oppose directement avec le concept de
>> propriété privés et reste une des entraves principales dans le
>> développement du capitalisme et se base sur une économie paysanne qui
>> s'apparente selon Carl Marx Marx à dut communisme primitif mais qui pour
>> qui à une compréhension actuelle du monde autochtone, cela une vision
>> beaucoup plus profonde puisque pour les autochtones la terre c'est leur
>> mère, et ce concepte rentre dans une relation sacré qui surpasse le
>> simple
>> concept d'achat et de vente commun à la propriété privé et sa relation
>> comme marchandise.
>>
>> Le tequio représente le service gratuit à la communauté, travail qui ne
>> se
>> relie pas au salariat puisque sa logique est le bien commun et non la
>> formation d'une plus value Mais bien sur certaines contradiction se sont
>> installé comme dans les relations entre l'église et les tequio ou le
>> caciquisme est les tequios. Mais en générale le tequio est un travail
>> pour
>> construire des infrastructure communautaire et se pour bien être de la
>> communauté. Les tequios sont accordés par l'assemblé communautaire et
> sont donc issue de la démocratie directe. Maintenant à cause des
> mutations dans les communautés certaines formes d'argent sont apparues,
> par exemple la pénalité de quelqu'un qui ne participe pas au tequio doit
> payer une amende dans certaines communautés. D'autres personnes qui ont
> immigrés vers le nord pour compenser leurs non assistances aux tequios.
>
> La langue forme aussi la base de la communalité puisque le language est la
> construction de la réalité donc elle forme l'identité, accompagne la
> culture et soutient la résistance. Les communautés autochtones ont
> toujours eu une forme orale très développé comme forme d'échange de
> connaissances et de conservations des traditions. À Oaxaca il y a 16
> langues officielles (Zoques, Amuzgos, Chontales, Chochos, Chatinos,
> Triquis, Huaves, Cuicatecos, Nahuas Zapotecos, Mixtecos, Mazatecos,
> Chinantecos,Mixes) et plusieurs varientes selon les régions. La langue est
> aussi le soutient de la cosmovision autochtone et donne un sens à
> celle-ci.
>
> L'assemblé communautaire et les autorités communautaires ressemble
> beaucoup au modèle proposé comme la démocraite directe même si certaine
> lacune importante, comme la faute de participation directement dans
> l'assemblé, en éloigne la pratique, l'assemblé est la base décisionnelle
> des communautés. Les autorités communautaires sont nommés par les
> communautés et traditionnellement elle s'appauvrisse à l'exercise de leurs
> fonctions puisqu'elle doivent se concentrer à temp plein pour accomplir
> leurs fonctions (même si maintenant dans certaines communautés elle
> reçoivent un salaire, ce qui temps à créer des classes dans des
> communautés relativement homogène économiquement, et donc à créer des
> motifs de conflits). Il y différents responsabilités dans la communautés
> et les échelons pour s'élever dans ses responsabilités s'échelle sur toute
> une vie dans la communautés, donc les autorités en générale connaisse bien
> les problématique et son conseiller par les anciens de la communauté. Les
> tâches à exercé sont diverses: de topiles (polices communautaires, mais
> pas comme à montréal...), comité de l'église, comité de vigilance,
> secrétaire, trésorier, président, commissaire des biens communs (défense
> des droits sur la terre de la communauté), conseil des anciens. Ces
> responsabilités sont régis par les usages et les coutumes de chaque communauté. L'assemblé représente la volonté populaire mais elle peut être manipulé par d'autres intérêts comme celles des parties politiques, de la religion, d'intérêts pécunniers individuels, etc. Bref se modèle peu se rapprocher des conceptions anarchistes de la démocratie seulement s'il deviennent un lieu de résistance, de rupture avec l'idéologie dominante (9).
La spiritualté autochtone se base sur la cosmovision autochtones et s'éloigne des conceptions monothéiste du judéo-christiannisme pour se rapprocher de dieux, esprit qui se déplace dans le milieu naturelle comme les concept dévelloppé dans l'origine du monde selon le Popol Vuh des maya, ou la cosmovision des Mexica qui fondèrent l'empire Aztèque. Il y a 2 courants principales qui influence la spiritualité autochtone: le shamanisme (10) et la théologie indienne (11). Le shamanisme est une façon d'entrer avec les esprit ou les dieux de la nature et d'ouvrir d'autres portes sur d'autres réalités, un auteur qui à ouvert cette fenêtre sur cette autre réalité est Carlos Castaneda à travers l'expérience de peyotl (12). La théologie indienne se rapproche de la théologie de la libération et est un mélange de foi chrétienne, d'une idéologie qui prône la justice sociale et le respect des cultures autochtones et à été beaucoup influencé par une vision sociale de l'action évangélisatrice comme le cas de Samuel Ruiz au Chiapas ou la vision pédagogique de Paulo Freire au Brésil comme dans sont livre intitulé la Pédagogie de l'opprimé qui fût souvent un livre de chevet à côté de la bible pour certains curé révolutionnaire. Mais les deux tendances peuvent se mélanger dans le labyrinthe des croyances populaires et de l'insconscient collectif. Son antagonisme se rencontre depuis le début de la guerre de conquête par les espagnoles comme Hernan Cortès avec un dieu créationniste qui donna naissance à l'homme (forme péjorative de diminuer la femme et ainsi renforcer le système patriarcal), qui obéit au 10 commandements envoyé directement par Dieu à travers le christiannisme puis avec la formation de la religion catholique par l'empire romain et la formation du Vatican, puis les divisions comme avec Luther en Alemagne avec la formation des sectes protestante, mais dans les deux cas ils renforcent le respect à l'autorité et ont toujours été des alliés d'une vision conservatrice sur toutes les thèmes sociales et renforcent les engrenages du système capitaliste.
La fête communautaire renforcent cette vision spirituelle à travers de date importante et symbolique comme la moisson, la pluie, les fêtes religieuses, etc. L'exemple qui est massif à Oaxaca est la Guelagetza. La Guelaguetza en Zapotec était le terme employé pour décrire la cérémonie et la célébration tenues tous les ans pour célébrer les dieux en échange d'abondance de pluie et d'une moisson de maïs bienfaisante. Pour organiser une fête communautaire tout le monde participe de façon monétaire ou à travers la guetza (contribuer avec de la nourriture (tamales, poulet, dinde, mole, etc.), à travers l'alcool (mezcal, tequila, pulque, tepache,etc.) ou de toute autres manières. La banda est aussi un élément fondamentale comme groupe musicale, la banda est un groupe musicale d'où chaque individue à été formé à la musique souvent gratuitement par la communauté mais qui en retour doit jouer gratuitement dans les fêtes de la communauté. Il y a aussi un phénomène de répartition des richesses puisque ceux et celles qui ont plus doivent apporter plus et ceux qui ont moins apporte ce qu'il peuvent.
L'aide mutuelle (reprise dans la vision des naturalistes dans les relations développé entre les êtres vivant dans la nature mais aussi des anarchistes)(13) elle est à la base des relations qui régisse la communauté et elle s'exerce dans la quotidienneté des travaux de la communauté. Que ce soit dans les travaux de la milpa (ou les gens sement le maïs, les courges, les haricots et ou plusieurs plantes sauvages poussent et sont récolter aussi comme dans l'action de semer, labourer, désherber et récolter. Où les femmes quand il vont moudre les grains de maïs pour préparer les tortillas, activité qu'elle organisent de façon collective, ou quand elles confectionnent de l'artisanat. Où les sages femmes qui donne souvent gratuitement service dans les communautés pour donner la naissance vu le manque d'infrastructure de clinique médicale, où à travers des guérisseurs traditionnels qui utilisent les plantes naturelles.
La communalité bien qu'elle ne nie nullement la lutte des classes ni l'analyse du système capitaliste et l'apportation des grands philosophe sur le fonctionnement de celui-ci (exemple du capital de Marx) s'oppose au finalité politique qui prétende l'émancipation à travers la dictature du prolétariat. Puisque pour les communautés l'assemblés est l'autorité maximum, la dictature n'a jamais été un moyen d'obtenir la liberté. Pour les marxistes orthodoxes, soviétqiues, léniniste, stalinistes, trotskiste ( à l'exception des maoiste qui ont trouvé leurs forces motrices dans la paysannerie chinoise), l'avant garde se sont les prolétaires et le lieux d'agitations principales se sont les usines, et ce à travers la grève (bien que je ne sois nullement contre la grève, au contraire comme le montre les pratiques du magonisme mexicain)(14), sur la formation de syndicat révolutionnaire comme l'exemple des soviets russe ( la communalité est un compagnons de lutte des syndicats formés par les travailleurs, car il ne faut pas oublier que les ouvriers vivent dans un quartier et que se quartier tissent des liens qui rejoignent l'idée de communauté) Mais la communalité propose le territoire comme lieux de départ (et ce à travers le travail territoriale, dans son quartier, dans son lieux de travail, dans les communautés autochtones, les communautés rurales, les écoles, etc. comme base de la transformation sociale) et comme outils l'autonomie (celle qui se développe collectivement et non individuellement comme dans les conlits des autochtones en situation d'occupation coloniale ou militaire)(15), l'autogestion (16) comme moyen de produire sans patron, et l'action directe (17) comme moyen de combattre dans la guerre des classes ou contre toutes formes d'oppression et d'autoritarisme, ce qui s'oppose au moyen verticaliste des organisations bureaucratique qui lutte pour le pouvoir, ou des organisations vertical qui pense seulement à l'option politico-militaire comme manière de combattre le capitalisme et qui exclus ainsi à la majorité dans les processus militaire (même si dans le concept de guerre de classe, il ne faut jamais négliger les questions stratégiques politique et militaire il faut qu'elle répondent à un accord commun des communautés et non à une avant garde qui risque de faire réprimer à toute la communauté qui n'est pas préparer à la contre insurrection)
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>> (1)La situation à Oaxaca ne s’est pas arrangée depuis le début des
>> manifestations des enseignants il y a plus de 6 mois. Voici un petit
>> historique des dates importantes dans cette crise qui touche le Mexique
>> et
>> dont devra s’occuper le président entrant Felipe Calderón, entré au
>> pouvoir depuis le 1er décembre.
>> 22 mai : Les enseignants commencent des manifestations pour exiger une
>> hausse des salaires qui soit ajustée à la hausse du coût de la vie.
>> Ceux-ci occupent la ville pendant plusieurs semaines et bloquent la
>> ville.
>> 14 juin : Le gouverneur de l’Etat de Oaxaca décide de mener une
>> répression
>> contre ces enseignants afin de cesser ces manifestations. Le mouvement
>> commence alors à se radicaliser et prendre une tournure plus politique,
>> par la demande de destitution du gouverneur de Oaxaca, Ulises Ruiz
>> Ortiz.
18 juin : L’Assemblée populaire des peuples d'Oaxaca (APPO) qui regroupe
>> enseignants et autres manifestants, entame une campagne de désobéissance
>> civile et pacifique pour montrer l’absence d’autorité dans l’Etat et une
>> ingouvernabilité>> Cette revendication fut tout de suite reprise par la population de
>> Oaxaca.
>> Ceux-ci ont connaissance des manoeuvres de fraude électorales qui l'ont
>> mené au pouvoir et des affaires de corruption dont il est accusé.
>> 2 juillet : La population de Oaxaca, à l’occasion des élections
>> fédérales,
>> décide d’imposer un vote sanction contre le PRI (Parti Révolutionnaire
>> Institutionnel) et le PAN (Parti d’Action Nationale), et ainsi obtenant
>> une majorité avec la coalition Pour le bien de Tous qui écrasa le PRI.
>> Dès
>> lors, Ulises Ruiz n’est plus reconnu comme le gouverneur de l’Etat par
>> le
>> peuple. Pour faire face à la crise, le gouverneur fait quelques
>> changements parmi ses collaborateurs et décide de d’obtenir de l’aide du
>> gouvernement en reconnaissant la victoire de Felipe Calderón (ndmm :
>> Candidat à l’élection présidentielle et officiellement depuis le 1er
>> décembre, président des Etats-Unis du Mexique).
>> 22 juillet : 20 inconnus tirent avec des armes à feu sur les
>> installations
>> de Radio Universidad, puis le même jour suivent des agression aux
>> cocktails Molotov sur la résidence d’un dirigeant syndicaliste des
>> enseignants et quelques jours plus tard, sur la maison du dirigeant des
>> Organisations indiennes pour les droits humains. La manifestation
>> populaire se radicalise ainsi jour après jour, et de plus en plus de
>> civils meurent par la violence extrême du gouvernement envers la
>> population.
>> Confrontation face à la police fédérale (Photo de Francisco Alvarado)10
>> août : Une personne est tuée lors d’une manifestation à cause d’une
>> fusillade en provenance des toits qui seraient venus de policiers en
>> civil. Puis c’est l’escalade. Les manifestants s’emparent des radios
>> locales, et dans une tentative de reprise de ces radios, les forces de
>> l’ordre font un nouveau mort.
>> Septembre : Les élèves ne peuvent pas reprendre leur cours face à la
>> grève
>> des 70 000 enseignants. On estime que la baisse d’activité des
>> entreprises
>> a engendré une perte de plus 300 millions de dollars pour la ville.
>> L’APPO
>> se radicalise et une justice populaire s’instaure.
>> 4 octobre : L’APPO boycotte la table ronde organisée à Mexico pour
>> tenter
>> de régler le conflit où d’ailleurs aucune proposition n’est acceptée.
>> 22 octobre : Après 5 mois de conflits, les 70 000 enseignants en grève
>> décident par vote de reprendre le travail.
>> 27 octobre : 4 hommes dont un journaliste-cameraman américain sont tués
>> par balle, de tirs venant du toit du palais municipal de Santa Lucia. Ce
>> journaliste Bradley Roland Hill avait 36 ans et travaillait bénévolement
>> pour le site Indymedia.org. La toute dernière vidéo, très émouvante, du
>> caméraman a été mise en ligne et montre la violence qui règne dans la
>> ville (attention aux âmes sensibles...). Les meurtriers présumés seront
>> identifiés par la suite. Les jours qui suivent, les forces de l’Etat
>> reprennent le contrôle de la ville et défont les barricades.
>> 2 novembre : La police lance un assaut dans l’université de Oaxaca pour
>> tenter de reprendre la radio universitaire (vidéo de l'assaut).
>> 30 novembre : 141 prisonniers ont été transférés par hélicoptères vers
>> la
>> prison d’El Rincon, dans l’État du Nayarit.
>> 4 décembre : Plusieurs dirigeants de l’APPO sont arrêtés à Mexico dont
>> Flavio Sosa, un des leaders charismatiques du mouvement.
>> La principale revendication concernant la démission du gouverneur n’a pu
>> être satisfaite, notamment pour ne pas servir de jurisprudence et
>> entraîner une instabilité dans le pays.
>> De plus, les alliances du PAN (parti au pouvoir) avec le PRI empêchent
>> toute action contre un politique du PRI.
>> La situation sur place n’est pas prête de s’arranger et de se calmer, on
>> dénombre chaque jour de plus en plus de morts.
>> La quantité d’événements journaliers à Oaxaca est telle qu’il est
>> difficile d’en comprendre toutes les subtilités, donc cet article est un
>> récapitulatif peut-être incomplet d'un événement majeur au Mexique.
>> En tout cas, n’hésitez pas à intervenir dans les commentaires pour
>> réagir,
>> corriger toute éventuelle erreur dans ce bref article ou ajouter une
>> date
>> importante qui aurait été oubliée dans cette crise à Oaxaca.
>> (2)On a souvent considéré le caciquisme comme un concept uniquement
>> politique et dont la seule ambition serait de contrôler l'électorat. Le
>> cacique aura en fait été un composant de l'administration centralisée :
>> c'était le chef au niveau local de l'un des partis en place de l'époque,
>> et un maillon essentiel de la chaîne politique, puisque sa mission était
>> la manipulation électorale dans le but d'obtenir des résultats plus ou
>> moins factices, souvent par des moyens illégaux, et favorables au
>> dirigeant de son Parti politique.
>> (3)Le Front Populaire Révolutionnaire qui est dans plusieurs secteurs
>> des travailleurs et qui maintient des contacts directs avec le pouvoir est
>> une organisation de tendance stalinienne
>> (4)Le maoisme se définit par la guerre populaire prolongé comme en Chine et le guévarisme par la guerre de guérilla et des focos insurrectionnelles
>> (5)Il y eut pourtant dans cette révolution quelques «irrécupérables», parmi lesquels Ricardo Flores Magón, comme est obligé de l'admettre Jean Meyer, un des plus «éminents» historiens du Mexique: «Écartons les géants sans postérité (sic), comme Ricardo Flores Magón [...] Ce fut le seul radical conscient que le Mexique ait jamais eu, et cela le conduisit à mourir dans une prison nord-américaine. Flores Magón était doublement marqué par son enfance dans la montagne indienne de Puebla (il était le fils d'un ancien officier de Porfirio Diaz), et par son exil américain au contact des International Workers of the World (syndicats anarchistes) : de là son radicalisme rousseauiste, son utopie rurale communautaire, et son internationalisme ; de là sa devise qu'il a donnée à Zapata: “Terre et Liberté!”.»
>> (6)"Praxedis G. Guerrero, anarchist, militant, propagandist, poet and secretary to the 'Junta Organizadora del Partido liberal Mexicano' was the first Mexican anarchist to give his life for Land and Liberty, when he was killed, at the early age of only 28, during an attack on the town of Janos, Chihuahua, in the early months of the Mexican Revolution. Together with Ricardo Flores Magon, Praxedis was one of the main animators of the early revolutionary attempts made by the P.L.M., to rid Mexico of its ageing and dictatorial ruler, Porfirio Diaz, who for forty years, had subjected the Mexican people to the most cruel despotism and slavery; and during the imprisonment of Ricardo Flores Magon, between 1907 and 1910 Praxedis took on this revolutionary task almost single handed. Joining the P.L.M.'s Junta Organizadora in 1907 soon after its foundation. Praxedis not only became its most able and important 'military' organiser, but also a clear-sighted propagandist who contributed much to the anarchist ideas of the P.L.M.
>> (7) Cette convention est fondée sur le respect des cultures et des modes
>> de vie des peuples indigènes et tribaux et sur leur droit à une
>> existence
>> et à un développement continus axés sur les orientations de leur choix.
>> Elle contient des dispositions visant à guider leurs rapports avec
>> l'État,
>> y compris la protection contre les mesures discriminatoires et la
>> protection de leur patrimoine culturel et religieux, et elle prévoit la
>> réalisation d'études d'impact relativement aux projets de mise en
>> valeur,
>> s'il y a lieu, En outre, elle reconnaît que les peuples indigènes et
>> tribaux ont le droit à l'auto-identification et leur accorde
>> respectueusement la désignation de « peuples ».
>> En outre, la Convention 169 porte que les gouvernements doivent
>> consulter
>> les peuples indigènes et tribaux de leurs pays concernant les projets de
>> mise en valeur et autres activités les touchant, et elle établit les
>> critères relatifs à ces consultations. La Convention contient des
>> dispositions sur les droits fonciers, qui exigent le respect des
>> occupations traditionnelles, et prévoit des mesures visant la
>> reconnaissance et la protection de ces droits. En dernier lieu, la
>> Convention reconnaît que la situation des peuples indigènes et tribaux
>> dans les différents pays, et même dans un même pays, peut varier
>> énormément, et elle prévoit que ses dispositions doivent être appliquées
>> d'une manière souple.
>> Les Nations Unies et l'OIT élaborent en étroite collaboration des
>> activités visant la réalisation des objectifs de la Convention 169 et de
>> la Décennie internationale.
>> (8) Zapata était principalement influencé par un anarchiste du nord du
>> Mexique, Ricardo Flores Magón. On peut voir cette inspiration dans le
>> slogan zapatiste : "Tierra y libertad" (terre et liberté), ce qui était
>> le titre du plus fameux travail de Magón. La recontre de Zapata avec
>> l'anarchisme se fit par l'intermédiaire d'un instituteur, Otilio Montano,
>> qui présenta à Zapata le travail de Peter Kropotkin et Flores Magón à
>> l'époque où Zapata commençait à participer au combat des paysans pour
>> leurs terres. L'article 27 constitue le résultat de cette influence dans
>> la guerre révolutionnaire puis dans la révolution mexicaineet puis comme
>> base de la réforme agraire qui affecta la notion de propriété de la
>> terre au Mexique.
>>(9) C'est à partir de ces quelques constats que les anarchistes ont développé une toute autre idée de la démocratie. Nous pensons qu'il faut renverser la pyramide du pouvoir pour le ramener à la base : dans nos quartiers, dans nos lieux d'étude ou de travail. Là où nous vivons, là où nous travaillons, nous devons avoir la possibilité de se pencher sur les questions qui nous touchent. La démocratie n'a de sens que si elle se vit au quotidien, le plus directement possible. D'ailleurs, on trouve ici et là dans notre société des îlots de démocratie directe, la plupart du temps dans des espaces qui ont été créés pour faire contrepoids au système capitaliste et bureaucratique. Dans ces lieux de contre-pouvoir, l'assemblée générale sert souvent d'instance de délibération et de décision. Bien qu'imparfait, ce mode d'organisation a l'avantage de permettre à chacun de pouvoir s'exprimer, de débattre et de décider sur un pied d'égalité avec les autres. (extrait de la commune de la NÉFAC, section Montréal)>>
(10)Le chamanisme ou shamanisme est un système symbolique de médiation entre les êtres humains et les esprits de la surnature. Cette médiation a une fonction économique au sein de la communauté : gérer l'aléatoire. C'est le chaman qui incarne cette fonction, dans le cadre d'une interdépendance étroite avec la communauté qui le reconnaît comme tel.
(11)Quand nous avons commencé à parler de « théologies indiennes », nous ne prétendions pas inaugurer un courant théologique nouveau dans l’Eglise, ni occulter une théologie latino-américaine, mais attirer l’attention sur un phénomène très ancien et très actuel dans nos communautés : leur expérience particulière de la foi. La théologie indienne chrétienne reconnaît qu’il y a déjà eu une inculturation ou appropriation indigène de l’Evangile et de l’Eglise, qui s’est développée fondamentalement dans ce que l’on a appelé la religiosité populaire ou religion du peuple (Paul VI, Evangelii nuntiandi), qui est également partagée par des groupes humains qui ne sont pas indigènes. Elle est fondamentalement l’œuvre de nos ancêtres indigènes.>>
>(12)La pensée conceptuelle est un outil limité, lorsqu'il s'agit d'aborder réellement le travail sur la conscience. En effet, la conscience humaine a une tendance naturelle à s'identifier à la pensée, la limitant de ce fait. Les shamans eux utilisent une technologie, un agent extérieur, les plantes sacrées, de puissants psychotropes, qui permettent à l'individu guidé par eux de " décoller " la conscience de la pensée. L'inconscient se dévoile progressivement. Au cours de l'expérience une autre réalité apparaît, observée par l'œil de la conscience.>
(13)Tous les types de pensée anarchiste sont fondés sur des modèles de ‘contre-communautés’ : chaque philosophie anarchiste s’est référé à une collectivité qui pratique un idéal éthique, quoique souvent d'une façon rudimentaire. Pour les anarcho-syndicalistes, la collectivité significative est celle des ouvriers des usines et des ateliers. Le prolétariat n'est pas simplement un groupe exploité – comme l'observent les philosophes – ni simplement une groupe avec un pouvoir révolutionnaire – comme disent les marxistes ; le prolétariat est une collectivité sociale qui pratique l'aide mutuelle et la solidarité. Il y a dans la vie prolétarienne déjà un sens de liberté qui ressemble à la société anarchiste de l'avenir. Kropotkine, dans son livre L'aide mutuelle, a identifié et analysé la capacité politique des diverses communautés. Mais le prolétariat n'est pas la seule contre-communauté des anarchistes : on a pensé aux artisans, aux paysans et même aux réseaux des artistes d'avant-garde. Même les anarchistes les plus individualiste - Stirner et Godwin - conçoivent un sujet collectif susceptible d'action.
(14)Le PLM, organisation dirigée par des libertaires, participe à la création du
mouvement ouvrier organisé, bien avant l'introduction du marxisme au Mexique. Il
agit alors comme une force structurante, et ses revendications servent de base
idéologique à celles formulées avant, pendant et même après la révolution par les
travailleurs. Les grèves, fruit, entre autres, du travail du parti, permettent au
prolétariat de prendre conscience des vraies causes de sa misère : une exploitation
effrénée, soutenue par un régime qui la considère indispensable au développement du
pays. Le surgissement d'une forte opposition de la classe ouvrière naissante est
d'ailleurs un autre élément contribuant à la déstabilisation du régime de Porfirio
Díaz. C'est certainement pour ces raisons que D. Abad de Santillán soutient que R.
Flores Magón "a contribué, plus que quiconque au Mexique, à élever la conscience
morale du prolétariat esclave.
(15À l’opposé, dans les pays où les autochtones sont peu nombreux face aux descendants d’immigrants d’Europe et d’Afrique (comme le Canada, les États-Unis, mais aussi le Brésil, l’Argentine et le Chili), ils n’ont jamais considéré qu’ils possédaient la même identité nationale que la majorité – qui les en a exclus également. En conséquence, dans le contexte d’une lutte de nations occupées contre une nation coloniale dominante, on met l’accent sur la légitimité que donne le statut de premiers habitants du territoire, avant la constitution des divers États-Nations. Et on réclame diverses formes d’autonomie régionale, dans les zones où les autochtones constituent encore la majorité. La terre qu’on réclame ici, c’est un territoire, lié à un imaginaire de type national, que développent leurs organisations. Ce n’est pas seulement à l’État qu’on s’oppose alors, mais bien à l’ensemble des « occupants », y compris les agriculteurs et les travailleurs des entreprises forestières et minières. Les principaux alliés qu’on peut alors trouver, ce sont des Églises progressistes et des groupes écologistes. Les victoires, ici, se matérialisent sous la forme de régions autonomes régies par des formes traditionnelles de gouvernement. Aucun partage du pouvoir n’est envisagé avec un État de type occidental.
(16)Il existe cependant une autre définition, plus politique ; y sont intégrés d'autres paramètres avec une certaine variabilité. Ses postulats sont la suppression de toute distinction entre dirigeants et dirigés, la transparence et la légitimité des décisions, la non appropriation par certains des richesses produites par le collectif, l'affirmation de l'aptitude des humains à s'organiser sans dirigeant. Cette définition se construit en général explicitement contre des pratiques qualifiées de hiérarchiques, autoritaires, verticales, contre des formes de dépossession que constituent certains modes d'organisation. En d'autres termes, ce type d'autogestion, permet une réappropriation d'une forme d'organisation collective. Par ailleurs, cette définition permet des pratiques d'autogestion qui ne se limitent pas au seul champ économique.
(17) Le vrai révolutionnaire est par excellence un hors-la-loi. Celui qui s'efforce de respecter la Loi sera tout au plus un bon animal domestique ; mais jamais un vrai révolutionnaire.
La Loi conserve, la Révolution rénove. S'il faut rénover, il faut donc commencer par briser la Loi.
Prétendre que la Révolution peut se faire selon la Loi, est une folie, un contresens. La Loi est un joug : qui veut s'en libérer doit le briser.
Celui qui dit aux travailleurs que, tout en respectant la Loi, on peut obtenir l'émancipation du prolétariat, est un menteur, parce que la Loi ordonne de laisser aux mains du riche ce qu'il nous a volé. Or, l'expropriation de la richesse, pour le bénéfice de tous, est la condition sans laquelle il ne peut y avoir d'émancipation humaine.
La Loi est un frein et avec des freins, on ne peut atteindre la liberté. (Les illégalistes, Ricardo Flores Magón)
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