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Hausses de loyer au 1er juillet 2007 à Montréal (incluant Laval et Longueuil), Québec, Granby, Valleyfield et Trois-Rivières

Anonyme, Wednesday, July 4, 2007 - 10:19

RCLALQ

Ci-dessous, cinq communiqués sur les hausses de loyer au 1er juillet 2007 à Montréal (incluant Laval et Longueuil), Québec, Granby, Valleyfield et Trois-Rivières.

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À l’attention de la direction de l’information

Communiqué de presse

À Montréal, des hausses de loyer de 4,4% au premier juillet 2007
Montréal, le mercredi 4 juillet 2007. À partir de l’analyse d’un échantillon de locataires rencontrés ce printemps, le Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ) constate que les locataires de Montréal ont reçu de leur propriétaire des demandes moyennes d’augmentation de loyer de 4,4% lors de la dernière période de renouvellement des baux. À Laval, les demandes de hausses sont en moyenne de 3,7% tandis qu’elles ont été de 4,3% à Longueuil. Dans la grande majorité des cas de l’échantillon étudié, le chauffage est à la charge des locataires et leurs logements n’avaient pas subi de réparations majeures. Pour ces situations, en absence de variation des taxes foncières, l’indice d’ajustement des loyers, publiés par la Régie du logement en janvier dernier, était de 0,8%.

«Malheureusement, ces nouvelles hausses de loyer s’ajoutent à celles des années antérieures», se désole André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. Déjà, selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers a bondi de 25% dans la Région de Montréal (logement de deux chambres à coucher).

Ces nouvelles données rejoignent les autres compilées par des membres de Québec du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ). Selon les cas recensés à Québec, les hausses de loyer moyennes en 2007 sont de 4,2%. Selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers des logements de deux chambres à coucher a bondi de 23 % dans la Région de Québec, 22,6 % dans celle de Gatineau, 18,2 % dans celle de Trois-Rivières et 17,8 % dans celle de Sherbrooke.

«Il ne fait pas de doute que la méthode actuelle de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer», précise André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. La ministre des Affaires municipales et des Régions, Madame Nathalie Normandeau, a en main diverses solutions pour corriger le travail de la Régie du logement.

D’autres hausses à prévoir avec les déménagements

Vu l’absence de registre des baux et l’inefficacité du contrôle des loyers, la période des déménagements sera une autre occasion pour certains propriétaires de profiter du départ de leur locataire pour hausser considérablement le coût du loyer. En attendant, le RCLALQ encourage les locataires qui déménagent à «passer leur bail» à ceux et celles qui aménagent afin de leur donner la possibilité d’exercer un recours très peu utilisé, celui de demander la révision du coût de leur loyer. Selon le dernier rapport annuel de la Régie du logement, ce recours n’avait été exercé que 436 fois en 2005-2006 pour l’ensemble du Québec.

Pour ce faire, les locataires disposent de deux mois après le début du bail pour contester le coût du loyer si la section G du bail n’a pas été complétée («avis au nouveau locataire»). Cependant, si la section G du bail est remplie, les locataires ne disposent que de dix jours à partir de la conclusion du bail. En cas de fausse déclaration de la part du locateur, les locataires ont deux mois à partir de la connaissance de la fraude pour déposer leur recours. «Comme souvent la section G demeure incomplète, l’entraide entre locataires est une des rares avenues pour suppléer à l’absence d’un registre des baux», précise André Trépanier du RCLALQ.

Des données par quartier sont disponibles sur demande.

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À l’attention de la direction de l’information

Communiqué de presse

À Québec, des hausses de loyer de 4,2% au 1er juillet 2007 au bénéfice de grandes corporations
Québec, le 3 juillet 2007???. «Une fois de plus, les locataires de Québec ont du faire face à d'importantes hausses de loyer en 2007», déplore Mathieu Houle-Courcelles du Bureau d'animation et information logement du Québec métropolitain (BAIL). D'après les données recueillies par l'organisme, les propriétaires ont demandé des augmentations de 4 à 5 fois supérieures aux taux d'ajustement de la Régie du logement (hausses moyennes de 4,2%). Déjà, selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers a bondi de 23% dans la Région de Québec (logement de deux chambres à coucher).

La hausse des taxes foncières y est certainement pour quelque chose. Toutefois, bien des immeubles comptant plus de 50 logements ont vu leur compte de taxe baisser en 2007. De nombreux propriétaires ont tenté de profiter de la situation en demandant quand même de fortes augmentations de loyer auxquelles ils n'avaient pas droit. De grosses entreprises, comme Boardwalk Equities, s'en sont mis plein les poches! Le BAIL déplore que les locataires ne puissent pas obtenir une diminution du coût de leur loyer lorsque les dépenses du propriétaire baissent de la sorte.

Ces nouvelles données rejoignent les autres compilées par des membres du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ). Selon les cas recensés par le RCLALQ, les hausses de loyer moyennes en 2007 sont de 4,4% à Montréal. Selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers des logements de deux chambres à coucher a bondi de 25 % dans la région de Montréal, 22,6 % dans celle de Gatineau, 18,2 % dans celle de Trois-Rivières et 17,8 % dans celle de Sherbrooke.

«Il ne fait pas de doute que la méthode actuelle de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer», précise André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. Le gouvernement du Québec doit mettre fin à l’iniquité des règles en fixation des loyers qui fait supporter aux locataires, lors du renouvellement du bail, les augmentations de dépenses du locateur sans leur permettre de bénéficier des baisses de celles-ci.

D’autres hausses à prévoir avec les déménagements

Vu l’absence de registre des baux et l’inefficacité du contrôle des loyers, la période des déménagements sera une autre occasion pour certains propriétaires de profiter du départ de leur locataire pour hausser considérablement le coût du loyer. En attendant, le BAIL et le RCLALQ encouragent les locataires qui déménagent à «passer leur bail» à ceux et celles qui aménagent afin de leur donner la possibilité d’exercer un recours très peu utilisé, celui de demander la révision du coût de leur loyer. Selon le dernier rapport annuel de la Régie du logement, ce recours n’avait été exercé que 436 fois en 2005-2006 pour l’ensemble du Québec.

Pour ce faire, les locataires disposent de deux mois après le début du bail pour contester le coût du loyer si la section G du bail n’a pas été complétée («avis au nouveau locataire»). Cependant, si la section G du bail est remplie, les locataires ne disposent que de dix jours à partir de la conclusion du bail. En cas de fausse déclaration de la part du locateur, les locataires ont deux mois à partir de la connaissance de la fraude pour déposer leur recours. «Comme souvent la section G demeure incomplète, l’entraide entre locataires est une des rares avenues pour suppléer à l’absence d’un registre des baux», précise André Trépanier du RCLALQ.

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À l’attention de la direction de l’information

Communiqué de presse

À Granby, des hausses de loyer de près de 5% au premier juillet 2007
Granby, le mercredi 27 juin 2007. À partir de l’analyse d’un échantillon de locataires rencontrés ce printemps, l’ACEF Montérégie-Est constate que les locataires de Granby ont reçu de leur propriétaire des demandes moyennes d’augmentation de loyer de 4,8% lors de la dernière période de renouvellement des baux. Dans tous les cas de l’échantillon étudié, le chauffage est à la charge des locataires et leurs logements n’avaient pas subi de réparations majeures. Pour ces situations, en absence de variation des taxes foncières, l’indice d’ajustement des loyers, publiés par la Régie du logement en janvier dernier, était de 0,8%.

«Malheureusement, plusieurs de ces locataires n’ont pu refuser la hausse de loyer demandée car elle était justifiée par la forte augmentation des taxes foncières, qui a pu atteindre 40% dans notre municipalité», se désole Annie Riendeau, coordonnatrice de l’ACEF Montérégie-Est. Déjà, selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers a bondi de 26% à Granby (logement de deux chambres à coucher).

Ces nouvelles données rejoignent les autres compilées par des membres du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ). Selon les cas recensés par le RCLALQ, les hausses de loyer moyennes en 2007 sont de 4,2% à Québec et de 4,4% à Montréal. Selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers des logements de deux chambres à coucher a bondi de 25 % dans la région de Montréal, 23 % dans celle de Québec, 22,6 % dans celle de Gatineau, 18,2 % dans celle de Trois-Rivières et 17,8 % dans celle de Sherbrooke.

«Il ne fait pas de doute que la méthode actuelle de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer», précise André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. Le gouvernement du Québec doit mettre fin à l’iniquité des règles en fixation des loyers qui fait supporter aux locataires, lors du renouvellement du bail, les augmentations de dépenses du locateur sans leur permettre de bénéficier des baisses de celles-ci. «Si à Granby, les locataires sont pris à assumer la majoration de taxes liées à leur immeuble, par exemple à Québec, des locataires de grands immeubles subissent des hausses de loyers malgré la baisse de taxes dont bénéficient leurs propriétaires», ajoute le porte-parole du RCLALQ.

D’autres hausses à prévoir avec les déménagements

Vu l’absence de registre des baux et l’inefficacité du contrôle des loyers, la période des déménagements sera une autre occasion pour certains propriétaires de profiter du départ de leur locataire pour hausser considérablement le coût du loyer. En attendant, l’ACEF Montérégie-Est et le RCLALQ encouragent les locataires qui déménagent à «passer leur bail» à ceux et celles qui aménagent afin de leur donner la possibilité d’exercer un recours très peu utilisé, celui de demander la révision du coût de leur loyer. Selon le dernier rapport annuel de la Régie du logement, ce recours n’avait été exercé que 436 fois en 2005-2006 pour l’ensemble du Québec.

Pour ce faire, les locataires disposent de deux mois après le début du bail pour contester le coût du loyer si la section G du bail n’a pas été complétée («avis au nouveau locataire»). Cependant, si la section G du bail est remplie, les locataires ne disposent que de dix jours à partir de la conclusion du bail. En cas de fausse déclaration de la part du locateur, les locataires ont deux mois à partir de la connaissance de la fraude pour déposer leur recours. «Comme souvent la section G demeure incomplète, l’entraide entre locataires est une des rares avenues pour suppléer à l’absence d’un registre des baux», précise André Trépanier du RCLALQ.

Pour conclure, l’ACEF et le RCLALQ espèrent que la rencontre d’aujourd’hui avec M. François Bonnardel, député de Shefford et critique de l’Opposition officielle en Habitation, soit porteuse d’espoir pour les locataires. Les problèmes de logement sont nombreux au Québec, notamment ceux liés au coût des loyers. Dans les prochains mois, M. Bonnardel pourra compter sur la collaboration de l’ACEF et du RCLALQ pour l’aider à assumer ses nouvelles fonctions.

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À l’attention de la direction de l’information

Communiqué de presse

À Valleyfield, un propriétaire se démarque avec des hausses de loyer abusives
Salaberry-de-Valleyfield, le mardi 3 juillet 2007. À partir de l’analyse d’un échantillon de locataires rencontrés ce printemps, le Comité logement Valleyfield (CLV) remarque que M. RV, propriétaire de plusieurs logements de la municipalité, se démarque avec des demandes d’augmentations de loyer variant de 10% à 16%. Ses demandes, qui sont formulées avec intimidation auprès de ses locataires, visent pourtant des logements dont le chauffage est à la charge des locataires et qui n’ont fait l’objet d’aucune réparation majeure. «Les locataires qui ont ce propriétaire ou ce type de locateurs sont invités à communiquer avec le Comité logement Valleyfield pour avoir de l’aide pour défendre leurs droits», souligne Guilaine Pouliot, coordonnatrice du Comité.

Du même souffle, le CLV constate des hausses moyennes de plus de 6% à Valleyfield pour le 1er juillet 2007 résultant de la dernière période de renouvellement des baux. Pour la presque totalité des cas rencontrés, l’indice d’ajustement des loyers, publiés par la Régie du logement en janvier dernier, était de 0,8%. Déjà, selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers a bondi de 17,3% à Valleyfield (logement de deux chambres à coucher).

Ces nouvelles données rejoignent les autres compilées par des membres du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ). Selon les cas recensés par le RCLALQ, les hausses de loyer moyennes en 2007 sont de 4,2% à Québec et de 4,4% à Montréal. Selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers des logements de deux chambres à coucher a bondi de 25 % dans la région de Montréal, 23 % dans celle de Québec, 22,6 % dans celle de Gatineau, 18,2 % dans celle de Trois-Rivières et 17,8 % dans celle de Sherbrooke.

«Il ne fait pas de doute que la méthode actuelle de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer», précise André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. Le gouvernement du Québec doit entre autres mettre fin à l’iniquité des règles en fixation des loyers qui fait supporter aux locataires, lors du renouvellement du bail, les augmentations de dépenses du locateur sans leur permettre de bénéficier des baisses de celles-ci. «Par exemple, à Granby, les locataires sont pris à assumer la majoration de taxes liées à leur immeuble pouvant atteindre 40%, tandis qu’à Québec, des locataires de grands immeubles subissent des hausses de loyers malgré la baisse de taxes dont bénéficient leurs propriétaires», ajoute le porte-parole du RCLALQ.

D’autres hausses à prévoir avec les déménagements

Vu l’absence de registre des baux et l’inefficacité du contrôle des loyers, la période des déménagements sera une autre occasion pour certains propriétaires de profiter du départ de leur locataire pour hausser considérablement le coût du loyer. En attendant, le CLV et le RCLALQ encouragent les locataires qui déménagent à «passer leur bail» à ceux et celles qui aménagent afin de leur donner la possibilité d’exercer un recours très peu utilisé, celui de demander la révision du coût de leur loyer. Selon le dernier rapport annuel de la Régie du logement, ce recours n’avait été exercé que 436 fois en 2005-2006 pour l’ensemble du Québec.

Pour ce faire, les locataires disposent de deux mois après le début du bail pour contester le coût du loyer si la section G du bail n’a pas été complétée («avis au nouveau locataire»). Cependant, si la section G du bail est remplie, les locataires ne disposent que de dix jours à partir de la conclusion du bail. En cas de fausse déclaration de la part du locateur, les locataires ont deux mois à partir de la connaissance de la fraude pour déposer leur recours. «Comme souvent la section G demeure incomplète, l’entraide entre locataires est une des rares avenues pour suppléer à l’absence d’un registre des baux», précise André Trépanier du RCLALQ.

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À l’attention de la direction de l’information

Communiqué de presse

À Trois-Rivières, des hausses de loyer de 5,4% au premier juillet 2007
Trois-Rivières, le mercredi 4 juillet 2007. À partir de l’analyse d’un échantillon de locataires rencontrés ce printemps, le Comité logement Trois-Rivières (CLTR) constate que les locataires de Trois-Rivières ont reçu de leur propriétaire des demandes moyennes d’augmentation de loyer de 5,4% lors de la dernière période de renouvellement des baux. Dans presque la totalité des cas de l’échantillon étudié, le chauffage est à la charge des locataires et leurs logements n’avaient pas subi de réparations majeures. Pour ces situations, en absence de variation des taxes foncières, l’indice d’ajustement des loyers, publiés par la Régie du logement en janvier dernier, était de 0,8%.

«Malheureusement, ces nouvelles hausses de loyer s’ajoutent à celles des années antérieures», se désole Kevin Newbury, du CLTR. Déjà, selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers a bondi de 18,2 % dans la Région de Trois-Rivières (logement de deux chambres à coucher).

Ces nouvelles données rejoignent les autres compilées par des membres du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec (RCLALQ). Selon les cas recensés, les hausses de loyer moyennes en 2007 sont de 4,2% à Québec et de 4,4% à Montréal. Selon la SCHL, entre 2000 et 2006, le coût des loyers des logements de deux chambres à coucher a bondi de 25% dans la Région de Montréal, 23 % dans la Région de Québec, 22,6 % dans celle de Gatineau et 17,8 % dans celle de Sherbrooke.

«Il ne fait pas de doute que la méthode actuelle de la Régie du logement ne protège pas adéquatement les locataires contre les hausses de loyer», précise André Trépanier, responsable des dossiers politiques du RCLALQ. La ministre des Affaires municipales et des Régions, Madame Nathalie Normandeau, a en main diverses solutions pour corriger le travail de la Régie du logement.

D’autres hausses à prévoir avec les déménagements

Vu l’absence de registre des baux et l’inefficacité du contrôle des loyers, la période des déménagements sera une autre occasion pour certains propriétaires de profiter du départ de leur locataire pour hausser considérablement le coût du loyer. En attendant, le CLTR et le RCLALQ encourage les locataires qui déménagent à «passer leur bail» à ceux et celles qui aménagent afin de leur donner la possibilité d’exercer un recours très peu utilisé, celui de demander la révision du coût de leur loyer. Selon le dernier rapport annuel de la Régie du logement, ce recours n’avait été exercé que 436 fois en 2005-2006 pour l’ensemble du Québec.

Pour ce faire, les locataires disposent de deux mois après le début du bail pour contester le coût du loyer si la section G du bail n’a pas été complétée («avis au nouveau locataire»). Cependant, si la section G du bail est remplie, les locataires ne disposent que de dix jours à partir de la conclusion du bail. En cas de fausse déclaration de la part du locateur, les locataires ont deux mois à partir de la connaissance de la fraude pour déposer leur recours. «Comme souvent la section G demeure incomplète, l’entraide entre locataires est une des rares avenues pour suppléer à l’absence d’un registre des baux», précise André Trépanier du RCLALQ.

Site du Regroupement des comités logement et associations de locataires du Québec
www.rclalq.qc.ca


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