Soutenez vous les brésiliens, notre Président Luís Inácio Lula da Silva, le congrès national et l'ordre judiciaire brésilien dans notre combat de sorte que le budget national est appliqué dans les titres prévus légalement et non déviés pour garantir l'enrichissement délirant des banquiers et des prêteur sur gages dans les dommages d'intérêts les plus sacrés de la nation.

Le Brésil : Invocation aux forces démocratiques de la société mondiale.

En soutien aux brésiliens et au Président Luís Inácio Lula da Silva, pour l'exécution correcte de la loi budgétaire brésilienne annuelle !

Si vous travaillez de sorte que la loi, la droite et la constitution garantissent la commande de la société sur l'économie, la culture, l'environnement et la vie.

Si vous combattez de sorte que le législatif, l'ordre judiciaire et la presidence ne soient pas dominés par financiation de campagne électorale ni par la puissance de grands coorporations et oui pour la voix de la citoyenneté.

Si vous rêve de l'espace dans les medias pour la manifestation des avis de tous les secteurs.

Soutenez vous les brésiliens, notre Président Luís Inácio Lula da Silva, le congrès national et l'ordre judiciaire brésilien dans notre combat de sorte que le budget national est appliqué dans les titres prévus légalement et non déviés pour garantir l'enrichissement délirant des banquiers et des prêteur sur gages dans les dommages d'intérêts les plus sacrés de la nation.

Moins d'un mois de la fin de l'année, le rayon X de l'exécution budgétaire du gouvernement prouve que le budget de l'union continue à être un morceau de fiction. Des 341 programmes que les dépenses budgétaires est divisées, 102 ont l'exécution subordonné à 30%. La moyenne de dépenses calculé par rapport c'est de 76.9% - néanmoins nous avons déjà passé 94.5% de jours de l'année.

Un exemple sont des programmes d'hygiène de base, celle ont le pourcentage très petit de l'exécution : 2.5% à 18.7% de prévu. De R$ 1.1 milliard a réservé au budget de 2006 pour des services urbains de l'eau et d'égout, seulement R$ 126 millions avait été payé jusqu'ici. Le programme d'appui au développement urbain de petites villes est encore qui pratiquement paralysé: de R$. 869 millions, seulement 0.1% avaient été exécutés.

Voulez-vous savoir pourquoi ? En 2006, 490 milliards de Reals (U.S.$ 220.000.000.000, 00) avait été destiné à la rémunération du presumé le financement de l'état brésilien, comme il se produit pendant des années en fonction des initiatives de M. FHC. Ils avaient été plus de 205 milliards de Reals en intérêts et amortissements de la dette interne et plus de 295 milliards dans le refinancement de la même, titres où « sont cachés » les opérations de « prendre l'argent » à côté « de l'initiative privée ». La même source, le système d'information de sénat brésilien, enregistre des paiements totaux de l'ordre de 651 milliards de Reals, pour une collection autour des 330 milliards, jusqu'à octobre, selon le secrétariat des ressources fédérales.

L'état brésilien se rassemble beaucoup avec des hommages et également avec des aberrations car le CPMF et absolument il n'a pas besoin de prendre l'argent prêté des banquiers et des prêteur sur gages comme il avait fait et beaucoup moins de les rembourser toujours à très court terme et avec les intérêts les plus élevés étrangement définis par le même gouvernement à travers le COPOM.

Des centaines de milliards de Reals avaient été émises depuis FHC, afin de garantir la rémunération des banquiers et des prêteur sur gages, chaque fois qu'il n'y avait aucun argent. Pour émettre pour le développement, cependant, on l'interdit donc censément produirait de l'inflation.

Il n'est pas exclusivement où, cependant, les banquiers et les prêteur sur gages gagnent un bon nombre d'argent facile: certains anciens ministres du STF avaient tenu en arrière depuis l'année 2000 le jugement de l'unconstitutionality du MP, toujours de M. FHC, que s'opposant à la loi de l'usure et de la constitution, authorizé la collection d'intérêts sur des intérêts aux financements du consommateur, qui est pauvre/ouvrier.

Les Brésiliens, la civilisation et le respect international vous remercient de vos mots et actions amicaux d'appui et de solidarité.

Antonio Bulhões Carvalho,

Citoyens Brésiliens pour une Société Démocratique.