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La cupidité dégénère la luciditéAnonyme, Thursday, June 15, 2006 - 17:27
Diogène
Dans le Monde De toutes parts, la révolte gronde, car presque personne ne loge dans un château. Ainsi, en voyant le sourire radieux des têtes couronnées, on compare sans mal sa situation, depuis la case de sans-papiers où logent tous les malheureux qui voyagent vers une existence meilleure : séparé de leurs familles, logés à la rue ou presque, soignés peut-être … La différence pourtant, n’est pas si grande entre un prince militaire et un prince de sa femme : la naissance, la vie ! Seule la mort ne fait pas de différence, mais l’agonie, si. A l’agonie, il vaut encore mieux être riche. Alors pour le fric, c’est une lutte à mort ; pour vingt euros comme pour des millions … C’est fou, non ? Que l’argent et toutes ces lois faites pour le garantir, perdure avec la démocratie. Peut-être au fond, que les prolétaires, les sans abris et les sans papiers ne rêvent plus … L’émigration En plus, qu’un franco-espagnol/Jérusalem/Rome/ etc … Refuse les autres, c’est non seulement du culot, mais peu de compréhension de l’existence de leurs parents, grand-parents et arrières grands-parents jusqu’à la révolution industrielle ; c’est tirer de leçon que « Chacun pour soi et dieu pour tous ! ». C’est faire du rêve d’un Hitler une demi réalité, et cela prouve la schizophrénie de ceux qui rejettent leurs origines de migrants. (Je suis/Je ne suis pas descendant de migrants) Que propose la psychologie contre ça ? Rien, car non seulement en ne faisant rien, les foules descendants de migrants prouvent avec leur intégration l’oubli de leurs racines et donc leur abâtardissement, mais aussi leur cupidité. Pas étonnant qu’on trouve autant de cons en France (-Stipés, -tribuables pour l’armée, -cupiscents, etc …) et si peu de congénères. Et finalement, divisés entre français et pas français, les cons génèrent des cons au lieu que des congénères se serrent la main … |
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