|
Libérez-nous les québécoisAnonyme, Tuesday, December 6, 2005 - 10:59
anonyme
Libérez-nous les québécois Après la conquête du Québec par les anglais en 1760, les québécois sont devenu un peuple qui a été tenu dans l’ombre. Ceci a été accompli par notre merveilleux clergé ainsi que par «l’establishment» anglais avec leur projet d’assimilation des Canadiens francophones du Québec. Avec les années et les échecs face à notre assimilation les dirigeants canadiens en sont venu a décidé de passé le message en dessous de la table. Ce petit jeu, a fort bien fonctionné jusqu’au années 1950, mais cela a donné naissance a une nouvelle identité en tant que, Québécois. Cet identité est apparu au cours des années soixante avec l’arrivée d’un nouveau parti politique véhiculant une idée fort audacieuse, qu’est celle de l’autodétermination d’un peuple : La naissance de la nation Québécoise. Depuis ce temps, le projet a subi bien des changements. À travers deux référendums, cette idéologie a fait son chemin. De plus en plus, les gens se refont une identité depuis l’amère défaite de 1995. Défaite ? À l’époque, nous nous sommes résigné devant l’échec mais aujourd’hui, avec la sorti au grand jour du scandale des commandites ont s’aperçoit que le programme d’assimilation des Québécois était beaucoup mieux rodé, que ce que nous pensions. Non seulement NOTRE argent a servi à enrichir des capitalistes sans scrupules, mais en plus, elle nous a privé de notre fierté de devenir et d’être enfin maître de notre destin. Avec la publication du point de rupture, on ne peut plus le caché, en 1995, si la campagne du non n’avait pas été renforcé par le système de versement des commandites, ainsi que par environ 100000 voix volées, le Québec serait aujourd’hui ma patrie, ma nation, et non une simple province où le gouvernement fédéral se permet d’exploité sans la moindre préoccupation et sans le moindre développement durable. Ils ne mentionnent pas non plus, que tous ces investissements parviennent de l’étranger pour la plupart et que c’est les américains qui bénéficient de nos ressources à rabais. Ils sont aussi coupables de ne pas respecter nos traités internationaux, comme dans le cas du bois d’œuvre. Une chose est sûre, ce ne seront pas les libéraux fédéraux qui oseront lever le ton envers nos voisins si envahissant. Beaucoup trop dangereux de haussé le ton pour obtenir la juste par qui nous est dû, au non, nos politiciens fédéraux (et j’exclus le bloc qui a plusieurs reprises pendant les travaux parlementaire a demandé des commissions d’enquêtes, face a bien des techniques peu orthodoxe d’investisseur Amaricains.) préfèrent donné la patte et mettre la queue basse entre leur jambe lorsque vient le temps de faire respecté l’ensemble des droits Canadiens. On peut donc venir à la conclusion, que le Québec est le bienvenu au Canada au niveau monétaire mais pour ce qui est de notre représentation à l’extérieur du pays, ce sont aux québécois de se faire entendre, puisque les fédéraux ne le feront pas pour nous. C’est dans cette optique de non respect qui motive notre esprit indépendantiste. Le Canada ne reflète nullement nos valeurs morales, sociales et politiques. Selon moi, le Canada se tient plus à droite que la majorité des Québécois ne tolèrent, depuis la dénonciation qu’a apporté le refus global. Comme le Canada n’est pas représentatif du Québec actuel et en plus, nous avons été exploité de manière à nous mérité le peu enviable titre de nègre blancs d’Amérique. Le Québec se doit, dans le contexte de mondialisation actuel, de se doté d’une voix au niveau mondiale pour que nous ne soyons pas avalé par le «melting pot» Américain, qui présentement englouti le peu de culture et d’histoire qu’ont les Canadiens Anglais. Pour que le Québec devienne un endroit ou les valeurs sociales ont plus d’importance que la réussite personnelle, que nous dicte le mode de vie à l’Américaine. Nous nous devons d’empêcher le pillage de nos ressources naturelles ainsi que nos ressources humaines. La seule façon d’y parvenir actuellement, c’est de devenir maître de notre propre destin, que se soit nous, qui décidions combien, comment et à qui iront nos services et nos ressources. C’est évident que l’avenir qui se dessine devant nous, nous ne pouvons pas compter sur le Canada pour monter le cheval de nos revendications. On peut facilement comprendre ceci, en lisant un des ouvrages les plus controversés des dix dernières années : Le livre noir du Canada Anglais. Ce livre, nous résume bien l’esprit réel de nos dirigeants face à l’indépendance du Québec. Donc, pour un Québec fort, pour un Québec représentatif de ses habitants, une seule option s’offre à nous : La libération du Québec. S’est la seule option, puisque l’autre nous conduira certainement à l’assimilation lente et agonisante du peuple Québécois. Donc, nous sommes des consommateurs et non un peuple selon le principe de l’offre et de la demande du système néo-libéral. C’est donc, en ce temps de revendications, que nous nous devons d’imposer notre vision, nos changements. La vision d’un Québec fort à travers une économie mondiale ; une voix pour se faire entendre lorsque vient le temps de la démesure car, la mondialisation a acquis un pouvoir incontrôlable. Face à ceci, le Québec a le devoir moral de soutenir son peuple avant qu’il ne soit trop tard. Vous savez il y a un dicton au Québec qui dit : Vaut mieux être seul, que mal accompagné |
|
||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||||
Ceci est un média alternatif de publication ouverte. Le collectif CMAQ, qui gère la validation des contributions sur le Indymedia-Québec, n'endosse aucunement les propos et ne juge pas de la véracité des informations. Ce sont les commentaires des Internautes, comme vous, qui servent à évaluer la qualité de l'information. Nous avons néanmoins une
Politique éditoriale
, qui essentiellement demande que les contributions portent sur une question d'émancipation et ne proviennent pas de médias commerciaux.
|