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Un syndicat ? Un premier pas de franchi !Anonyme, Thursday, August 25, 2005 - 01:37
Syndicat des étudiant-e-s employé-e-s de l’Université Laval / AFPC / FTQ
UNIVERSITÉ LAVAL, le 25 août 2005 - Fort de l’appui de près de 700 étudiant-e-s employé-e-s de l’Université Laval, le collectif étudiant pour la syndicalisation AFPC-FTQ a déposé hier une requête à la Commission des relations du travail pour faire reconnaître juridiquement notre jeune association Communiqué Un syndicat ? Un premier pas de franchi ! UNIVERSITÉ LAVAL, le 25 août 2005 - Fort de l’appui de près de 700 étudiant-e-s employé-e-s de l’Université Laval, le collectif étudiant pour la syndicalisation AFPC-FTQ a déposé hier une requête à la Commission des relations du travail pour faire reconnaître juridiquement notre jeune association. Rapellons que les objectifs prioritaires de notre association sont l’abolition du salaire d’été, l’établissement d’une politique de rémunération comparable aux autres universités québécoises, l’obtention d’une contribution de l’Université au régime d’assurance des étudiant-e-s employé-e-s, une rémunération des heures réellement travaillées pour les tâches de correction et de monitorat et une reconnaissance des droits des étudiant-e-s en matière de santé et sécurité au travail. Nous tenons à remercier tous les collègues étudiants qui ont donné quelques minutes ou quelques jours… pour supporter la démarche. Sans votre support, aucune démarche n’aurait été possible. « Il nous reste de nombreux défis à relever au cours des prochains mois. Il nous faudra ralier plusieurs étudiant-e-s déçu-e-s par la guerre fratricide (CSN-FTQ) qui a eu lieu, cet été, sur le campus » selon Maude Séguin-Tremblay étudiante au baccalauréat en relations industrielles et vice-présidente aux communications. De surcroît, de nombreux débats juridiques sont anticipés sur le campus pour la reconnaissance de notre organisation. Rapellons que l’Université Laval a mis près de dix ans avant de reconnaître juridiquement le Syndicat des professionnels de recherche. Selon Pier-Luc Bilodeau étudiant au doctorat en relations industrielles et vice-président aux griefs : « nous croyons qu’une longue bataillle est maintenant à venir pour forcer l’Université à reconnaître notre organisation et l’appui de tous et de toutes sera nécessaire.» -30- Sources : Mathieu Dumont |
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