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La peur de l'ennui est la seule excuse du travaillaiguillon, Monday, May 9, 2005 - 01:56
Laiguillon
Cette citation de Jules Renard va me permettre de secouer un des poncifs les plus sanctifiés, à savoir le travail. Partons d’une déclaration du genre : « Puisque le travail est notre maître, puisqu’il régit nos vies que nous soyons dans la société ou en dehors de la société, puisqu’il y est tantôt notre meilleur ami, tantôt notre pire ennemi, alors faisons-le disparaître !! » Amusez-vous à lâcher cette phrase entre le fromage et le dessert, si vraiment vous vous ennuyez. Vous verrez les visages se figer, les yeux s’arrondir, les mains se crisper sur les couteaux (pour cette raison ne le déclamez pas au moment de la viande). Gardez votre sérieux pour effacer les derniers sourires de ceux qui gardent l’espoir d’une plaisanterie. Avant de perdre vos amis, mais d’économiser un dessert, vous aurez compris que vous venez de vous attaquer à un symbole intouchable et que l’on aurait pu vous pardonner d’avoir introduit un saint-nectaire dans le rectum de la maîtresse de maison, mais que là, vous avez dépassez les bornes !! Pourtant, pourtant, … Pour affronter un ennemi, il faut le connaître. En essayant de le connaître, nous avons même une chance de nous en faire un ami … D’où vient-il ? Le travail, sous ce terme générique, est aussi vieux que l’humanité…Voilà le topo en accéléré. De la préhistoire à la Renaissance Ancien régime (XVI ème au XVIII ème siècle) L’ère industrielle (XIX ème siècle) XX ème siècle jusqu’aux environs de 1960 Cinquante dernières années Comment s’adapte t’il ? Le prix du modernisme ? Les évolutions technologiques passées ont toujours fait rejaillir des emplois dans d'autres secteurs, la " troisième révolution industrielle" (démarrée en 1975) va changer la donne. L'informatique et la biotique menacent également le travail humain dans des secteurs tels que l'agriculture ou les services qui sont de plus en plus automatisés. Une semblable évolution se dessine dans le monde de l'industrie mais aussi dans celui des services ou de la grande distribution. Simplification des hiérarchies, transformation du lieu de travail, des liens entre ouvriers et direction permettent d'augmenter sensiblement la productivité et de réduire fortement les erreurs. Mais parallèlement, l'univers du travail devient progressivement virtuel et le reengineering réduit drastiquement les effectifs humains. Le travail, de plus en plus orchestré par des robots et des ordinateurs, est devenu de plus en plus stressant et fatigant. Le travail est-il anthropophage ? Comme cela se produit aux Etat-unis depuis cinquante ans, malgré une incroyable automatisation, les Américains ont travaillé avec plus d'acharnement qu'avant, ces dernières années. Dans les 20 dernières années, les premières victimes de l’automatisation et de la mondialisation de l’économie, furent les employés américains peu qualifiés, chassés par millions des usines. De la même façon, un peu partout, beaucoup ne sont pas parvenus à retrouver un emploi, à s’offrir un toit, et ont sombré de ce fait dans le désespoir, et souvent la délinquance. La baisse généralisée du pouvoir d’achat a augmenté considérablement le nombre de pauvres. La population active est en reflux dans la plupart des secteurs. Actionnaires et patrons se sont quant à eux enrichis grâce aux gains de productivité induits par les restructurations. Le reengineering a provoqué ensuite le déclin de la classe moyenne, dont le nombre d’emplois, les salaires, ainsi que la protection sociale ont chuté de manière critique. Finalement, le travail est un grand prédateur ? Si nous interprétons les signes extérieurs, voilà le tableau, en gros. « Les manipulateurs d’abstraction, nouvelle élite de travailleurs du savoir, parviennent seuls à augmenter leurs revenus grâce à la nouvelle économie mondiale high-tech. Le fossé entre riches et pauvres se creuse, et les tensions toujours plus fortes pourraient aboutir à une révolution sociale. ». Pourquoi ne l’avons-nous pas domestiqué à temps ? Comme pour beaucoup de catastrophes naturelles, nous n’avons pas vu le coup venir. Mais est-ce une catastrophe vraiment « naturelle » ? Le travail a t’il vraiment été étudié sérieusement ? Par certains sans doutes, mais pas par tous, loin de là. Un mirage des années Pompidou a donné le coup d’envoi. Si je résume, voilà en gros ce que l’on a dit : « Aux patrons : vous allez vivre dans la concurrence. Aux citoyens : vous allez devenir des clients rois car le marché va s’ouvrir et vous pourrez trouver tout moins cher ! ». La fin du protectionnisme et de l’état providence va conduire les entreprises à la fermeture et les clients-roi à commencer à se priver par le fait qu’ils étaient consommateurs, certes, mais salariés aussi … Après les révoltes ouvrières et étudiantes de 68 (révoltes mondiales et pas seulement Françaises), une idée de génie a germé dans les esprits. Pourquoi ne pas utiliser le chômage pour calmer les esprits ?. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’il a été inventé, mais instrumentalisé, cela paraît certain. Les grèves étaient en effet importantes, le SMIC est arrivé, la 4ème semaine de congé, le congé maternité. Voilà en effet, une utilisation du travail comme pacificateur de masses. C’est la révolution néo-libérale qui a transformé le travail en pit-bull. En 1970, 400 licenciements entraînent une grève nationale. En 1986, 300000 chômeurs, et personne ne bronche. Le pit-bull fait son travail et le travail fait son pit-bull !! La peur sociale vient de changer de camp… Moyens actuels de lutte contre ce prédateur ? Ce n’est pas le tout de comprendre comment ce travail est devenu si menaçant. Voyons maintenant quelles sont les formules de travail et les aides ou protections à notre disposition. Pour ceux qui travaillent CDI : contrat à Durée Indéterminée. Pour aider ceux qui ne travaillent plus RMI : Le Revenu minimum d'insertion (RMI). Créé en 1988 comme une aide pour sortir de l'exclusion, il peut être à juste titre considéré comme une avancée sociale majeure. Il constitue le minimum vital pour ceux qui vivent en état de grande exclusion et contribue indéniablement un moyen à la lutte contre la pauvreté. il s'agit d'une allocation temporaire de survie qui donne les moyens et incite l'insertion. Le « i » de RMI n’est pas « insertion » mais « insulte ». Les faibles salaires proposés ne motivent pas les RMIstes à retrouver un emploi. En effet, ils devraient alors affronter la baisse de l’aide au logement, les impôts, les transports,etc …15 à 20% des allocataires ne sont de toutes façons pas aptes à reprendre un travail. Le frein le plus évident est la très faible perspective qu’un éventuel emploi évolue vers un emploi meilleur et mieux rémunéré !! La panoplie (si elle est complète ?) est impressionnante. Mais avouons tout de même que toutes ces mesures (avec un bémol pour le RMI) ressemblent plus à des pansements sur une jambe de bois, qu’à une réelle réflexion de fond. Aujourd'hui l'Etat se prépare à dépenser sans compter pour que des centaines de milliers d'hommes et de femmes simulent le travail disparu dans d'étranges "ateliers de formation" ou d'entreprises d'insertion" afin de garder la forme pour des emplois qu'ils n'auront jamais. On invente toujours de nouvelles mesures encore plus stupides que les précédentes simplement pour maintenir l'illusion que la machine sociale qui tourne à vide peut continuer à fonctionner indéfiniment. L'Etat se charge une fois de plus de ce que le marché n'est plus à même de garantir en instituant un nouveau programme de création d'emplois. Cette simulation étatique du travail, qui s'accompagne de la réduction de la durée de l'assurance chômage, est aujourd'hui encore plus violente et répressive qu'elle n'a jamais été. Aujourd'hui les exclus, s'ils ne veulent pas vivre de charité chrétienne et d'eau fraîche, vont devoir accepter n'importe quel sale boulot, n'importe quel travail d'esclave ou n'importe quel contrat d'insertion aussi absurde soit-il, pour prouver leur inconditionnelle disponibilité au travail. En simulant "l'emploi" et en faisant miroiter un futur positif de la société du travail, on crée la légitimation nécessaire pour sévir plus durement contre les chômeurs et ceux qui refusent de travailler. Si on ajoute à ce tableau, l’allongement de la durée du travail en cours, le recul de l’âge de la retraite, nous sentons bien l’affolement intellectuel des nos élus, pour maintenir la sacro-sainte valeur morale du travail. Le travail : le leucocyte de la société Le travail en fait est une notion sociologique parfaitement datée. Les travaux de Dominique Méda l'ont bien montré. C'est précisément vers la fin du XIX° siècle que le travail est devenu notre " fait social total ". Il s'est alors propagé l'idée que le travail était constitutif de la nature humaine. Faisant ainsi partie de notre essence la plus profonde, la séparation n'en était et n'en demeure aujourd'hui que plus douloureuse à supporter. En introduction de cet article, je relatais de manière volontairement brutale, la difficulté d’imaginer la remise en question du travail. Cela provient que l’on conçoit uniquement le travail comme « travail salarial à statut » (expression de Jeremy Rifkin). Nous avons beaucoup de mal (moi y compris) à imaginer une autre forme de travail et dés lors, nous pensons : A)soit au maintien du travail tel qu’il nous est proposé A - La première possibilité nous fait trembler d’effroi. Le travail évolue (il y a autant de travail qu’avant, contrairement aux idées reçues) mais dans une logique pure d’accélération vers le haut. Le discours managérial moderne exige autre chose et davantage, une disponibilité constante et, à la limite, une conversion totale aux valeurs de l’entreprise. La peur du licenciement accentue encore ce type de surdétermination du rapport au travail. Souffrance au travail et angoisse de perdre son emploi sont deux composantes actuelles importantes du rapport au travail. Si nous n’entrons pas dans cette spirale, l’éjection du système social nous attend irrémédiablement. Le travail salarial reste la base de nos sociétés capitalistes et productivistes. Plus personne n’est à l’abri du chômage aujourd’hui (allez voir le film de Costa Gavras « le couperet »). Comme notre statut social est entièrement centré sur le travail salarial, lorsque la perte de celui-ci intervient, la descente aux enfers est rapide, irrémédiable et totale. Le chômage est très souvent accompagné de l’explosion de la cellule familiale, la perte de repères moraux qui elle-même porte la violence, etc… B - La seconde possibilité est aussi un leurre. Beaucoup crie à la disparition prochaine et inéluctable du travail. C’est tout bonnement faux et toutes les statistiques montrent un changement dans les rapports avec le travail, un problème de distribution du travail mais en aucun cas une diminution du travail salarié. Souhaiter la disparition du travail n’est pas réaliste dans notre époque et fort est de constater que le travail (dans son sens large cette fois-ci) cimente l’individu dans la société qui est la notre. Robert Castel, sociologue, s’exprime ainsi : « Il n’est que d’écouter les chômeurs dont l’existence tout entière est déstabilisée par la perte d’un emploi. La plupart, surtout ceux qui ont déjà travaillé, demandent désespérément du travail, un « vrai emploi ». D’autres, il est vrai, en particulier parmi les jeunes qui n’ont jamais accédé à l’emploi, cherchent « autre chose ». Ils tâtonnent, bricolent, galèrent et il arrive parfois qu’ils innovent. Mais le coût de ces quêtes interdit d’en faire le modèle d’un destin que l’on souhaiterait faire partager à tous et qui anticiperait pour tous un avenir meilleur. L’existence, au mieux problématique et au pire désespérée, que mènent la plupart des « demandeurs d’emploi » montre au contraire que l’importance du travail n’est sans doute jamais aussi sensible que lorsqu’il fait défaut. ». C’est bien ici que se situe la difficulté : lorsque nous entendons travail, nous pensons à travail salarial à statut … Mais pourquoi pas l’apprivoiser au lieu de le chasser ? L’alternance politique n’y change rien, le medef se frotte les mains, le productivisme nous happe et le néo-libéralisme nous déstructure. Le salariat peut trouver sa définition dans "du capital qui utilise du travail vivant pour augmenter son profit". Le salariat est notre participation concrète à l'exploitation capitaliste, fondé sur la fiction d'un contrat de travail égalitaire produisant les plus grandes inégalités. Nous devons reconnaître dans le marché du travail l'élément structurant de l'économie et de la société, imposant sa norme, ce que Foucault appelait le biopouvoir. Il faut lutter contre l’entreprise de déstructuration sociale en cours actuellement. L’hégémonie du marché porte sa menace sur le lien social en général, il détruit les rapports collectifs de solidarité, il nous aveugle sur nos congénères. Dans l’autre sens, prôner la disparition pure et simple du travail, c’est perdre les moyens de cette lutte. Robert Castel, encore lui, nous dit : « L’histoire sociale montre à l’évidence que ce sont les régulations sociales construites à partir du travail qui ont promu cette domestication relative du marché dont l’aboutissement a été le compromis de la société salariale. Abandonner le front du travail, c’est ainsi risquer de renoncer à la possibilité de réguler le marché et se retrouver non dans une société de marché (nous y sommes depuis longtemps), mais dans une société devenue marché de part en part, entièrement traversée par les exigences asociales du marché. ». Une autre façon de dire cela plus simplement : « tant que le capitalisme est là, utilisons le pour l’améliorer ». Une idée m’avait traversé l’esprit alors que je regardais le film de Pierre-Carles (documentariste génial, ami de Bourdieu, qui ose tout avec intelligence et pugnacité ) : « Attention Danger Travail ». Changeons le travail !! Robert Castel a une très jolie phrase : « Et, s’il est vrai que le travail est toujours le foyer qui détermine la configuration de l’existence sociale de la plupart de nos contemporains, l’exigence de combattre la dégradation de son régime demeure l’impératif politique principal, « l’utopie » de ceux qui n’entendent pas se plier au diktat des faits. » Dans notre société il n’est pas ou pas encore possible de ne pas travailler. Paul Lafargues et son « Droit à la paresse » reviendra à la mode un jour, je le souhaite sincèrement. Pour l’instant essayons de faire glisser le travail puisqu’il est trop lourd pour rouler. Les revenus Un néfaste, M. Friedman (voir « le hit parade des néfastes » sur ce site) voulait supprimer les minimums de salaire pour laisser le marché s’autoréguler, puis donner une allocation aux plus bas salaires. Pauvre crétin ! Nous savons ce que cela donne quand nous laissons le « marché » nous « réguler » !! Une autre idée était un revenu pour tous avec la possibilité de travailler , si on voulait, en plus (P. Van Parijs, Y. Bresson, J.-M. Ferry et A. Gorz.). Un ennui possible est que ce concept creuse la population en deux camps de plus en plus tranchés. De plus, pas de travail productif entraîne pas de revenus ce qui accentue l’espace en ces deux mondes. Une troisième voie (A. Caillé) veut instaurer un « revenu de citoyenneté ». Ce revenu serait donné en dessous d’un certain seuil de revenu et serait ensuite dégressif. Moins brusque que la seconde idée, il reste malheureusement que le problème de l’intégration sociale par le travail n’est pas franchement résolu. Plusieurs variantes ont été échafaudées sous différents noms (Couverture Universelle, Revenu Garanti,…). Si ces idées ne sont pas parfaites, elles ont le mérite, sauf celle du néfaste, de repenser le problème plus profondément. Les défauts de ces deux dernières voies sont les suivantes : Par contre, il est indéniable qu’un DROIT à l’existence dans notre société doit exister (c’est constitutionnel) et aucune mesure ne peut fonctionner en laissant des personnes sur le quai. Un revenu EST un droit !! Ce revenu doit assurer à l’individu, quelle que soit sa situation, de garder sa place dans la société. Lisez : http://perso.wanadoo.fr/marxiens/politic/revenus/faq.htm en abandonnant vos préjugés. Prenez ce qui vous semble bon, critiquez ce qui vous semble moins bon, mais par pitié REFLECHISSEZ !! Le temps Une autre voie est apparue en demandant de repenser totalement la répartition du volume de travail entre tous les individus. La réduction du temps de travail est non seulement le moyen d’accomplir un saut qualitatif décisif pour réduire le chômage mais elle est aussi le moyen de répartir plus équitablement les gains de productivité qui sont toujours une œuvre collective. « qu’est-ce que le progrès s’il ne profite pas à tous ? ». Cette démarche bute sur la difficulté à entreprendre une refonte complète de la répartition des revenus car elle pose le problème de la propriété, de l’organisation du travail, et, en fin de compte, de la transformation des rapports sociaux. Cependant, cette idée est vitale et ne doit pas être écartée. Je pense personnellement qu’il s’agit aussi d’un problème de mentalité. Le modèle actuel du travail est une forme d’aliénation et beaucoup de gens n’arrive pas à imaginer une vie non rythmée par ce diapason. La diminution du temps de travail ne va pas apporter de solution acceptable à long terme et elle doit s’accompagner d’une autre refonte : celle de nos propres valeurs … Les valeurs Le vrai combat est peut-être ici : Commencer à distinguer les « valeurs d’usage » des « valeurs d’échange ». Le mot travail doit être remplacé à terme par celui « d’activité ». Faites l’essai vous-même et vous jugerez de la persistance de valeurs dépassées. Dites « Il faudrait que quiconque puisse toucher un salaire, qu’il travaille ou pas !! Une activité devrait être imposée mais pas un travail. ». Je vous fais le pari (pour l’avoir testé moi-même de nombreuses fois) que la première réaction sera notre égoïsme culturel. « Il est hors de question que je me crève le cul pour fournir un salaire à mon voisin qui ne veut rien foutre ». Et vous aurez la preuve que la route est longue pour considérer une activité sociale quelconque comme un lien permettant le fonctionnement de l’ensemble et ce, au même titre que n’importe quelle activité productive au sein d’une entreprise. Conclusion Comme pour beaucoup de choses, nous savons que nous allons dans le mur, de plus en plus vite, mais rien ne change ou si peu. Nos politiques sont englués dans les même concepts depuis des dizaines d’années. L’alternance politique s’érode. L’ENA produit encore et toujours des hauts fonctionnaires gavés au même modèle et formatés. L’Europe dans son projet de traité grave dans le marbre des bases révolues et suicidaires. Pourtant en prenant du recul sur certaines choses et en observant leurs bases, nous distinguons parfois des pistes qui pourraient nous conduire à améliorer notre vie, sans penser forcément à la révolutionner. Nous nous devons d’y réfléchir et de nous remettre en question, personne ne le fera pour nous, j’en ai peur… Le travail est une clé de voûte dans ce passage. Imaginer la faire exploser ou l’enlever, c’est tout l’édifice qui nous tombera sur la gueule. Alors taillons cette pierre pour rendre l’ensemble moins fragile. Cet article n’a pas la prétention d’être une leçon ou un tour d’horizon exhaustif, mais simplement d’entrouvrir une porte pour quiconque a envie d’imaginer que nous ne manquons pas de moyens pour améliorer les choses. L’Aiguillon Références Jean-Marie Harribey – cours et travaux Sur l’ENA Histoire et Travail Film de Gilles Ballebastre : « Le chômage a une histoire ». Mouvement Virtuel Concret Politique Sociale MEDA, Dominique. Le travail, une valeur en voie de disparition. Aubier, 1995 Monde Diplomatique – La fin du travail, un mythe démobilisateur Ecologie Révolutionnaire Site de Pierre Carles Et ne pas oublier
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