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Le courant « communisateur » ?! ... Un nouveau réformisme.

Anonyme, Saturday, April 30, 2005 - 19:30

Notes Internationalistes

L’on entend des bruits étouffés en provenance d’un courant qui s’autoproclame « courant de la communisation » ou « courant communisateur ». Comment se décrit-il lui-même? « Essentiellement, ce courant est celui qui prolonge le discours, ou théorie, du prolétariat dans le sens de la révolution comme abolition par le prolétariat des classes, du capitalisme et, dans la continuité logique, de lui-même. » Jusqu’ici rien de nouveau, sinon l’utilisation de mots pédants pour décrire ce que le mouvement ouvrier a toujours affirmé et défendu de façon plus simple et depuis fort longtemps : la nécessité de la destruction du capitalisme et l’abolition de toutes les classes sociales par le prolétariat.

L’on entend des bruits étouffés en provenance d’un courant qui s’autoproclame « courant de la communisation » ou « courant communisateur ». Comment se décrit-il lui-même?
« Essentiellement, ce courant est celui qui prolonge le discours, ou théorie, du prolétariat dans le sens de la révolution comme abolition par le prolétariat des classes, du capitalisme et, dans la continuité logique, de lui-même. » (1) Jusqu’ici rien de nouveau, sinon l’utilisation de mots pédants pour décrire ce que le mouvement ouvrier a toujours affirmé et défendu de façon plus simple et depuis fort longtemps : la nécessité de la destruction du capitalisme et l’abolition de toutes les classes sociales par le prolétariat.

Mais à partir de là, y a-t-il plusieurs composantes dans ce courant ? Citons encore ‘Calvaire’ qui définit le fonds de commerce d’une première tendance de ce courant : « Mais, il le ferait comme classe unifiée, on pourrait y voir la continuité de la réification catégorielle des individus (alors qu’une de ses fractions Théorie communiste en appelle contradictoirement à l’immédiateté sociale de ceux-ci dans la communisation que devra produire un jour la révolution, on n’est vraiment pas très loin non plus, dans cette attente, du grand soir et, plus ironiquement, de l’attente des conditions réunies pour le jugement dernier ou pour la venue du messie, jugement dernier ou messie que serait la révolution dans une vision athéiste). De plus, comment le prolétariat pourrait-il s’abolir comme sujet révolutionnaire si celui-ci est disparu ? Ce courant ne déclare-t-il pas lui-même faire partie de la théorie

Site du Groupe Internationaliste Ouvrier, un Comité organisateur du Bureau International pour le Parti Révolutionnaire (BIPR) pour les États-Unis et le Canada. Cet article est issue du numéro 4 de Notes Internationalistes, produit par le GIO, qui vien


Subject: 
Une analyse marxiste?
Author: 
Steve Tremblay
Date: 
Mon, 2005-05-02 09:01

À l'article, il manque l'ajout suivant tiré de Notes Internationalistes

Le GIO (Groupe Internationaliste Ouvrier)se base sur les enseignements fondamentaux de Marx; ce qui ne veut pas dire que nous sommes des partisans d’un « marxisme invariant ». Cependant, si nous ne sommes pas attachés à chaque lettre de l’œuvre du grand révolutionnaire, nous accordons beaucoup d’importance à son esprit, à sa méthode et à son analyse. La nouvelle théorie de la « communisation » se drape souvent d’un vocabulaire « marxiste » et, bon nombre des ses partisans la conçoivent comme une « solide analyse marxiste ». Cela a de quoi surprendre, car selon ses promoteurs, cette théorie se base sur « la critique de toute perspective révolutionnaire incluant une période de transition vers le communisme ». (1) Ils en font une caractéristique de base de leur courant.
Or, dans une lettre à J. Weydemeyer (2) datée du 5 mars, 1852 et où Marx parlait de sa contribution à la théorie révolutionnaire, il écrivait : «  Maintenant, en ce qui me concerne, ce n’est pas à moi que revient le mérite d’avoir découvert l’existence des classes dans la société moderne, pas plus que la lutte qu’elles s’y livrent. Des historiens bourgeois avaient exposé bien avant moi l’évolution historique de cette lutte des classes et des économistes bourgeois en avaient décrit l’anatomie économique. Ce que j’ai apporté de nouveau, c’est :
·       de démontrer que l’existence des classes n’est liée qu’à des phases historiques déterminées du développement de la production;
·       que la lutte des classes mène nécessairement à la dictature du prolétariat;
·       que cette dictature elle-même ne représente qu’une transition vers l’abolition de toutes les classes et vers une société sans classes.
On ne saurait être plus clair et nos lecteurs et lectrices auront remarqué la distinction très nette entre les communisateurs d’une part et Marx de l’autre. Les communisateurs ont le droit le plus strict de promouvoir leur théorie. Cependant, il serait plus honnête de ne pas y associer Karl Marx. Son nom et son œuvre sont déjà suffisamment abusés par les staliniens, les maoïstes et les trotskistes. Cacatum non est pictum, écrivait Marx dans un texte de jeunesse. En effet, « chiure n’est pas peinture ».
 
Victor


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Subject: 
Mensonges colportés par ces vendeurs de partis
Author: 
calvaire01
Date: 
Mon, 2005-05-02 09:44

D'abord, devant ce tissu de mensonges colportés par ces vendeurs de partis, je vous encourage à douter et aller vous faire une idée vous-même de Meeting à meeting.senonevero.net. Je vous laisse avec l'Invite de cette revue qui en décrit les lignes principales même si il y a redéfinition certaines fois ainsi qu'avec une citation sur laquelle nous nous entendons généralement et qui laisse peu de place à l'idée de ces sales manipulations concernant un ''nouveau réformisme'' venant de ces communistes douteux qui pensent encore que 1917 est une grande date victorieuse de l'histoire populaire et révolutionnaire.

« La prochaine révolution sera communisation de la société, c’est-à-dire sa destruction, sans "période de transition" ni "dictature du prolétariat", destruction des classes et du salariat, de toute forme d’État ou de totalité subsumant les individus... » Communisation - Christian Charrier

Invite
dimanche 2 novembre 2003.

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translation : Invitation
traduzione : Invite
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Meeting, mode d’emploi
1 Réunis au départ dans le collectif d’édition « SENONEVERO » nous avons entrepris d’élaborer une revue (titre envisagé Meeting ) que Senonevero se chargera de publier et, de façon plus large, de mettre en place un lieu de débats et de rencontres.

2 Cette revue se veut, dans un premier temps, un reflet actif de l’activité théorique et éditoriale consacrée à la révolution communiste, telle que cette activité existe aujourd’hui en Europe, et au-delà des mers si les vents nous sont favorables.

3 Nous constatons que d’ores et déjà un courant communisateur existe au travers d’expressions théoriques diversifiées et de certaines pratiques dans les luttes actuelles.

4 Ce courant est le fait d’un certain nombre d’individus ou de groupes partageant aujourd’hui (chacun à leur façon), tant théoriquement que pratiquement :

la constatation que toute organisation de classe permanente, préalable aux luttes ou persistant au-delà, est immédiatement confrontée à son échec.

la conviction que la seule perspective révolutionnaire actuelle est celle de la destruction du capitalisme et indissociablement de toutes les classes,

la certitude que la lutte de classes entre le prolétariat et la classe capitaliste est partout dans le monde l’unique dynamique de cette destruction,

la critique de toute perspective révolutionnaire incluant une période de transition vers le communisme,

la conviction que la destruction du capitalisme n’ouvre pas la voie au communisme mais ne peut qu’être immédiatement la communisation de tous les rapports entre les individus.

5 La communisation n’est pas un programme qu’il faudrait appliquer, ni même quelque chose que l’on pourrait d’ores et déjà décrire, mais les voies qui y conduisent sont à explorer et cette exploration se doit d’être internationale. La diversité et les oppositions internes, pour ne pas dire les conflits, au sein de ce courant communisateur sont définitoires de son existence et elles doivent être reconnues.

6 Nous prenons l’ initiative d’une matérialisation de ce courant à travers des textes qui nous paraissent l’exprimer de la façon la plus explicite, à leur manière, dans la diversité de leurs intentions et des pratiques dont ils participent. Si cela s’avère possible nous envisageons des rencontres au-delà de la simple « fabrication » de la revue.

7 Nous n’avons pas vocation à « écrire » cette revue tous seuls. Pour cela, nous voulons faire « travailler » ces textes à leur propre dépassement, à leur approfondissement, à travers la confrontation et la reconnaissance mutuelle ; ainsi qu’à partir des productions théoriques nouvelles ad hoc, suscitées par leur rencontre dans la revue.

8 Cette revue est en cours d’élaboration. A la disposition de celles et ceux qui décident de participer à cette élaboration, un site internet est ouvert : Meeting

Fin février - début mars 2004, une assemblée rédactionnelle se réunira pour boucler le premier numéro et parler de la suite en fonction du matériel et des personnes réunis. Si la revue est un premier pas, elle n’épuise pas la variété des échanges possibles (nous chercherons à éviter les échanges de...coups).


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Subject: 
Enculer des mouches
Author: 
batiste
Date: 
Mon, 2005-05-02 15:02

Tous les théoriciens comme vous me donnent envie de pleurer.

Pendant que vous tergiversez à savoir si tel courant est réformiste ou révolutionnaire, si Marx était plus con ou non que Proudhon ou si on devrait écrire "révolution" avec un majuscule pour faire plus vrai, il y a du monde qui la font tous les jours votre foutue révolution sans pour autant faire chier le monde avec des analyses déphasées et circonlocutoires.

J'habite sur un bateau qui flotte sur le grand lac des Esclaves. Je n'ai ni électricité, ni eau courante. Je mange la bouffe du pays. Je me vêtis avec ce que les artisans autochtones de chez-nous fabriquent. Je ne conduis pas de voiture. Je limite ma consommation de toute chose au stricte minimum.

Je ne me gène jamais pour dire ce que je pense. Je fais des show de poésie pour conscientiser les gens à la vacuité du mode de vie qu'on leur impose à grand renfort de viol cérébral. Je gribouille des messages subversifs sur les pubs qui m'agressent. Je travaille pour un journal qui me permet de donner une voix aux marginaux. Je m'implique comme je peux pour dénoncer et empêcher l'asservissement sous toutes ses formes. Je parle de liberté tous les jours.

Bref, je pratique la révolution à échelle individuelle sans attendre le Grand soir ou le bon parti. Dans un monde ou chacun de nos comportements est régi par la trinité Corporation-Publicité-État, vivre à ma façon en prenant soin de bien montrer mon cul à tous les oppresseurs que je rencontre contribue bien plus à la "révolution" que n'importe lequel de vos gué-guerre entre comités révolutioniaiseux.

Vous des révolutionnaires? Vous cherchez encorer la définition dans le dictionnaire!


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Subject: 
Enculer des batiste
Author: 
calvaire01
Date: 
Mon, 2005-05-02 22:14

''il y a du monde qui la font tous les jours votre foutue révolution''

Qui est ce monde qui fait la révolution à tous les jours ? Qu'est-ce qu'il y a de révolutionnaire dans la vie de poésie et de marginalité ? La révolution part certainement de l'existence quotidienne et embrase de vastes champs sociaux-historiques mais de là à dire qu'il y a du monde qui font la révolution à tous les jours, franchement révolutioniaiseux toi-même ! (Et moi, je ne fais dans le comité.) Même si je suis d'accord avec toi que la révolution doit s'incarner et que je trouve et dis que nos débats sont souvent abstraits c'est d'ailleurs ce qu'on me reproche le plus dans Notes internationalistes ainsi que dans le dit courant communisateur.

Là-dessus, par contre, je t'envie un peu : J'habite sur un bateau qui flotte sur le grand lac des Esclaves. Je n'ai ni électricité, ni eau courante. Je mange la bouffe du pays. Je me vêtis avec ce que les artisans autochtones de chez-nous fabriquent. Je ne conduis pas de voiture. Je limite ma consommation de toute chose au stricte minimum.

Enfin...


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Subject: 
Bon, une entente!
Author: 
Alex V
Date: 
Tue, 2005-05-03 07:14

"Qui est ce monde qui fait la révolution à tous les jours ? Qu'est-ce qu'il y a de révolutionnaire dans la vie de poésie et de marginalité ? La révolution part certainement de l'existence quotidienne et embrase de vastes champs sociaux-historiques mais de là à dire qu'il y a du monde qui font la révolution à tous les jours, franchement révolutioniaiseux toi-même !"

Merci, tu réponds à ma place. J'ajouterais simplement le fait qu'il ne faut pas se leurrer, si ce mode de vie misérable peut attirer certaine personne, ça en rebute plus que la majorité. Le communisme n'est pas la misère volontaire au quotidien, mais plutôt une révolution majeure dont les fondements se basent sur une production axée sur les besoins réels sans plus-value parasitaire. Pour ce qui est de la critique du courant communisateur publiée dans NI, je suis d'accord avec toi qu'il s'agit plutôt d'une critique faite à ton endroit et non pas au courant en tant que tel. C'est déjà noté.


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Subject: 
Définitions
Author: 
batiste
Date: 
Tue, 2005-05-03 11:28

Quelques définitions (telle qu'imposées par le Robert)...

Révolution: "Changement soudain"

Révolution(n)aire: "Qui est partisan de changements radicaux et soudains, qui apporte de tels changements"

Misérable: "Qui inspire ou mérite d'inspirer la pitié"

Mon* mode de vie et les actions simples que je pose tous les jours constituent, à n'en pas douter, une rupture avec le discours et les comportements dominants. En ce sens, à défaut d'être une révolution, un changement soudain (qui rejoint une masse critique de gens, s'entend), ma façon d'être est certainement l'expression concrète de ce qu'est une révolution.

Je suis un révolutionnaire, car j'apire à des changements profonds et je vis de tel sorte que ces changements se produisent dans la seule sphère où j'ai un pouvoir légitime: ma vie. J'incite par mes choix et mes actions à ce que d'autres personnes entreprennent de tels changements à leur échelle.

Misérable, ma vie? J'en doute. Tous les jours je suis heureux et j'accomplie quelque chose qui me satisfait. En général, je n'inspire pas la pitié mais l'envie. Et d'ailleurs...

Que vous érigiez vos piaillements en actions révolutionnaire vous regarde, mais ayez au moins la décence de ne pas le faire au détriment de ceux qui agissent, à chaque nanoseconde, sans suivre de recette, en faveur du changement radical que vous louangez tant.

En terminant voici une définition de la révolution qui caractérise bien la nature de vos débats: "mouvement en courbe fermée".

*Je me réfère tout au long du texte à mon expérience personelle, mais il ne faut pas se leurrer: nous sommes des milliers à agir ainsi, sans autre règles que celles qu'édictent notre coeur et notre raison. À chaque jours d'autres individus choisissent de décrocher, eux aussi, persuadés que leur existence ne pourra qu'en être plus légère et agréable à porter et confiant de participer à quelque chose d'immense et d'important. Une révolution.

P.S.: "Le communisme n'est pas la misère volontaire", dis-tu, Windigo. À cela j'ajouterait qu'une idéologie n'est pas une révolution.


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Subject: 
Si tu lisais...
Author: 
calvaire01
Date: 
Tue, 2005-05-03 15:25

Si tu lisais cher batiste tu comprendrais que je suis d'accord pour changer ma vie aussi au quotidien avec les autres c'est un des points essentiels que je défends mais cela est totalement insuffisant d'un point de vue révolutionnaire. Et que sais-tu de ce que nous faisons (tout le monde qui participe à cette discussion houleuse) ? Alors : ''Que vous érigiez vos piaillements en actions révolutionnaire vous regarde, mais ayez au moins la décence de ne pas le faire au détriment de ceux qui agissent, à chaque nanoseconde, sans suivre de recette, en faveur du changement radical que vous louangez tant.''
Connais donc avant d'insulter ! cela sera mieux pour l'intelligence de ce que tu écris...


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Subject: 
Manipulation
Author: 
calvaire01
Date: 
Fri, 2005-05-06 21:00

À propos de ce que j'écris et en manipulant outrancièrement

Sinon voici un élément de discussion

"Le fait que la classe prolétarienne soit, comme tu dis, devenue une "grande consommatrice de biens et spectacles" ne change rien au fait que c’est au sein de cette classe que l’intérêt contradictoire se manifeste toujours ; que c’est dans cette classe qu’on arrive à trouver les luttes les plus combatives et affirmatives (même si ces luttes n’ont ponctuellement rien de révolutionnaires mais laisse présager- dans la quantité de luttes- un saut qualitatif). C’est donc à l’intérieur de cette classe que cette affirmation devient "l’eau qui bout", c’est-à-dire l’exhalaison prolétarienne, la sublimation prolétarienne, dans laquelle la nature passe d’un état quelconque à un état autrement supérieur selon ce que les conditions historiques nécessitent.’’

Encore faudrait-il le démontrer. Ce prolétariat qui pourrait être un pôle de contradiction révolutionnaire s’exprime en tant que telle quand et comment ? Le premier moment ici et ailleurs dans le monde occidental en reste toujours le premier moment sectoriel, corporatiste et intégrateur peut-être parce que le prolétariat n’existe plus comme ’’un’’ sujet révolutionnaire et que dans ce cadre les partis communistes révolutionnaires et autres révolutionnaires lutte-de-classistes, ou técéistes, ou... n’existent qu’en tant que survivance de quelque chose de dépasser alors que le démocratisme radical existe comme expression de la situation actuelle qu’il faudrait savoir dépasser mais pas en régressant dans une théorie révolutionnaire sans bases concrètes et qui en tant que telle peut facilement passer pour être une pensée magique grand-soiriste qui exprime les vieux rêves de communistes déchus ? (Je pose la question mais je suis personnellement enclin à le penser)


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Subject: 
Et je ne suis pas le courant communisateur
Author: 
calvaire01
Date: 
Mon, 2005-05-02 22:20

Et je ne suis pas le courant communisateur. Le texte ne critique que vulgairement en manipulant outrancièrement les textes et en plus il ne critique que calvaire. Il semble ignorer que les tendances les plus fortes, connues et défendues sont plutôt celles de R.S. et Théorie communiste ainsi que de C. C. et de La matérielle. Ce sont celles qui définissent le projet de la revue Meeting. Moi, je ne fais qu'y participer et je suis en désaccord avec beaucoup de points des théories dominantes dans Meeting.


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CMAQ: Vie associative


Quebec City collective: no longer exist.

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