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Equateur : Du "colonel progressiste" au "que se vayan todos"Anonyme, Friday, April 22, 2005 - 03:57 (Analyses)
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Quand Lucio Gutierrez a assumé la présidence, il apromut d'en finir avec la corruption, une constante dans le passé équateurien. Une Cour Suprême signalée comme partisane et le fantasme de l'ex président Abdala Bucaram ont fait parti du lattis politique des dernières heures de Gutierrez dans le fauteuil présidentiel. Deux ans et trois mois après avoir accédé à la présidence de l'Equateur, Lucio Gutierrez a suivi les pas des derniers présidents de son pays en étant écarté par le Parlement (1). Malgré le fait d'avoir conté avec une majorité législative, les parlementaires ont manoeuvré hier en lui tournant le dos, en soupesant la force des dernières manifestations en apparence spontanées que les équatoriens ont comparé aux "cacerolazos" de décembre 2001 en Argentine. La classe moyenne, surtout, est sortie dans les rues de Quito avec la pancarte : “Que se vayan todos |
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