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Sur les prisonniers politiques argentinsAnonyme, Sunday, April 10, 2005 - 00:24 (Analyses)
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Depuis 9 mois sont détenus des innocents pour avoir protestés contre le nouveau code pénal de la ville de Buenos Aires (qui leur interdit de travailler), lors d'incidents provoqués par des policiers en civil. AGENDA ARGENTIN DE L'ETHIQUE J'ai toujours rendu visite aux prisonnier(e)s politiques. (...) Il y a deux jours, je suis allé à la prison de Devoto. Quand j'y entre, j'éprouve de la tristesse, de la mélancolie et de la rage. L'entrée par laquelle arrivent les familles des prisonniers est remplie d'ordures et de tristesse. Et les femmes avec des paquets d'aliment. Ce sont les véritables victimes de la société, de cette société qui n'a jamais cessé d'être autoritaire. (...) Donc, il y a deux jours je suis allé à la prison de Villa Devoto. Rendre visite aux prisonniers de la "Legislatura" (Parlement de la ville de Buenos Aires). Il est quand même formidable de dire qu'ils sont prisonniers pour le "Code de Vie en commun." Prisonnier(e)s pour vie en commun ? Oui. Ils et elles sont vendeurs ambulants, travestis et prostituées. Ils sont prisonnier(e)s depuis juillet 2004, accusé(e)s de charges qui peuvent leur faire souffrir 14 ans de prison. Rien de moins que de "coaction aggravée, privation de liberté, dégâts qualifiés, résistance à l'autorité |
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