Encouragement à se battre pour changer les choses, dans ce cas-ci, la politique des prêts et bourse du gouvernement Charest.

Depuis quelques décénnies, le courant américain vient enculturer toute une planète. Les gens se battent pour leurs droits et gagnent ou malheureusement baissent les bras. J'ai par contre, le sentiment que les combats glorieux sont du passé... On se bat mais lorsque notre confort personnel en est affecté, on recule ou bien on stagne.

Aujourd'hui nous faisons face à un gouvernement néo-libéral qui nous impose de reculer et qui brîme nos droits acquis. Charest s'est mis une génération à dos: les étudiants. En transformant des bourses en prêts, notre chef endette (comme c'est maintenant la mode)les jeunes de notre pays, le Québec.

Depuis trois jours, c'est le vote de grève au cégep du Vieux Montréal. Des jeunes de toutes les sortes viennent émmettre leur point de vue ou reprendre celui d'une culture devant mes yeux. "Ces maudits hippies, y font des grèves pour rien". On se bat pour nous, pour nos enfants, pour les enfants de nos voisins, on se bat pour l'idéal que l'on a tous mais que certains pensent ne jamais pouvoir atteindre.
Je me bat pour notre société, notre pays, notre monde. Lorsque certains dit : "Y font ça pour rien". Je répond:" On s'occupe de nos affaires, ce qui se passe chez nous, c'est nous qui allons décider comment ça va se passer, si ça c'est juste de nos affaire et bien je sais pas de où vous venez".

Quand on veut avoir de l'impact, on veut aussi que le monde dit ce qu'il pense. J'y crois à une société meilleure, à un monde où tous aurrait de la bouffe autant qu'il veut.

Arrêtons de penser de la façon que notre culture veut qu'on pense. Réfléchissons sur nos objectifs et laissons de côté notre confort personel bourré de chose dont on a pas de besoin.

La consommation et le matérialisme doivent stopper! Et on a des problème à règler chez nous!

On doit se battre pour ce que l'on veut...