À : Tous les médias et toutes les associations étudiantes du Québec
De : Association pour une Solidarité Syndicale Étudiante (ASSÉ)
L’ASSÉ dénonce la brutalité policière
Montréal, le 17 janvier 2005 - Depuis la récente réforme du régime d’Aide
Financière aux Études, réforme qui a entraîné la coupure de 103M$, et les
différentes mesures entreprises par le gouvernement afin d’arrimer le réseau
collégial aux lois du marché, plusieurs actions ont eu lieu afin de dénoncer
le saccage de l’éducation effectué par les libéraux. Les étudiants et
étudiantes n’ont cessé de montrer leur détermination pour défendre le droit
à l’éducation et le gouvernement, pour sa part, n’a cessé de répondre par
une série d’interventions policières injustifiées et démesurées.
Nous l’avons vu le 14 octobre dernier lorsque deux étudiants furent
brutalement tabassés et arrêtés. Nous l’avons également vu le 19 novembre
lorsque, pendant que les libéraux étaient réunis en Congrès, plus d’une
centaine de manifestants et manifestantes furent arrêtéEs pour avoir
manifesté leur désaccord. Nous nous rappelons aussi que ce lundi, six
étudiantes et étudiants de Jonquière furent arrêtéEs pour avoir obstrué
l’entrée du bureau de comté de la députée de Jonquière et ministre
responsable de la région, Françoise Gauthier.
Aujourd’hui, le même scénario s’est répété lorsque les forces policières
n’ont pas seulement refusé l’accès au caucus du Parti Libéral du Québec à
Montebello à quelques 150 manifestants et manifestantes, mais les ont
violemment réprimés, avec matraques et gaz lacrymogènes. Une fois de plus,
le gouvernement avoue sa faiblesse politique en refusant de négocier avec un
mouvement de plus en plus fort qui fonce tout droit vers la grève générale
illimitée. Selon Julie Lachance, secrétaire à la coordination, « cette
répression ne fait qu’augmenter notre détermination à défendre le droit à
l’éducation puisque nous savons que nos revendications sont des plus
légitimes ».
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Contacts : Julie Lachance, Secrétaire à la coordination, Cellulaire : (514)
803-7247, téléavertisseur : (514) 540-1073 et Xavier Lafrance, Secrétaire
aux relations externes. Cellulaire : (514) 803-5019, téléavertisseur : (514)
480-5312. Bureau : (514)390-0110 Site Internet : www.asse-solidarite.qc.ca
C'est étrange comme j'ai deux opinions divergeantes sur votre action au Montebello.
La première: avec fierté, on a fait reculer les beufs. l'action est médiatisée, une réation du PM est disponible dans les médias. Vous y avez mis du punch, et de l'énergie. Comme on dit : "vous y êtes pas allé avec le dos de la main morte...". je pense que le message est en train de passer à propos de la colère des étudiants et de leur refus catégorique de la situation.
la seconde: un malaise. 1- y a eu du sang de versé et je me demande si tout à été fait pour l'éviter. je vous le demande, y avait-il un autre moyen d'atteindre vos objectifs tout en prévenant l'effusion de sang ? 2- le résultat médiatique est faible et votre action est entachée de violence, ou d'apparence de violence. je vous rappel que l'opinion publique québécoise est totalement contre l'emploie de la violence, ce qui date des grèves des alumineries et autres...non pas parce que ça marche pas, seulement que l'état déploie TOUJOURS plus de violence suite à ces actions là, elle ira jusqu'au meurtre si nous lui en donnons l'occasion. 3- il n'y a pas eu d'autre manif d'appuie à ce que vous fesiez à montebello. ce qui ne démontre pas que vous êtes appuyés par d'autres gens dans la population.
Je trouve un peu drôle la peur du sang que vous semblez avoir. D'abord, il faut bien comprendre ce qui s'est passé. Les étudiantEs ont tenté de rentrer dans l'hôtel et la sécurité a sorti les matraques. S'en est suivi une empoignade solide parce que les étudiantEs ne se sont pas laissé impressionner par la sécurité. Comme l'objectif était de rentrer pour aller parler à Charest et à Reid et comme la sécurité ne voulait pas que les étudiantEs aillent leur parler, les seules personnes qui aurait pu éviter l'effusion de sang aurait été les agents de sécurité. Malheureusement, il n'ont pas voulu éviter la baston.
Pour ce qui est du résultat médiatique. Il a été assez efficace dans les circonstances (histoire de la sécurité des barrages et protocole de Kyoto). Pour ce qui est de "l'opinion publique québécoise qui est totalement contre l'emploie de la violence", j'aimerais bien connaître sur quelle recherche vous vous basez pour affirmer ça. Le fait qu'il y ait eu des actions violentes de la part des syndicats en automne 2003 n'a pas tué la mobilisation contre Charest, au contraire. Le fait qu'il y ait eu de la violence au sommet des Amériques n'a pas empêché le fait que la majorité de la population québécoise appuyait les manifestantEs contre la ZLÉA. Je pense sincèrement que c'est une idée fausse de croire que les québécoisEs sont contre la violence. Il y a certes des cercles de politicienNEs du gouvernement et de la société civile qui s'insurgent à chaque fois qu'ils ou elles voient de la violence, mais je crois sincèrement que la majorité de la population n'est pas du même avis que cette clique. L'utilisation de la violence à des fins politique est utilisée à chaque jour par le gouvernement et son bras armé la police. La majorité de la population subie cette violence au quotidien, que ça soit par les expulsion de logement, la répression des marginaux-ales ou l'arrestation de manifestantEs. Je crois sincèrement que toutes les personnes qui subissent cette violence sont très heureuse et sont tout à fait pour des personnes qui utiliseraient la violence pour faire payer leurs tortionnaires.
Pour ce qui est de l'état qui déploie toujours plus de violence. C'est vrai. L'état a des capacités militaires et paramilitaires beaucoup plus grandes que tous les mouvements sociaux réunis ensemble. Par contre, c'est les mouvements sociaux qui ont l'initiative. Nous pouvons frapper n'importe où, n'importe quand. C'est ce qui s'est passé à Montebello. Si le nombre de policiers blessés a été plus grand que le nombre de manifestantEs blesséEs, c'est parce que la police ne s'attendait pas à une manifestation à ce moment-là et à cet endroit-là. De plus, si l'état décide de déployer encore plus de violence la prochaine fois, il risque de le faire dans des évènements annoncés publiquement. À ce moment-là, la force utilisée risque d'être excessive, ce qui ne fera que discréditer d'avantage un gouvernement qui n'a déjà pas de crédibilité. Je ne verrais pas trop le gouvernement Charest commencer à faire des meurtres sélectifs. La réaction risque tout simplement d'être trop forte. De toute manière, il ne faut jamais oublié que les forces policières ou de sécurité sont d'abord et avant tout des forces de dissuasion. Si nous nous empêchons d'agir par peur de leur réaction, elles auront déjà gagné. Il ne faut donc pas avoir peur d'oser lutter pour gagner.
Pour ce qui est des manifestations d'appui, il est un peu logique qu'une manifestation surprise ne soit pas coordonnée avec d'autres mouvements ou régions. Ça serait stratégiquement stupide de commencer à avertir tout le monde qu'il va y avoir une action surprise. De plus, il ne faut pas attendre les autres avant d'agir. Les sondages montrent que la majorité de la population sont contre les coupures dans les prêts et bourses. Agissons au nom de cette majorité silencieuse.
Sébastien Robert
"La fin sera atroce mais, si terrible qu'elle doive être, elle est moins redoutable qu'une atrocité sans fin"
-la rose blanche
d'abord, ce n'est pas par peur du sang, mais plutôt par ce qu'il signifie, comme symbole, dans notre culture, dans la poursuite des principes que l'on peut trouver juste.
Faire verser le sang d'un autre, pour sa propre cause la discrédite.
Par ailleurs, vous ne pouvez pas dire que les gens de sécurité n'ont pas voulu évité la baston, ils sont là pour prendre les coups à la place de ceux qu'ils protègent. Ils font leur job. Ne foncez pas sur un mur pour ensuite l'accuser le vous être cogné dessus.
l'emploie de la violence est une preuve de la faiblesse de vos argument, ou à tout le moins de votre stratégie.
Mais je l'admet, je n'ai pas de sondage pour m'appuyer à dire que les québécois sont contre la violence.
Votre argument à propos de faire payer vos tortionnaires vous enlise dans un cercle vicieux de violent où c'est toujours le plus faible qui perd. De plus, vous vous faite vous même tortionnaire, pour une noble cause. c'est une peu étrange.
l'état n'a jamais souffert de l'emploie de la force, car il dispose de millions pour redorer son image. pensez à la crise d'octobre. Violence inouîe contre les droits fondamentaux. ça changé quoi. rien. on a rien pu faire.
sans faire des meurtre, ils peuvent casser des gueules, fourtres des innocents en prisons, être plus répressifs lors des prochaines manifestations pacifiques, croyez-vous que dans leur tête vous avez raison ?
comment vous pensez que pense un boeuf quand ses amis se ramassent à l'hopital ? c quoi la réaction des flics quand ils entendent " nous avons un homme au sol " dans leur CB ? vous pensez pas qu'ils vont se vanger sur nous autre cet été ? on risque d'avoir des représaille pas mal ruff à supporter à cause de vos actes.
voilà le cycle de la violence qui s'amorce.
Je ne croie pas que la défense de l'éducation puisse se faire dans le sang.
Par contre, la couverture médiatique vous est négative. on voit une émeute, du sang, de la violence, sans vraiment en apprendre plus sur le fond du sujet.
Nous sommes un mouvement très imaginatif, et nous dommes en mesure de déployer notre énergie plus positivement et de manière plus rentable. ne pas vouloir être violent physiquement, ne signifie pas qu'on ne veut pas agir. une miette d'imagination SVP.
Il y a déjà eu des actions tenues secretes supportées par des actions publiques. Ça c'est déjà fait. on a réussi, donc ne me dites pas que c'est impossible
Votre derniêre phrase me fait très peur :
agissons au nom de cette majorité silencieuse
Non, s'il vous plaît agissez en votre propre nom et en celui de ceux qui vous supporte officiellement. Ne dérapez pas en vous appropriant les intentions de gens qui ne vous ont pas donné leur accord. c'est très dangeureux.
Si vous prenez des actions, soyez responsable de vos propres gestes. Les autres ne doivent pas être impliqués tant qu'il ne vous en donne pas l'autorisation.
J'apprécie votre réponse, qui me permet d'élaborer plus avant sur ce sujet chaud, qui me touche beaucoup. surtout ne lâchez pas. et accueillons les opinions divergentes.
Je dois avouer que j'ai un peu de misère à accepter ton discours. En fait, il y a quelques contradictions qui m'énervent énormément dans ta réponse et que je trouvais important de te présenter afin d'aider ta réflexion sur le sujet.
D'abord, tu dis que faire verser le sang d'un autre discrédite ta propre cause. Par contre, la phrase d'après, tu dis que la sécurité ne fesais que sa job. Je trouve un peu bizarre ce double-standard. Les opposantEs au système actuel ne doivent pas utiliser la violence parce qu'ils et elles ont une cause et que celle-ci ne doit pas être discréditée, par contre, les défenseurEs du régime peuvent utiliser la violence parce que ce n'est qu'une job. Pourtant, une action peut très bien être vu comme une job pour unE militantE et le fait de défendre le système de Charest peut très bien être vu comme une cause. Pourquoi dans ce cas ne critiquer que la violence utilisée par les manifestantEs? Est-ce que le gouvernement avait la légitimité de prendre un hôtel et de le protéger de manière armée et d'empêcher par la force les habitantEs de la région d'aller à l'hôtel à côté de chez eux/elles? Pourquoi est-ce que Charest avait plus raison d'être à l'intérieur du château Montebello que les étudiantEs? Pour qui est-ce que Charest se prend pour repousser par la violence (par ses gorilles) des personnes qui veulent lui parler?
Il y a aussi plusieurs positions doctrinaires dans votre discours. J'aimerais bien que ces affirmations soit appuyées par un raisonnement rationnel basé sur du concret. En voici quelques exemples:
"Faire verser le sang d'un autre, pour sa propre cause la discrédite"
"l'emploie de la violence est une preuve de la faiblesse de vos argument, ou à tout le moins de votre stratégie."
"Par contre, la couverture médiatique vous est négative"
"l'état n'a jamais souffert de l'emploie de la force"
Pour ce qui est de l'image médiatique, il y a beaucoup de personnes à qui j'ai parlé qui ne trouve pas qu'elle est mauvaise. En fait, beaucoup crois qu'elle est même positive parce qu'elle montre la détermination du mouvement étudiant et le refus du dialogue de la part du gouvernement.
Pour ce qui est du cycle de la violence, il dure jusqu'à ce que l'adversaire ayant la position de pouvoir arrive à un point où le stress est assez fort pour l'obliger à créer un dialogue avec l'adversaire dominé à l'origine. Il s'agit de regarder l'histoire du mouvement ouvrier, du mouvement des droits civiques états-uniens ou même de l'altermondialisme (quoi que maintenant, le stress n'est plus très grand alors les discussion devraient tendre à disparaître) pour le comprendre.
En fait, il est très important d'avoir la détermination qui soit proportionnelle aux revendications qu'on avance et il ne faut surtout pas s'empêcher des moyens d'action de manière doctrinaire parce que ça pourrait nous empêcher de faire des gains matériels que nous ferions autrement.
Il ne faut jamais oublier que ceux et celles qui nous empêchent de faire les gains que nous voulons faire sont déterminéEs. Si nous ne sommes pas aussi déterminéEs qu'eux et elles, nous ne réussirons jamais à les convaincre. Il faut parler leur language si nous voulons être comprisEs et, malheureusement, le language qui est universellement compris par l'humanité (et les autres espèces), c'est la violence.
Pour ce qui est du fait d'agir pour la majorité silencieuse, je trouvait important de mettre cette phrase pour montrer que nos adversaires, ceux et celles qui nous oppriment, utilisent régulièrement cet argument (regardez le discours de Mario Dumont) et manipulent le concept de "majorité silencieuse" afin d'encourager leurs partisans à l'action, afin de les aider à utiliser la violence afin d'asseoir leur domination sur la population en général.
Je ne crois pas nécessairement que la gauche dois commencer à tuer du monde au nom de la majorité silencieuse, je crois simplement qu'il faut que nous arrêtions de nous empêcher d'agir parce que la majorité n'est pas activement derrière nous...
Sébastien Robert
"La fin sera atroce mais, si terrible qu'elle doive être, elle est moins redoutable qu'une atrocité sans fin"
-la rose blanche
C'est fantastique de voir que lorsqu'on est pas du même avis, l'un de nous aie besoin d'aide et l'autre prêt à l'offrir. Laisse moi te poser une question, es-tu en mesure d'accepter lorsque tu as tort ?
Sinon, cesse de lire ici car ce n'est plus un partage, mais un cours magistrale que tu me donnes et j'en n'ai cure.
Parcontre, si tu dispose d'assez de modestie pour reconnaitre ton tort et ne pas t'y replonger plus avant, je suis pareil à toi. Discutons.
Les contradictions sont des outils. les supporter aider à voir ce qu'on ne veut pas voir. une ligne courbe est une ligne droite est une contradiction. mais si je ne pose pas cette contradiction je ne pourrai jamais la résoudre.
Mais non, je ne me contredit pas. Tu crois lire dans mes propos que les gardes de sécurité doivent protéger leur crédibilité. Pas du tout. Ils ont une service millionnaire de relation publique pour ça. eux, leur attention est de protéger un chef d'état.
je te remercie de poser clairement tes questions:
Pourquoi dans ce cas ne critiquer que la violence utilisée par les manifestantEs?
parce qu'elle est un outil de visibilité et de revendication qui n'atteint pas son but. tout votre message est occulté par les images de brasse camarade et le mot émeute. c'est le choix de l'outil qui n'est pas le bon.
Est-ce que le gouvernement avait la légitimité de prendre un hôtel et de le protéger de manière armée et d'empêcher par la force les habitantEs de la région d'aller à l'hôtel à côté de chez eux/elles?
oui il a la légitimité, car il l'avait réservé pour ses services. la protection des chef d'état est elle aussi légitime. si vous étiez entré un à la fois, sans troubler la paix, pour obtenir les services de l'hotel, ce serait pas la même chose.
Pourquoi est-ce que Charest avait plus raison d'être à l'intérieur du château Montebello que les étudiantEs?
il avait réservé sa place.
Pour qui est-ce que Charest se prend pour repousser par la violence (par ses gorilles) des personnes qui veulent lui parler?
il se prend pour un chef d'état.
et je peux justifier ces phrases impies...
"Faire verser le sang d'un autre, pour sa propre cause la discrédite"
comment ton adversaire peut faire valoir le meilleur argument du monde, si tu le tue ou le fais taire par la force, la peur et la violence. comment tu peux faire valoir que tu as raison quand c'est par la force que tu t'imposes. le fait que tu attire l'attention par la force, démontre que tu trouves que tes arguments sont trop faibles pour n'utiliser qu'eux sans la force pour les faire accepter. et que restera-t-il quand un autre arrivera avec un peu plus de force, il changera ce que tu aura fait, sans plus d'argument.
"l'emploie de la violence est une preuve de la faiblesse de vos argument, ou à tout le moins de votre stratégie."
la vilence est un manque d'argument. quand tu sais plus quoi dire, tu frappes. mais tant que tu peux expliquer pourquoi, argumenter, présenter ton point, montrer les différentes facettes, il n'y a pas besoin de violence. cela signifie aussi que si l'autre n'écoute pas tes arguments et qu'il veut rien savoir. Qu'il s'en criss, qui est une forme de violence. Là tu peux employer la violence. mais cela signifie que tu es sans argument.
"Par contre, la couverture médiatique vous est négative"
tout ce que j'ai vu c'est du brasse camarade, du sang, ensuite on parle des blessés, puis un commentaire du PM. qu'est-ce qui vous avantage là-dedand.
"l'état n'a jamais souffert de l'emploie de la force"
l'état est toujours capable de justifier auprès de son élite d'artistocrate bourgeois corrompus, le bien fondé de cette violence. il dispose de leur permission, de leur bénédiction et d'un immance budget de relation publique.
pour ce qui est de ton sondage, est-il représentatif. Si tu as posé la question à ton entourage, c'est a peu près certain qu'il pense comme toi. ensuite le nombre de personne, pour un échantillon respectable il te faut 400 personnes. hors de ces normes là l'avis que tu as eu est une pure opinion, pas autre chose. c'est vrai qu'on percoit votre détermination, mais le mot émeute occulte beaucoup de chose.
pour ce qui est de l'histoire du mouvement ouvrier, on lui fait dire n'importe quoi. je conçois le principe de pression. je comprends pas comment je peux faire peur à un hells angels avec un couteau en plastic. il est ou le stress. physiquement il s'en torche.
aoutch ! la détermination et les moyens d'action doctrinaire ... ouf c'est épeurant ça !doctrinaire dans le sens de y en a juste une petite gang qui a raison et qui savent ce qui doit être fait ...???
une clique qui connait la vérité et les autres doivent suivre car il ne peuvent pas comprendre...
cette manière de construire une organisation de résistance est morte avec l'URSS. il n'y a pas de doctrine qui tienne. la fin ne justifie pas les moyens. on se bat pour l'égalité et la solidarité, il me semble que toute nos organisations doivent d'agir elles-même comme ça. un peu de démocratie svp, à bas la doctrine aveugle.
je me range à ton idée sur la majorité silencieuse. c'est juste.
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