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MASSACRE A BESLAN: 340 MORTS ET DES CENTAINES DE BLESSES, AUTOPSIE D UNE MANIPULATION D'ETAT.Sylvain, Monday, September 6, 2004 - 18:07 International (LVO) : On nous a demandé de nous taire sagement jusqu'à ce que les personnes accusées parlent au monde. C'est fait, le président Aslan Maskhadov s'est exprimé sur la 'Voix du Caucase' pour dénoncer vigoureusement la prise d'otage de l'école de Beslan en Ossétie du Nord, et le meurtre de civils et notamment d'enfants. La Résistance Islamique de Tchétchénie, par la voix de son Président, nie tout lien avec les différents événements qui se sont produit en Russie depuis 15 jours, le président Maskhadov condamne la prise d'otage, effectuée par des éléments n'ayant aucun lien avec la Cause Tchétchène, que ce soit directement ou indirectement. De plus, selon une déclaration, parue sur un forum Musulman, le groupe "Islambouli" nie toute implication dans cette prise d'otage et la dénonce comme une opération de diabolisation des Musulmans du Caucase pour des raisons encore obscures à ce jour. Les combattants Musulmans, à partir du Texte Sacré Révélé, le Quour'an Al Karim et de la Sunnah (tradition prophétique) condamnent toute violence effectuée sur des enfants, des femmes, des anciens ou des religieux au nom de l'Islaam, ceci est de l'égarement pur et simple, même si les Russes se comportent comme des barbares dans le Caucase, l'Islam prohibe ces actes et les nombreux hadiths le prouvent. Le boucher de Moscou Putine est finalement tombé dans le piège tendu par ceux-la même qui l'ont fabrique et qui l'ont installé au pouvoir. Ceux-ci sont actuellement en fuite ou derrière des barreaux, accusés d'avoir voulu 'piller les richesses nationales russes', et transmettre de la haute technologie en matière d'exploration et de forage pétrolier a des grandes multinationales pétrolières, aux mains du terrorisme sioniste international. L'école de Beslan, où les otages étaient tenus a été prise d'assaut par un dispositif militaire impressionnant des forces Russes, officiellement en négociation avec les preneurs d'otages, qui étaient au départ des "Terroristes Tchétchènes", puis sont devenus des "Séparatistes pro-Tchetchenes et des veuves noires d'un groupe nommé Islambouli", pour finalement s'être volatilisés dans la nature selon les forces russes et devenir des "Terroristes Arabes", rien ne le montre jusqu'a aujourd'hui. Le FSB et ses méthodes plus que monstrueuses ne sachant plus quoi inventer essaient au final de faire croire que des groupes incontrôlés de "mercenaires arabes" liés à Al Qaeda bien sur, seraient derrière le coup, il n'en est strictement rien, c'est un pur mensonge qui permet aux bouchers de Moscou de gagner du temps. Le pouvoir russe a bloqué toute l'information venant des preneurs d'otages. Les prétendues revendications confirment que les preneurs d'otages sont des bandits ou des sources indépendantes. Les communications téléphoniques dans Beslan ont toutes été bloquées. Les russes expliquent que cela a été fait paraît-il pour empêcher les terroristes de recevoir des instructions de la part des organisateurs qui ne sont pas sur la scène des événements. Toutefois, vous pouvez communiquer par radio (à travers la région entière) ou des téléphones satellite sans que les opérateurs locaux de communications cellulaires ne soient impliqués, il faudra raconter autre chose, voici ce qui prouve ce que nous disons : - Le groupe armé a refusé de communiquer par téléphone, alors même qu'ils avaient eux mêmes fourni le numéro de leur téléphone aux "négociateurs russes". - La bande vidéo contenant les revendications des preneurs d'otages s'est avéré être vierge. Comme si un nouvel enregistrement ne pourrait pas être fait pour les revendications dans une période de 24 heures. - Les preneurs d'otages ont refusé de répondre aux téléphones dans l'école de Beslan. - Les demandes absurdes ont été faites pour inviter Roshal dans les négociations, un informateur connu du FSB ou le président d'Ingouchie Zyazikov. Ces gens ne peuvent prendre de décisions de leur propre chef lors de négociations. Les preneurs d'otages ont refusé de négocier avec le chef de la police fédéral russe, Nurgaliyev, représentant du Ministère de l'Intérieur. Ni Nurgaliyev, ou Zyazikov et Dzasokhov (le dirigeant de l'Ossetie du Nord) n'ont les capacités, ni les connaissances pour demander la libération des combattants Tchétchènes capturés en Ingouchie, lors de précédentes opérations de la Résistance Tchétchène. - Pourquoi le nombre de personnes pris en otage a été caché au monde, plus de 1200 personnes en faite, au lien de 300 annoncées. - Les Résistants Tchétchènes, lorsqu'ils mènent des opérations en avertissent directement les medias du monde entier, alors même qu'ils combattent sur le terrain. Leurs cibles sont le FSB, la police fédérale, l'armée, le GRU (services de renseignements militaires) et les collabos, ils possèdent l'intelligence pour frapper Kadirov, protégé de Moscou, et les services russes directement, pourquoi iraient-ils salir leur cause devant l'opinion publique internationale en prenant des enfants, alors que l'Islam, dont ils se réclament, interdit de toucher à un cheveu d'un enfant??? Le brouillage des fréquences de communications par le GRU a empêché la Résistance Tchétchène de dépêcher sur place ses informateurs pour savoir ce qui se tramait, c'est pour cela qu'elle a tardée à réagir, pour vérifier si des éléments "incontrolés" étaient impliqués. Après avoir eut confirmation de la non présence de ses combattants, le Commandement de la Résistance Tchétchène s'est adressé aux medias internationaux. - Pourquoi les journalistes russes, spécialistes de la Tchétchénie ont été empêchés de joindre Beslan par les autorités russes, si celles-ci négociaient ? Que veut encore cacher le pouvoir Russe? Anna Politkovskaïa, qui avait joué le rôle de médiatrice dans la prise d'otages du théâtre de la Doubrovka (Moscou, octobre 2002), a cherché à prendre un vol pour Rostov, dans le sud de la Russie. Dans l'avion, après avoir bu un thé, elle a été victime un malaise. A l'hôpital de Rostov, les médecins diagnostiquent une infection intestinale aiguë. Elle rentre alors à Moscou pour se faire soigner. Une témoin gênante pour le Kremlin venait d'être écartée, le massacre pouvait commencer... Les structures du pouvoir russe ont bloqué la ville et ils l'ont coupée du monde, pour dissimuler le massacre, pourtant prévisible. Les unités spéciales qui ont "libérés" le théâtre de Dubrovka (octobre 2002) à Moscou étaient à l'oeuvre à Beslan. 850 lits ont été préparés dans les hôpitaux de l'Ossetie du Nord pour la réception d'urgence de victimes possibles. L'information fournie aux forces russes suggéraient que l'école avait été prise par quelques personnes déséquilibrées qui n'avaient pas de revendications particulières ou obscures, qui n'essayaient pas de contacter d'autres personnes, et des actions imprévisibles pouvaient être menées. Juste avant de prendre d'assaut l'école, selon la version des russes "la situation est devenue hors de contrôle, les vies des otages étaient sous la menace des terroristes, qui ont paniqué et fait exploser une charge, c'est ce qui a provoqué l'assaut"... Pourtant, depuis le début de la prise d'otage, le 2 septembre 2004, le Kremlin déclarait que le bâtiment ne serait pas pris d'assaut. Le seul objectif de ces déclarations était de montrer et de convaincre la population russe que les services de sécurité n'avaient pas l'intention de prendre d'assaut le bâtiment, et de présenter l'attaque comme une mesure d'urgence. Or selon des témoignages d'habitants de la ville de Beslan, les forces russes ont commencé à creuser un trou dans le mur pour "faire sortir les otages du gymnase de l'école et les explosions ont commencé dans l'école, le toit s'est effondré sur des dizaines d'otages et d'enfants morts sur le coup, les chars à l'extérieur ont commence à tirer sur les façades de l'école, alors que les militaires russes voyaient des femmes et des enfants agiter des vêtements par les fenêtres pour leur faire signe de ne pas tirer sur eux, les chars ont continué à tirer sur eux, pour des raisons inconnues. L'école et ses environs auraient été nettoyées par les commandos russes, qui ont fait sauter les dernières charges dans l'école provoquant sa destruction totale. Tout a été fait pour cacher des preuves de l'incompétence du FSB, et éviter que des charges soient retenues contre le FSB et le GRU (services de renseignements militaires) et le Kremlin soient à l'abri d'une enquête, comme celle menée en 1999 lors des attentats sur des bâtiments de civils qui avaient conduit à des centaines de morts, et le début de la seconde guerre de Tchétchénie. Cette seconde guerre et ses massacres avaient propulsés Poutine au pouvoir en 1999. Ces attentats avaient alors été commis par le FSB (services russes) qui avait été mis à nus, notamment par l'enquête d'un journaliste français. Cette vague d'opérations de guerre a encore fait bouillir le chaudron Tchétchène. En dépit des tentatives désespérées faites par Poutine et ses "amis" de l'Ouest pour étouffer le génocide du peuple Tchétchène pour des intérêts "vitaux" dans la région, le sang Tchétchène continue de couler abondamment sur la communauté internationale, celle-ci essaye de cacher sa culpabilité et sa complicité en se montrant outragés par les récents événements. En Tchétchénie, lorsque le sang et les massacres font rage, des centaines de civils (30% de la population exterminée), les camps de concentration, de filtration, de tortures, les viols systématiques de femmes, les descentes des escadrons de la mort, les prise d'otages de villages entiers décimés par l'armée russe, les meurtres et les enlèvements ne soulèvent pas l'indignation du monde, la communauté internationale est satisfaite et calme. Quand une opération menée par une bande d'inconnus, aux revendications obscurs, sans même l'once d'une preuve, le Monde condamne les Résistants Tchétchènes, coupables de défendre leur Pays et leur Religion interdite de pratique dans certains pays en croisade contre l'Islam, ceci toujours sans la moindre once de preuves, si ce n'est les mensonges des services russes, incapables de gérer la tension internationale exercée sur la Russie, à l'aube d'un conflit généralisé au Moyen Orient. Rappelons le contexte Moyen Oriental et l'agenda sioniste qui s'obstine à déclencher une guerre préventive contre l'Iran, ennemi numéro un de l'entité sioniste, qui possède la technologie nucléaire civile, fournie par la Russie de Poutine. La Chine et la Russie ont très bien compris que l'invasion de l'Irak et de l'Afghanistan servait à contrôler et réguler le développement de ces pays par la main mise des ressources minières et hydrocarbures nécessaires à leur développements économiques. Ces deux pays ont fourni aux pays Musulmans de quoi faire sauter Israël, et tous ceux qui aident les ennemis des malades mentaux de Wall Street, Washington et Tel Aviv doivent être punis, d'une manière ou d'une autre. Poutine est tombé dans le piège de ceux qui l'ont fabriqué à partir de massacres sur les populations du Sud de la Russie et de la capitale et le génocide des Peuples du Caucase, dont celui de Tchétchénie et aujourd'hui des Ossètes qui ne sont Russes que par le nom et qui n'avaient rien demandé. Combien de temps encore Poutine tiendra sa place, il n'est qu'une marionnette à Moscou, d'autres plus compétents et plus anti-sionistes que lui pourraient le remplacer plus vite qu'il ne pense. De nombreux indices nous donnent à penser que les peuples de Russie sont victimes de la stratégie du Pays au Moyen Orient et la perte d'intérêts "stratégique de premier ordre" en Georgie et en Adjarie, ou courent les pipelines venant de la mer Caspienne et allant jusqu'à la mère noire, le démontre encore une fois. Les troubles et le "terrorisme" n'apparaissent que là ou il y a du pétrole, la Tchétchénie est le Koweït du Caucase. Les enjeux dans cette région sont énormes, ne situer le problème que sous le prisme sioniste de la "guerre contre le terrorisme" est le pire des mensonges. Le pic de production de pétrole, bien connu des spécialistes et occulté par la presse sioniste, y est pour beaucoup. La raréfaction des réserves pousse certains milieux sionistes dans le monde à la démence. Tout est mis en place pour faire tomber Poutine, que ce soit par des commissions d'enquêtes sur des attentats, ou des pseudo menaces de la Commission Européenne des Droits de l'Homme pour les agissements du pouvoir Russe dans le Caucase et l'obstination de la Russie à vouloir aider l'Iran dans son programme nucléaire civil... Comme vous l'avez compris, placer Poutine sous pression sert surtout à isoler politiquement l'Iran au niveau international afin de pouvoir frapper ce pays tout en évitant des représailles de la part de la Communauté internationale. Département de l'information stratégique. Posté le 05 septembre 2004 à 19:23:09 par redaction |
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