Multimedia
Audio
Video
Photo

Enrayer les fausses allégations d'abus sexuel pour protéger les enfants

Anonyme, Wednesday, July 2, 2003 - 09:42

Le problème est connu des juristes, des travailleurs sociaux, des intervenants auprès des refuges pour femmes-victimes, des hommes qui sont passés dans le tordeur et, malheureusement, des mères de famille. Au moment de la rupture du couple, rien n'est plus efficace que de porter de fausses allégations d'abus sexuel ou de violence domestique. Quel juge oserait accorder une garde, même partagée, à un homme qui a été accusé d'être un abuseur. Même en attente de procès, même quand l'accusé a été acquitté, le juge protère ses arrières.

On entend tout de suite les objections. Ne vous fatiguez pas, on les a déjà toutes entendues. N'empêche que les fausses allégations existent, qu'elles sabotent le processus de justice et qu'elles ont le pouvoir de briser la vie de l'homme et de l'enfant qui les subissent. Les enfants, là-dedans sont privées de la relation qu'ils auraient eu autrement avec leur père. Certasins experts ont même affirmé que les fausses allégations d'abus sexuel sont plus néfaste pour l'enfant qui en est l'objet que ne l'auraient été les abus sexuels s'il les avaient subis. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Les fausses allégations d'abus sexuel est une forme d'abus condamnable. Pourtant, elles ne le sont pas.

Un autre aspect de la question, est que les fausses allégations d'abus sexuel paralysent le Directeur de la protection de la jeunesse. Posez la question, vous verrez bien que les employés du DPJ sont tellement occupés avec des allégations qui sont sans fondement qu'ils ne sont plus en mesure d'offrir un service adéquat aux enfants qui sont vraiment en danger. Pensez-y au moment de remplir votre déclaration de revenus. Une partie importante du budget du DPJ est gaspillé par des mères qui utilisent ses services à mauvais escient.

Existe-t-il une solution qui ne déplaise à personne? Il en existe une qui ne peut que déplaire aux avocats qui s'enrichissent avec les disputes de leurs clients. Elle est simple, économique, efficace, juste et équitable. Si l'auteur des fausses allégation était responsable du méfait public dont elle s'est rendue coupable, il est certain que, la crainte d'une éventuelle sanction, en dissuade plusieurs. Si, en plus, l'État entreprenait une campagne de publicité gouvernementale pour informer le public des conséquences des fausses allégations, il est également certain que leur occurence diminue.

AttachmentSize
12507.jpg0 bytes


Subject: 
Preuve
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 10:15

Prouvez vous-même vos allégations contre les mères. Ce texte est diffamatoire et digne du néant.


[ ]

Subject: 
OK LES PREUVES que 50% et + des accusations sont fausses !!!!!!!
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 12:53

.S.- Minnesota. 77% des accusations d'agression sexuelle contre les pères sont fausses. Enquêtées, cas par cas, auprès des enfants impliqués, par the Institue for Phychological Thérapies. Et ce sont soldées par un acquittement à la cour.

Recherche de l'Instutut présentée au Cinquième Symposium in forensic Psychologie, San diego, California.

On y explique comment les enfants, à partir d'un histoire courte répétée plusieurs fois aux travailleurs sociaux, aux professionnels de la santé, à l'intra-familial, aux policiers et à la cour, stimulent la suggestibilité de l'enfant qui intègre que l'abus est réel. Page 1 et page 2 tableau 1.

Lien à consulter: http://www.mensongefeministe.ca/55faus.pdf

______________________________________________________________________

Canada-Alberta. 50% des accusations d'agression sexuelle contre les pères son fausses. The Alberta Social Service Protect Child déclare que la moitié des accusations sont fausses suite à une enquête de plusieurs années. Faits rapportés par Canada's Independent Newsmagasine: Getting Rid of Dad.

L'enjeu principal des mensonges meurtriers est la lutte pour la garde de l'enfant dans les divorces.

Source; The Alberta social service child protect. Faits rapporté par Canada's Independent Newsmagasine: Getting rid of dad. 17 Août 1992

______________________________________________________________________

U.S.-Midwestern. 41% des accusations d'agression sexuelle à l'égard des femmes sont fausses. Université de Purdue Indianna, Department of Sociology & Anthropology. Archives of Sexual Behavior, Vol. 23, No. 1, 1994. Enquête longitudinale de 9 ans.

-Pendant les 9 ans, les 41% des fausses accusations ont été déclarées officiellement fausses par l'aveu même des femmes victimes, qu'il s'agissait de fausses déclarations.

-Les deux principaux générateurs de l'inexactitude dans l'enquête sont la police et les regroupements féministes:

La police pour les raisons suivantes: The police are prone to say the reason for not believing some rape complainants resides in the fact that the rapes never occurred (Payton, 1967; Wilson, 1978; Jay, 1991). And Medical Examiners lend support to this police position by emphasizing the ever-present possibility that rape complainants may be lying (Shill, 1969, 1971)

Les regroupements féministes pour les raisons suivantes: The feminists are by far the most expressive and prominent on this issue. Some feminists take the position that the declaration of rape as false or unfounded largely means that the police do not believe the complainant; that is, the rape charges are real reflections of criminal assault, but the agents of the criminal justice system do not believe them (Brownmiller, 1975; Russell, 1984). And some feminists virtually deny the existence of false rape accusations and believe the concept itself constitutes discriminatory harassment toward women (see Grano, 1990). page 81-90

Source: False Rape Allegations, Eugene J. Kanin, Ph.D

Université de Purdue Indianna, Department of Sociology & Anthropology. Archives of Sexual Behavior, Enquête longitudinale de 9 ans. Vol. 23, No. 1, 1994.

______________________________________________________________________

Canada-Ontario. 67,7% d'agressions sexuelles contre les pères sont fausses. 9260 cas d'agression sexuelle paternelle enquêtée ( father: 2 737, other male: 5 202, stepfather: 1 321 ), par le gouvernement: Social Service Child Protect. Ontario Incidence Study of Reported Child abuse and Neglect 1994, isbn 1-55159-036-06. father: 2 737, other male: 5 202, stepfather: 1 321 ), par le gouvernement: Social Service Child Protect. Ontario Incidence Study of Reported Child abuse and Neglect 1994, isbn 1-55159-036-06.

Ce type de violence par les service de protection de l'enfance est pris très au sérieux et traité en priorité. 6275 cas rejetés se sont révélés faux et l'enquête fut arrêtée. Dans la majorité, des cas la mère était la ''délatrice''. Page 67, représentation graphique des agressions sexuelles du tableau 4.4a:

Source:
Chapitre 4 seulement: Ontario Incidence Study

of reported child abuse and neglect 1994.

______________________________________________________________________

Canada/Québec. 42,85% des signalements d'abus sexuel faits à la D.P.J. sont non fondés après enquête. Page 47, figure 3.11. Étude sur l'incidence et les caractéristiques des situations d'abus, de négligence, d'adandon et de trouble de comportement sérieux signalées à la Direction de la protection de jeunesse au Québec. Rapport final, juin 2002. Isbn: 2-922-914-01-1;

Toutes catégories confondues, les deux principales sources d'accusation sont: le milieu scolaire 38% (plus de 80% de personnel féminin, dont plus de la moitié des accusations étaient non fondée, soit 20% sur 38%) et les mères 29% (dont plus de la moitié était non fondée, soit 16% sur 29%) (page 94):

______________________________________________________________________
Une autre sorte de fausse allégation...tous les moyens sont bons pour essayer de faire payer les "maudits hommes" !!!

Près de 30% des hommes aux États-Unis, sont acquittés lors d'une poursuite judiciaire, intentée par des mères, pour pensions alimentaires suite à un test d'A.D.N.:

_____________________________________________________________________

Autre site sur le sujet:

Va-t-on enfin reconnaitre que les hommes ET les femmes sont capable de mensonges et de la destruction de son prochain...

Dieu a dit...VOUS (homme et femme) avez péchés...il n'a pas dit: homme (ici on parle du mâle) tu as péché !!!

Oui l'humanité est belle...mais elle est AUSSI laide parfois...ET les deux sexes sont coupables de cette laideur!

Sébastien Tremblay, statisticien biaisé
#1 Les femmes sont + souvent initiatrices de violences ques les hommes
#2 Les femmes de l'occident tuent + d'enfants que les hommes.
#3 Les femmes du Québec ont tués 7 hommes et les hommes 14 femmes...
#4 Les femmes violentent + souvent les personnes agées


[ ]

Subject: 
Petites corrections dans ma signature....
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 12:56

Sébastien Tremblay, statisticien biaisé
#1 Les femmes sont + souvent initiatrices de violences ques les hommes
#2 Les femmes de l'Occident tuent + d'enfants que les hommes.
#3 Les femmes du Québec ont tués 7 conjoints et les hommes 14 conjointes...
#4 Les femmes violentent + souvent les personnes agées


[ ]

Subject: 
je connais un cas
Author: 
Anonyme
Date: 
Thu, 2003-07-03 06:57

Une femme accuse son mari d'agression sexuelle envers son plus vieux des trois enfants lorsque celui-ci découvre que les 3 ne sont pas de lui pour cause d'infertilité. Il en a fait une énorme dépression, passer au travers la justice, DPJ mais s'en est sorti grâce à son entourage qui le connaissait et savait ce que sa douce moitié faisait pour s'inséminer non pas à l'hopital mais naturellement chez son amant père des 3 avec qui elle vit maintenant et elle s'est débarrassé du même coup d'un gros scandale en le projetant sur le cocu et a récolté un beau ptit magot, le dindon ayant un bel emploi. Très rusée. Y en a combien comme ça ? Un vrai roman feuilleton qu'on devrait faire passer à la télé.


[ ]

Subject: 
Certainement
Author: 
Anonyme
Date: 
Fri, 2003-07-04 04:25

Près de nous, et tu peux vérifier avec la CSQ, 2 profs ont été faussement accusés, un se nomme Sansregret, l'autre son nom m'échappe.

En voici d'autres;

Fausses accusations d'abus sexuel

Le nombre d'accusations d'abus sexuels sur des enfants a augmenté en flèche depuis le début des années 1990. Depuis, en fait, que l'obligation légale de corroboration du témoignage d'un enfant (pour que ce témoignage soit recevable) a été abolie en 1988.

Cette abolition fut une bonne chose, estime Me Jean Dury, « l'ancienne règle de corroboration a entraîné des injustices flagrantes à l'endroit d'enfants qui ont été réellement victimes d'abus sexuels ». Elle a cependant eu cette conséquence fâcheuse: celle de créer un accroissement majeur du nombre de plaintes à caractère sexuel portées par des enfants contre des adultes, spécialement contre le personnel des écoles et les enseignants. Et plusieurs se sont révélées non fondées. « Ce n'est pas vrai qu'il y a au Québec 500 professeurs qui sont pédophiles! », s'indigne Me Dury.

Cela dit, « il ne faut pas jeter la pierre aux enfants, ni dire que ce sont toujours des menteurs. Dans certains cas, il y a eu réellement abus. Il faut plutôt comprendre que les enfants ont leur réalité à eux. Au lieu de parler de fausses accusations, on devrait parler de fausses interprétations de gestes souvent affectifs posés par des professeurs. Un toucher sur les épaules, la tête, le dos devient sexuel si l'intervenant qui entend la plainte n'est pas sensibilisé au problème de l'énorme potentiel d'un enfant d'adhérer à des questions suggestives ».

Car là réside le plus souvent le problème, « dans la façon dont sont menées les enquêtes policières », soutient Me Dury. Selon lui, ce sont souvent les questions suggestives provenant des policiers ou d'autres intervenants qui sont à l'origine des fausses accusations. C'est pourquoi Me Dury pense qu'avant de porter plainte à la police, il vaut mieux que la direction de l'école, qui connaît mieux ses élèves, fasse d'abord elle-même enquête, tout en prenant soin d'avertir la Direction de la protection de la jeunesse. Dans bien des cas, « on s'aperçoit que l'enfant en voulait au professeur et que son histoire ne tenait pas debout », dit Me Dury.

Par ailleurs, il préconise l'instauration d'un système vidéo dans chaque école afin de capter toute plainte initiale des enfants et minimiser toute interférence suggestive des adultes. Pour la même raison, « les enquêtes policières devraient aussi être faites sur vidéo et ce, dès le tout début ».

http://www.barreau.qc.ca/journal/frameset.asp?article=/journal/vol33/no1...

Infos | Les accusations mensongères ont poussé le prof au suicide

Le Parisien.com

3 février 2003

«TOUT SE BRISE en moi. Je ne peux plus vivre. Après, expliquer ou se justifier. Les doutes, les commérages. Les allusions. Je ne vais pas me battre tellement cela me paraît dérisoire et sordide. Vous pouvez me croire, ma conscience est tranquille mais que quelqu´un puisse penser que je puisse faire une chose pareille m´est insupportable. Il est temps de se taire maintenant. » Accusé par un élève d´agression sexuelle, Bernard Hanse a mis fin à ses jours le 10 juin 1997. Ce professeur de sport de 50 ans a laissé derrière lui une femme, deux filles et une lettre d´adieu à leur intention. « La parole de l´enfant est d´or. Notre affaire est la démonstration inverse de ce credo », expliquent aujourd´hui François et Alain, deux frères de Bernard ; parce que, au terme d´une longue procédure judiciaire, la cour d´appel de Reims a statué. L´arrêt du 22 juin 2002 ne condamne pas l´élève, mis en examen pour « dénonciation mensongère », mais indique : « C´est à la suite de son expulsion, à l´origine d´un contact physique, peut-être mal interprété, entre élève et professeur, que X, a accusé Bernard Hanse de s´être livré à des attouchements, dont il a cru pouvoir établir l´existence en les rapportant mensongèrement à ses condisciples afin que ces derniers puissent ultérieurement corroborer son dire, ce qu´ils se sont refusés de faire. L´accusation portée contre le professeur apparaît ainsi dépourvue de fondement. »

Un élève décrit comme chahuteur et menteur

Le 2 juin 1997, Bernard Hanse, prof de sport depuis quatorze ans au petit collège de Montmirail (Marne) exclut un élève trop turbulent des vestiaires du gymnase. L´adolescent a déjà mauvaise réputation. Redoublant sa classe de sixième, il est décrit par ses professeurs comme chahuteur et menteur. « A 13 ans, il voulait déjà jouer les petites frappes, confie l´un d´entre eux. Pour que ses parents croient à l´histoire, il la leur a racontée en pleurant. » Cinq jours plus tard, la famille de l´enfant informe le principal de l´établissement des accusations dont Bernard fait l´objet. Ce n´est que le 9 juin que le professeur est mis au courant des faits d´agressions sexuelles qui lui sont reprochés. Il demande aussitôt une confrontation avec l´élève, ses proches et le chef d´établissement. « Dans son accusation, l´enfant parle de six témoins présents dans le vestiaire, raconte Alain Hanse. Quand ils ont été interrogés, ils ont tous indiqué qu´il n´y avait eu aucun geste déplacé. Le chef d´établissement avait prévu la confrontation le 9 juin à 16 heures. Les parents de l´élève accusateur ont demandé à ce qu´elle soit différée. Il ne l´a pas présenté comme cela à Bernard puisqu´il a dit qu´elle était annulée. C´est là qu´il lui a confié son intention de saisir le procureur de la République. » L´inspection d´académie est avisée dans l´après-midi et le procureur averti à 17 heures. Bernard Hanse quitte son domicile, achète une arme dans un petit magasin d´Epernay et se tire une balle dans la tête dans son véhicule sur une petite route de la Marne. « Son geste est d´un autre siècle, admet François. Il n´était pas fragile psychologiquement. Il avait des valeurs, il était droit. Quand il a vu que l´administration, en pleine période de lutte contre la pédophilie, ne lui faisait pas confiance, il a cru que sa parole n´aurait pas de valeur et savait qu´il ne ressortirait pas indemne de ces accusations. Nous n´en voulons pas à l´enfant, mais au chef d´établissement, qui a confondu vitesse et précipitation. » Le 11 juin, l´élève accusateur se rend au collège comme si de rien n´était. Ayant appris la mort de leur professeur et sachant déjà qu´il s´agissait de fausses accusations, les autres enfants tentent de le frapper. Deux jours plus tard, l´établissement se met en deuil pour trois jours. Une marche silencieuse est organisée. Les témoignages de sympathie arrivent de toutes parts. Le comité de soutien regroupe vite 800 personnes. La mise en examen de l´enfant est rendue publique le 8 juillet 1997.

Réhabilitation

La procédure contre le mineur, lancée par le parquet, va prendre du temps. Une première instruction se termine par un non-lieu, le procureur de Reims fait appel. Le 23 mai 2001, le tribunal pour enfants relaxe le mineur, car la dénonciation mensongère n´a pas été faite directement à une autorité compétente mais à sa mère. Le 21 juin 2002, la cour d´appel confirme cela, mais, pour les deux frères, l´essentiel est enfin acquis. « Nous ne voulions pas voir le gamin condamné, jurent-ils. Nous voulions juste la réhabilitation publique de Bernard. C´est fait. Il ne reste plus que sa réhabilitation par les institutions et l´Education nationale. » Pour cela, une requête devant le tribunal administratif a été déposée.

http://www.bouclier.org/article/1137.html

Si tu en veux plus tu me le dis, j'e ai des tonnes de copie mon anonyme.

Alain Thomas


[ ]

Subject: 
Plus cynique que ça, tu meurs
Author: 
martin dufresne
Date: 
Wed, 2003-07-02 10:40

"Certasins experts ont même affirmé que les fausses allégations d'abus sexuel sont plus néfaste pour l'enfant qui en est l'objet que ne l'auraient été les abus sexuels s'il les avaient subis"

Tiens, voici les soi-disant experts auxquels on fait discrètement allusion dans un ramassis de sous-entendus et d'allégations sans fondement en appui aux hommes accusés par leurs victims et les mères. Pour quiconque doutait encore qu'on fait face au lobby des agresseurs sexistes. Je vous prie d'imaginer la situation des femmes et des enfants qui vivent dans l'isolement ce genre de harcèlement par une organisation masculiniste à laquelle leur CLSC a référé leur agresseur. Cela se passe de plus en plus, hélas.

Pour qui cherche les racines de cette propagande pelletée anonymement sur le site du CMAQ, voici un article d'information publié par Newsday à l'occasion du suicide de Richard P. Gardner, l'inventeur et propagandiste en chef de la thèse négationniste à laquelle "Anonyme" fait allusion:

***********************************
Parental Alienation -- A Controversial Theory
Psychiatrist Richard A. Gardner's theory - used by parents in child custody
battles - gained prominence. And critics.

Small Justice: Little Justice In America's Family Courts, a video by Garland
Waller
Winner at the Key West Indie Film Festival
Best Social Documentary at the New York International Independent Film and
Video Festival

By Jamie Talan
Staff Writer

July 1, 2003

In life, Richard A. Gardner was known for single-handedly devising a
psychiatric syndrome that became widely used in courtrooms by parents
battling over child custody.

Gardner died in May, and only time can determine his legacy -- whether the
label he created, parental alienation syndrome, can withstand critics now
that he can no longer defend it.

Most mental health professionals have an opinion about Gardner's creation --
and it's not generally flattering.

"This is junk science," said Dr. Paul Fink, a professor of psychiatry at
Temple University School of Medicine and a past president of the American
Psychiatric Association in Arlington, Va. "He invented a concept and talked
as if it were proven science. It's not."

Gardner developed the syndrome, known as PAS, almost 20 years ago,
contending that a child has been alienated from one parent -- usually the
father -- when the other parent makes charges of sexual, physical or
emotional abuse. PAS appears to be used only in custody battles during
divorces.

Gardner's online biography says he testified in about 400 cases in 25
states. Psychologists and psychiatrists who trained under him or embraced
his theory also have offered testimony in such cases.

Most often, it is a father who hired Gardner or another psychiatrist in
response to the mother's allegations that their child or children had been
abused, Fink said. The psychiatrist then would label the mother a "parental
alienator" and urge the court to prevent her from being with the children --
the ones diagnosed with PAS.

But most mental health professionals say the label doesn't meet the
definition of a psychiatric illness.

It's not found in psychiatric textbooks on diagnoses. In the late 1980s,
when psychiatrists were revising the profession's Diagnostic and Statistical
Manual, Dr. Robert Spitzer, who was leading the effort and is a professor of
psychiatry at Columbia University College of Physicians and Surgeons in
Manhattan, said Gardner, also affiliated with Columbia, asked whether PAS
could be included.

"It would never be taken seriously in DSM," Spitzer said in an interview.
"It isn't a mental disorder."

Dr. David Shaffer, chief of child and adolescent psychiatry at Columbia,
said that the controversy triggered several in-house reviews of Gardner's
ideas. (Gardner had a nonpaid clinical appointment on Columbia's voluntary
faculty.)

Reviews found he "didn't do formal research."

Nevertheless, he defended Gardner's right to create a syndrome.

"Most of medicine is not based on formal research but clinical observation,"
he said. He saw Gardner as a "contrarian ... he liked getting a rise out of
people."

Fink said the practical effect of introducing Gardner's theory in custody
cases is that the issues of abuse are pushed aside.

Harvard's Dr. Eli Newberger, an assistant professor of pediatrics and an
expert on child abuse, said he's been called on by state child protection
agencies to evaluate ambiguous disclosures of abuse in divorce cases and
believes that PAS deflects any real investigation into such allegations.

At the center of the storm, Newberger said, is Gardner and his theory.

"This is an atrocious theory with no science to back it up," he said. "This
so-called diagnosis has been used to steer clear of the children's needs."

"There are lots of people who alienate their partners during a divorce,"
Fink said. "But it is not a syndrome, a disease or a disorder."

Joyanna Silberg, a Baltimore psychologist and strong opponent of the theory,
said that Gardner used a questionnaire to determine whether a parent fit the
profile of a sex offender -- then used the results to show that allegations
of child abuse are lies.

But the questionnaire is "far from valid," said Massachusetts child sex
abuse expert Robert Prentky of the nonprofit Justice Resource Institute in
Bridgewater, Mass. Scales that Prentky has developed to diagnose sex
offenders have been tested and accepted by the profession. "There is no
science to back up Gardner's tests," he said.

Gardner, who was 72 at his death, trained in the heyday of psychoanalysis in
New York, the late 1950s and early '60s. He then served a two-year stint in
the Army as director of child psychiatry for a U.S. Army Hospital in
Germany, and subsequently settled in Cresskill, N.J., where he began
testifying in child custody cases, according to an entry on his Web site:
"Qualifications for providing court testimony."

That he wrote a popular children's book on divorce in 1969, followed by a
book for parents, helped bolster his role in custody cases.

According to Donna LaTourett, Gardner's editor at his own publishing
company, Creative Therapeutics, by the 1980s he noticed that more children
were having "strong objections over one parent for no good reasons." He
coined the term PAS in 1985 and listed eight primary signs and symptoms.

In 1992, he self-published a book about the syndrome. Fathers' groups
heralded his work. Women's organizations bashed it. After a period of
observation, professional mental health organizations tried to discredit it.

Gardner had a growing group of followers and clients, mostly men. He
promoted his theory around the world and built a practice as a
court-appointed psychiatric evaluator and paid expert witness. Detractors
say he also used his affiliation with Columbia to bolster his status.

There are no statistics on how many children have been characterized as
having PAS.

"I do believe that there is a phenomenon of children who turn against the
parent for no good reason," said Richard Warshak, a clinical professor of
psychology at the University of Texas Southwestern Medical Center. "Children
are influenced by their parents."

He is a proponent of Gardner's theory and says that his death won't stop the
controversial diagnosis. He agreed that use of "syndrome" may "strengthen
confidence in the expert's testimony and the validity of it" and said mental
health professionals are trying to shorten the term to "parental
alienation."

"Yes, he said things that were very provocative," said Warshak, author of
"Divorce Poison: Protecting the Parent-Child Bond from a Vindictive Ex"
(Regan Books). "Some of the stuff is outrageous, speculative and outright
contrary to the evidence."

But the court's acceptance of the diagnosis without the psychiatric
profession's endorsement is "dangerous," Newberger stressed.

During a hearing in Nassau County in 2000, Gardner was called to testify
about PAS. According to the transcript of the hearing -- called to evaluate
scientific evidence supporting the theory -- Gardner offered this definition
of PAS: "The programming of the child by one parent into a campaign of
denigration directed against the other."

"Courts cannot wait the 25 years or more that it would take to conduct such
studies [to validate a syndrome]," Gardner told the court. "... Neither can
people who have been accused of sex abuse wait for these results."

The court ruled that there was not convincing scientific evidence that PAS
was a psychiatric syndrome.

But it has endured -- perhaps, said Silberg, the psychologist in Baltimore,
because it is rare in family courts for lawyers or judges "to question the
expert testimony of a psychiatrist with a long list of seemingly impressive
credentials and dozens of professional-looking books and journal articles."

PAS "is a defense lawyer's dream," said Richard Ducote, a New Orleans, La.,
lawyer who has spent a decade fighting Gardner and his supporters in court.

Last year, Norma Perez of Elgin, Ill., was suing for divorce and testified
that she worried that her husband's history of alcoholism might endanger the
welfare of her daughter during visits. Her husband's attorneys began to talk
about parental alienation syndrome and hired Gardner, who eventually
testified that the mother was a parental alienator.

"He never interviewed me or my daughter," said Perez, 44, who lost custody
of her daughter and was not permitted to see her for eight weeks after the
judge's ruling. She now gets to see her daughter every other weekend. Her
lawyers have appealed the decision.

But fathers' rights activists see Gardner's theory as a boon.

"Richard Gardner gave science to the anecdotes of alienation," said Warren
Farrell, author of "Father and Child Reunion" and a board member of the
National Congress for Fathers and Children. He says that PAS "is an attempt
to distinguish between false accusations and real abuse."

Farrell added that parental alienation itself is "probably the most
insidious form of child abuse" and charged that many women allege abuse
during a custody battle to curtail visitation with the father.

But others say that in many of these cases there are confirmed reports to
back up the allegations of abuse. However, so many women have lost custody
battles when PAS is used that lawyers are beginning to advise them not to
make allegations of abuse, Silberg said.

Gardner's son, Andrew, said that his father's death came when he was at the
height of his career, when he "had to turn down case after case."

His father had undergone three foot surgeries, the last of which triggered a
disorder called reflex sympathetic dystrophy, which caused sharp pain in his
legs. He was taking pain medications, Andrew Gardner said.

On the last weekend in May, his pain out of control, Gardner took an
overdose to end his life. He sent an e-mail to his office about the suicide.

But he awoke from the drug stupor and killed himself with a knife, said his
son, who added that the suicide had no connection to his father's work.

But that work -- and that syndrome -- has left hundreds of women questioning
its value.

"We are exhausted," said Lauren Smith, a 52-year-old who lost custody of her
daughter in 1993. She told the court that her husband, Marshall Krause, a
criminal attorney in Marin County in California, had a violent temper. He
used PAS to gain custody of their daughter, Alanna, and Smith was denied
visitation. In 1995, according to court records, a teacher reported to
police that Krause physically abused Alanna at school. A court reversed
custody upon evidence that Alanna's father had been physically violent.

Alanna, now a student at Northwestern University, has filed a
multimillion-dollar lawsuit alleging that she suffered years of abuse at the
hands of her father.

Idelle Clarke knows firsthand how damaging an untested theory can be. "Our
children are his legacy," said Clarke, a Californian whose ex-husband was
twice identified and charged as a child abuser by Children and Family
Services. But Clarke was characterized as an alienator and lost custody to
the father.

"What's a child to think?" she asked. "I will not give up."

The PAS label "has lived a lot longer than the data that supports it," added
Alan Scheflin, a professor at Santa Clara University Law School. "I expect
people to come up with crack-pot theories. "But then I expect scientists to
do their jobs."

*********************************************

L'irresponsabilité des administrateurs du CMAQ à héberger de tels textes sur son site est un scandale.

Martin Dufresne


[ ]

Subject: 
c'est facile attaquer les admin en martin?
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 12:37

le lobby des femmes frappent fort n'est-ce pas??

bravo mon gars detruit le cmaq parce qu'il y a une débat que tu n'aimes pas


[ ]

Subject: 
facile a dicréditer gardner
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 12:43

pourtant la personne qui le discrédite a été discréditer aussi

c'est tu pas beau ca Martin?

Faut laisser le droit au femme de pouvoir accusé a tort et a travers le hommes c'est bien ca??

les enfants ne souffrent pas de ca?

la haine des femmes est bonne pour l'enfant??

p.s. nie que les femmes sont plus rancuniere que les hommes pour le fun

Dominic


[ ]

Subject: 
pauvre martin
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 13:11

je pense qu'avec moi Seb Fred mr thomas et Kraepelin le débat a monter d'une coche

On est dans les ligues majeures la

et toi en pro de ligue mineure tu commence a te sentir menacer

alors on appel a la censure

Bravo bonne idée faute d'Argument on tais le débat

c'est triste godwin law ca marche pas ici

Salut mon Martin au plaisir de pouvoir te lire a nouveau

Dominic


[ ]

Subject: 
Monsieur, Je suis sensible
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 10:55

Monsieur,

Je suis sensible au problème que vous soulevez, mais il faut le remettre dans son contexte. Considérons trois points :

D'abord, il faut dire que les allégations (vraies ou fausses) d'abus ou de violence ne surviennent que dans assez peu de cas de divorce (entre 2 et 4%). Dans les régions où il y a "épidémie", ce nombre ne dépasse pas 10%. Ensuite, les allégations ne sont pas toujours le fait des mères. Il arrive que des pères accusent la mère d'abus ou de négligence. Finalement, il faut tenir compte du fait que les allégations de violence ou d'abus semblent fonder dans plus de la moitié des cas.

Dans les limites de ces trois points, je partage votre opinion à l'effet que les fausses allégations existent et méritent un changement de politique. L'impunité actuelle est inacceptable. Vous avez soulevé trois conséquences graves d'une fausse allégation : stigmate social pour l'accusé, stigmate pour l'enfant et alourdissement de la charge de la DPJ. J'ajouterais une autre conséquence, à mon avis, bien pire. L'existence de fausses allégations oblige les intervenants sociaux et juridiques à être prudent. Si cette prudence protège un peu les hommes et les femmes victimes de fausses allégations, elle retarde également l'intervention auprès des acteurs de violence et d'abus réels.

Je ne partage pas cependant, l'opinion de ceux qui voudraient que la mise à jour d'une fausse allégation devienne une condition pour la perte automatique de la garde de l'enfant par l'accusateur. Ce serait trop simple. Il ne suffit pas d'avoir été faussement accusé de quelque chose pour devenir soudainement un bon parent. Le temps parental doit être partagé à part égales chaque fois que cela est possible et, en cas de conflit, l'enfant doit être confié prioritairement au parent le plus apte en tenant compte de tout le tableau des compétences parentales. Je conviens toutefois avec vous qu'un parent qui formule de fausses allégations s'inscrit dans une dynamique de SAP qui menace le développement de l'enfant.

Je corrige finalement votre affirmation à l'effet qu'il est pire pour un enfant de voir son père faussement accusé d'abus sexuel que d'être la victime réellement d'abus sexuel de sa part. Vous sembler confondre deux choses. Il est vrai que des cliniciens ont remarqué que, dans une expérience d'abus sexuel d'un enfant par un adulte, il y a deux traumatismes : L'abus lui-même et les conséquences sociales et familiales de la révélation de l'abus. Il est également vrai que dans certaines circonstances l'enfant semble plus traumatisé par les conséquences que par l'abus lui-même. Cette observation ne constitue pas un effort pour minimiser la gravité de cet acte criminel. Au contraire, la plupart des cliniciens travaillant avec des enfants seraient plutôt partisans d'un alourdissement des peines contre les coupables. Cette observation est plutôt une mise en garde contre le tapage que l'on fait autour de la jeune victime. Dans un cas d'abus, l'enfant est déjà sujet à un traumatisme. N'en rajoutons pas par excès de zèle contre le coupable. Protégeons d'abord l'enfant et réglons ensuite discrètement nos comptes avec le coupable. Je propose 6 ans pour un première offence et la perpétuité pour un cas de récidive. Et vous?

Kraepelin


[ ]

Subject: 
martin dufresne
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 11:30

GOGOGOGOGOGGadgetgogogogoGADGETgogogogooggoogogogo Les hommes tous des abuseurs GGNOUNGOUGRANGRANmaaaaaannnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn
LA DROITE tous des pas bons gneugneugneugneugneugneugneugn
Moi MARTIN DUFRESNE je détiens la VÉRITÉ gggnoungoungougnargnmargnargnarngnareugneugneugnegneugagagaggagagagaagles femmes toutes des saintes les hommes des pourris gagagaggogogugougoguogugougoguggneugneugnguragrangrangranggrangrangnagnagnagnagnagnagnagna tous DES Propagandiste ET négationniste GNOUgneugneugrangrangrangnagnagnagnagnagnmagnagnagnb
gnanagnagnagnagnagnpoutpouetpouet ressac raciste gnagnagngogogogogogogogoogogoggogogogogogogogogogopouetpouetpouetogogogogogogoggogagagagagaggneugneugneugneugneugneugneupoueeettte
je réclame son retrait immédiat gnagnagnagnagnogogogogogogo
LIBERTÉ D'EXPRESSION pas pour les méchants masculinistesgnagnagnagnagnagnagnagnaagnagngoguoguogugneugneugneugnbeugneumouuuuuuuuuuuuuuuuumoumoumoummmmmmmmmmaaaaaaaaaaaaaaaaammmmmm
gragragragragraggneugneugneugneugneu des victoires pour la Droite gnagnagna neugrangeugrana PATRIARCAT gneugrangeugranagneugrangeugran agneugrangeugranagneugrangeugrana hommes méchants gneugrangeugrana
Ganagnaggeggueueuueganagnag Les maculinistes sont tombés bien bas
gneugrangeugrana 2384834763 femmes et enfants victimes des hommes
gneugrangeugranagneugrangeugrana des nazis je vous dis gneugrangeugranagneugrangeugrana maintenant ils voient Martin dans leur soupe gneugneunguenguenguenguene2 hot dogs all dress gneugrangeugrana ils n'ont tellement pas d'arguments qu'ils sont obliger de produire des imbécilités du genre..
gneugrangeugrana mon stock est trop fort neugrangeugranagneu
Vous faites pitiés, on dirais un cour d'école secondaire!!
gragragneugeunguengargragragragrangeugrana c'est la faute à mon père gneugrangeugranagneugrangeugranagneugrangeugrana
CMAQ tous des irresponsables gnagnagnagnagnagnagnagnaganganganagan


[ ]

Subject: 
Oui, mais...
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 13:11

D'abord, félicitation pour le ton civilisé que vous avez adopté. J'apprécie.
Ensuite vos objections.

Le premier: Qu'importe ni le sexe du plaignant ni sa fréquence. Les fausses allégations, quand bien même elles seraient rares et toujours portées contre les femmes, il faudrait faire quelque-chose. Le fait demeure que les femmes sont exemptées de poursuites lorsqu'elles ont commis de fausses allégations et qu'il est démontré que les allégations étaient fausses. C'est inaceptable.

En ce qui concerne les conséquences d'un abus sexuel, je ne propose pas, vous l'aviez compris, qu'on en minimise l'importance. Je ne fait que soulever le voile sur les conséquences des fausses allégations pour l'enfant. Qu'importe qu'elles soient plus ou moins importantes qu'un crime concurrent, là n'est pas la question. La question est que ces conséquences ne sont pas inexistantes alors que les sanctions le sont.

Devrait-on accordé la garde au parent faussement accusé? Ce serait absurde d'utiliser la garde de l'enfant comme d'une punition pour le parent fautif et une récompense pour le parent lésé. Dans ce cas-ci c'est l'intérêt de l'enfant qui est en cause.

En ce qui concerne la garde partagée, j'ai des réserves car les conditions qui la rendent possible sont exceptionelles. Je coisirais plutôt que les parents continue d epartager les responsabilités parentales et qu'ils négocient ensemble les modalités d'exercice de leur parentalité après la rupture et les compensations financières qu'elle induit.

Quant à détermner la paine, je suis mal placé pour en juger puisque je n'ai aucune notion de droit familial.

Allez, merci encore. Je propose de continuer cette conversation. C'est intéressant.


[ ]

Subject: 
bonjour cher anonyme
Author: 
Anonyme
Date: 
Wed, 2003-07-02 13:21

content de voir que quelque personne ne se laisse pas avoir par le discours comme celui que l'homme est violent et que la femme doit garder tout ses avantages

Genre de parole scandée maintes et maintes fois par un Martin dufresne

dans les lectures etr ceux qui défendent ces propos voyez-vous de quoi de misogyne?

Eux : gens du cmaq et de la gang a Martin vois ca comme un attaque contre la femme

voir la nouvelle proposition du cmaq :
https://cmaq.net/fr/node/12509


[ ]

Subject: 
Je me suis relu et je suis en désaccord avec moi-même
Author: 
Anonyme
Date: 
Fri, 2003-07-04 00:34

Si l'un des parents, disons le parent gardine, qu'importe lequel, s'est rendu coupable d'aliénation parental, comte tenu que l'aliénation parentale est une forme de maltraitance (child abuse), est-ce que le parent coupable ne devrait pas perdre la garde de son enfant au même titre qu'un parent abuseur qui aurait tripoté son enfant? C'est une vraie quastion à laquelle j'aimerais avoir de vraies réponses,

Yves


[ ]

Subject: 
Je ne suis pas un expert. Je
Author: 
Anonyme
Date: 
Fri, 2003-07-04 11:04

Je ne suis pas un expert. Je vous donne une opinion qui vaut bien celle d'un chauffeur de taxi.

Je crois que vous avez raison de dire que les fausses allégations sont une forme de mauvais traitement contre l'enfant. Un juge devrait en tenir compte dans un jugement de garde. Mais la vie n'est pas toujours simple. Un parent aliénateur n'est pas nécessairement un monstre et un parent victime d'aliénation n'est pas nécessairement un parent compétent. Il faut juger en fonction de toute l'information sur la compétence parentale, pas seulement sur un acte isolé, aussi ignoble qu'il puisse nous apparaître.

Kraepelin

(Je part en vacance pour deux semaines. Bonne chance avec le CMAQ)


[ ]

CMAQ: Vie associative


Quebec City collective: no longer exist.

Get involved !

 

Ceci est un média alternatif de publication ouverte. Le collectif CMAQ, qui gère la validation des contributions sur le Indymedia-Québec, n'endosse aucunement les propos et ne juge pas de la véracité des informations. Ce sont les commentaires des Internautes, comme vous, qui servent à évaluer la qualité de l'information. Nous avons néanmoins une Politique éditoriale , qui essentiellement demande que les contributions portent sur une question d'émancipation et ne proviennent pas de médias commerciaux.

This is an alternative media using open publishing. The CMAQ collective, who validates the posts submitted on the Indymedia-Quebec, does not endorse in any way the opinions and statements and does not judge if the information is correct or true. The quality of the information is evaluated by the comments from Internet surfers, like yourself. We nonetheless have an Editorial Policy , which essentially requires that posts be related to questions of emancipation and does not come from a commercial media.