La langue française est un organisme vivant qui évolue au rythme de la réédition annuelle des dictionnaires. Souvent, les expressions utilisées pour exprimer la misandrie du locuteur n'ont pas d'équivalent pour exprimer une misogynie symétrique qui ne serait pas acceptable. Regardons-y de plus près car dans la mise en parallèle de deux expressions équivalente, celle qui pourrait nous paraitre acceptable est souvent discrédité par son équivalent masculin.
Phallocratie: le terme désigne l’état d’une société où les hommes exercent la domination sur les femmes. Il est apparu en 1965 et n’est presque plus utilisé à notre époque que par les intégristes lorsqu’elles présentent une demande de subvention.
Vaginocratie: Le terme désigne l’état d’une société où les femmes exercent la domination sur les hommes. Il est la réponse au vocable « phallocrate » dont les hommes ont longtemps été traités par celles qui estimaient qu’ils s’accordaient trop de privilèges. Jugées irrespectueuses, cette expression est rarement utilisée en présences des dames qu’elles pourraient offenser.
Male chauvinist pig: Stéréotype sexiste. Expression vieillie qui était utilisée vers 1980 comme insulte pour reprocher aux hommes en général la condescendance dont certains étaient soupçonnés d’être coupables à l'égard des femmes en général. Le lecteur qui comprend mal pourquoi l’expression est offensante trouverait-il acceptable qu’on traite de truie un femme qui fait preuve de chauvinisme envers les hommes?
Machisme: Idéologie selon laquelle l'homme domine socialement la femme et a droit à des privilèges de maître; comportement conforme à cette idéologie. Il n'existe pas de mot pour désigner l'idéologie selon laquelle la femme domine socialement l'homme et a droit à des privilèges de maître. N'est-ce pas étrange? Serait-ce que cette idéologie n’existe pas ou que l'idéologie dominante interdit qu'on la reconnaisse?
Victime: Selon le verbe qui le précède, le mot « victime » prend deux sens totalement différents qu’on fasse la victime ou qu’on soit une victime. Le mot victime prend également un sens différent selon qu’on parle d’un homme ou d’une femme. Le Paradigme de Maria Goretti a la vie dure. Pourquoi est-ce si difficile d’imaginer qu’un homme soit victime de violence physique, de violence psychologique, de menaces, d’humiliation, de contrôle ou de violence sexuelle?
Violence faite aux femmes, Violence faite aux hommes, Violence féminine, Violence masculine: Le 6 décembre 2001, le jour de l’anniversaire de la tragédie de Polytechnique, l’Assemblée Nationale du Québec adoptait une résolution pour s’opposer à la violence faite aux femmes. L’acharnement à ne parler que de la « violence faite aux femmes » servirait-il à masquer l’importance des autres aspect de la violence intra-familiale que constituent la violence dirigée contre les autres membres de la famille? La politique de la tolérance zéro ne s’applique-t-elle qu’à la violence dont un homme se rend coupable? Tous les hommes partagent-ils la responsabilité des actes violents commis par des hommes et toutes les femmes sont-elles collectivement victimes des actes dont certaines sont les victimes? Comment la question de la violence domestique est-elle devenue une question politique? Le fait de nier que la violence dont des hommes sont les victimes est préoccupante n’est-elle pas aussi une forme de violence faite aux hommes et une insupportable manifestation du machisme féminin?
Féminisme: Attitude de ceux qui souhaitent que les droits des femmes soient les mêmes que ceux des hommes. À l’époque, pas tellement lointaine où les droits des femmes n’étaient pas les mêmes que ceux des hommes, la définition du terme était claire. Aujourd’hui, elle l’est moins. Est-ce que le féminisme dispose d’une clause de réciprocité? « L’égalité pour les femmes » est-elle une formule destinée à faire sourire? Est-ce l'égalité n'est pas un principe réversible? Si les femmes ont droit à l'égalité des sexes, pourquoi cette égalité serait-elle refusée aux hommes?
Masculinisme: Injure s’adressant à un homme qui refuse de s’excuser d’exister. L'expression est réductrice et toujours employée par des femmes qui cherchent à établir un parallèle entre le féminisme dont la légitimité ne saurait être mise en question et son contraire. Il est probable que notre vocabulaire s'enrichisse prochainement d'une expression idoine.
Parcourez le dictionnaire de la condition masculine dont Lanctôt éditeur a retourné le maniscrit sous prétexte qu'il serait misogyne. Jugez-en.
Le compte y est. Si aucun de mes textes n'est envoyé au donjon, je repasserai dimanche. Je vous proposerai alors de réfléchir sur la violence domestique et de ne rendre à Adam que ce qui appartient à Adam. C'est prévisible que Carl Desjardins dira qu'il trouve que le texte contrevient à la politique éditoriale du CMAQ. C'est un tic chez lui.
Bonsoir le dérapage! C'est facile de porter des accusations. Encore faut-il être en mesure de les étayer. Je ne vois rien qui puisse insulter qui que ce soit dans cette exploration lexicographique. Dois-je comprendre qu'à la lecture de ce qui précède vous avez été mis en face de vos limites intellectuelles et avez trouvé l'exercice humiliant? C'est à ce point étroit là-dedans? Finalement, la politique éditoriale ne sert pas à grand-chose. Ça me fait penser à un roman de Soljenitsyne. L'Archipel du goulag. Vous connaissez? Probablement pas. Évitez de le lire. Vous le trouvriez "contraire à la politique éditoriale."
que d'attaques faciles, de dénis, de mauvaise foi...
de quoi saper les bonnes volontés et les énergies des bénévoles du CMAQ...
Le CMAQ se veut un lieu d'exercice difficile, celui de la liberté d'expression.
les validateurs sont depuis qq temps confrontés à un cas d'école que personne ne souhaite envisager pour ce qu'il est :
au delà des arguments issus d'une rhétorique fallacieuse (j'eructe et je me retire), d'une pratique oratoire des plus discutable, d'une vision réactionnaire, des individus ont donné l'illusion qu'ils cherchaient à mettre de l'avant un point de vue contesté.
nous avons essayé de mettre de côté nos haut le coeur pour faire la preuve que le dialogue pouvait faire se rejoindre des opinions contraires pour qu'en ressorte un consensus intelligent et constructif.
la mauvaise foi, les abus, les aggressions, les attaques ad hominem, les comportements schizophrènes des tenants du mascunuliste ont réussi à pervertir ce dialogue, à conduire sur des chemins dangereux une pratique respectable et finalement à assassiner le dialogue...
en tant que validatrice, je suis pour l'aveu d'un échec, pour la prise en compte d'une réalité pathétique.
ce que nous avons pris pour une tentative d'analyse rigoureuse d'une situation collective n'est en fait que la longue lamentation douloureusement ridicule et aigrie d'une poignée d'hommes blessés par des expériences que l'on ne peut élever à l'échelle d'arguments universels.
je suis à présent, vaincue par l'absence d'étique et d'autoresponsabilisation, par le manque d'ambition constructive de ce faux dialogue devenu monologues parallèles, pour renvoyer ces messieurs, et leurs consoeurs virtuelles, à leur salle de jeux des gars contents d'eux-même et de leur cyber virilité...
le CMAQ doit retrouver la confiance en une tribune autorégulée de discours pertinents et diversifiés.
Il est des enjeux sérieux qui sont depuis trop longtemps ignorés par les commentartistes que seule semble préoccuper la démolition de tout dialogue respectueux.
Que les gars contents aillent donc s'autoflatter du mérite d'une lutte infantile contre des ennemies fantasmatiques ailleurs que sur le CMAQ.
Que les gars et les filles pas contents de ce que leurs rapports soient rendus difficultueux du fait d'une société encore trop teintée de patriarcat revenchard continuent de dénoncer les abîmes générés par le néo-libéralisme et la moralisation protectionniste d'un débat perverti par la recherche du profit...
fi de la provo gratuite, vive le dialogue libéré de la gange des mascunihilistes déconstructeurs!
j'assume entièrement de réclamer que l'on redessine les frontières de la politique éditoriale et que l'on rapproche les limites de la liberté d'expression au plus près des ambitions originelles du CMAQ.
je refuserai des lors de valider les textes masculinistes et demande à ce que les commentaires obtiennent de la même manière le feu vert de l'équipe éditoriale.
Sonia, femme bien réelle, militante déçue, amèrement consciente que la liberté d'expression n'est pas ce dont elle avait rêvée, mais décidée plus que jamais à poursuivre le projet du CMAQ, à tirer les leçons douloureuses d'une expérience finalement constructive.
Cher monsieur Pageau
Honnêtement quel est le véritable but de vos articles ? Que je ne nommerais pas de nom précis a des textes du genre. Mais plutôt de croire que de détériorer la perception des gens pourrais peut être vous faire plus d adepte a votre site. Connaissez vous la liberté mon cher monsieur. Vos commentaire ou texte quelque peu audacieux ou parfois déplacer pour certaine personne, fond seulement refermer des porte a mon avis.
Je respecte votre choix d avoir un avis tell que le votre mais pourquoi en faire tout un plat. Le cmaq est un lieux ou on peu discuter, sans essayer d être le meilleur ni d un coté ni de l autre. Un peu de respect, de compréhension. Je crois que sa été fait de la par du cmaq pour vos texte mon cher. C est plaisant de discuter d un sujet, mais ça devient lassant (plate!!!) de toujours répéter les même choses, ou des mots et des phrases qui signifie toujours a revenir au point de départ. Vue vos texte mon cher monsieur, je dirais que la limite intellectuel ce trouverais de votre coté, puisque vos préoccupation ne son centrer que sur un seul sujet, en aurez vous fait le tour un de ses jour, pour parler d autre chose car a mon avis nous avons tous compris votre point de vue. Tous d accord ou pas l ont bien perçus.
J aimerais beaucoup que le cmaq reste un lieux de discutions diversifier et pas un champs de bataille. On dirais la guerre des sexe présentement, et je crois quand 2003 les gens son assez évoluer pour comprendre qu il y a des problème des deux coté et qu il faut ce mettre ensemble pour les règler. Légalité mon cher et non l adversité c bien plus constructif de prendre le bâton tous ensemble que d essayer de tirer le plus gros bout sur son bord.
Nath
Je devrai voter -1 pour ce texte uniquement à cause du titre employé, ouvertement mysogine et injurieux. Même si vous cherchiez à illustrer une contre-injure, ça reste une injure, et le titre seul ne peut permettre de comprendre cette illustration. Le reste du texte aurait passé parce que le contexte est plus compréhensible, même s'il est clairement choquant pour un paquet de lecteurs.
En passant, M. Pageau, je croyais que vous feriez cinq soumissions par semaine. Commes elles ont toutes étés disponibles (et commentées) dans la file d'attente, et que celles envoyées au donjon sont toujours lisibles, vous devriez compter toutes les soumissions que vous avez faites.
C'est vrai que le mot "phallocratie" est devenu inusité. C'est maintenant le terme "patriarcat" qui l'a remplacé. Compte tenu que les pères sont facilement évacués de leur famille descendante et que, quand ils ne le sont pas, ils sont menacés de l'être, il est étonnant que la position du père dans sa famille soit devenue un enjeu pour ceux qui pensent discréditer les hommes.
De trop nombreux hommes souffrent de ne plus être en contact avec leur enfant parce que leur ex-conjointe y fait obstacle et seulement des femmes ont droit au titre honni de "chef de famille". Ne serait-ce pas le matriarcat qui serait en question?
L'hostilité unanime cherche à empêcher la conversation sur ces questions et démontre avec éloquence qu'elles menacent l'ordre établi. C'est la forme la plus efficace d'encouragement. L'indifférence serait inquiétante, c'est le méchant qui sort.
Je suis moi-même fils de père monoparental franchement sous le seuil de la peauvreté. De ce fait, je connais bien les distorsions qui existent dans l'aide sociétale offerte aux femme nécessiteuse versus celle, infinitésimale, proposée aux hommes.
Les femmes jouissent, désormais, de plus amples facilités dans certains domaines pour la simple raison qu'elles ont été oprimée si longtemps qu'il est normale qu'elles aient fini par s'affranchir fiévreusement... Comme dit Paul Piché: "Il nous faudrait l'Enfer avant d's'organiser." Les hommes créeront leurs propres recours quand le besoin s'en fera criant... On appelle ça le droit à la recherche du bonheur.
Mais là n'est pas mon propos. Il me semble que votre dernière diatribe manque franchement de rigueur intellectuelle. Vous affirmez, ex cathédra, que de façon générale les termes sont péjoratifs au masculin et doucereux au féminin. Pour appuyer votre thèse vous nous fournissez quelques exemples qui - Coincidence? - sont tous des mots d'invention récentes justement apparus avec l'émancipation féminine.
Or, de facto, dans la majorité des cas c'est l'inverse qui s'applique. Le terme masculin est honorant et son féminin est honteux. Normal puisque notre langue a été façonnée par les "grands noms" de sa littérature: presque tous des hommes.
Pas convaincu? Voici quelques exemples qui vous raviseront... (souvent ces exemples sont pris dans leurs sens anciens)
-Homme publique Vs Femme publique
-Péripatéticien(disciple de Platon) Vs Péripatéticienne (prostituée faisant le trottoir)
-Littérateur Vs Bas-bleu
-Salaud (un peu sale) Vs Salope
-Pédéraste (homosexuel, légèrement péjoratif car contraire à la foi catholique) Vs Lesbienne (De de Lesbos, l'île condamnée ou prospère le péché de luxure jusque dans ses pires basesses)
-Un étalon (pour qualifier l'homme) Vs Une jument (pour qualifier la femme)
-Un Apollon Vs une Vénus
-Érotique Vs Vénérien
-Un sorcier (guérisseur) Vs Une sorcière
Pensez-y, je suis sûr que vous trouverez des dizaines de nouveaux exemples.... Sur ce, je vous invite à revenir sur votre position et admettre que dans la langue française c'est le masculin qui l'emporte.
Un humble serviteur (et non servante) de la justice
J'avais reçu le même courriel de SOS sexisme. C'est le bulletin numéro 22. Tu devrais signer tes textes et mettre la référence des textes dont tu n'es pas l'auteur.
J'ai remarqué que, souvent, tu empruntes les textes et les idées d'autrui. Si ça peut t'aider, sache que je n'en suis pas dupe. Ainsi, le texte que tu as publié dans l'Info-bourg au sujet du livre d'André Gélinas reprend mot à mot de grands passages du texte d'une autre paru dans la Gazette des femmes. Sans doute pensais-tu que personne ne s'en redrait compte. Tu t'es trompé. C'est comme ça que je reconnais les titres dont tu es l'auteur.
En passant, si tu pensais m'insulter en me traitant de manichéen, je pense que tu comprend mal le sens du mot. Venant d'un traducteur, je trouve l'erreur déplorable.
[ ]
Subject:
Juste comme çà pour le manichéisme
Author:
Anonyme
Date:
Thu, 2003-05-29 18:01
Religion ancienne née en Perse du nom de son fondateur, le Babylonien Mani (v.216-277). Pendant plusieurs siècles, elle offrit une alternative puissante au christianisme.
La doctrine fondamentale du manichéisme est sa division dualiste de l'Univers, divisé en royaumes du Bien et du Mal : le royaume de Lumière (esprit), où règne Dieu, et le royaume des Ténèbres (matière), où règne Satan. À l'origine, les deux royaumes étaient complètement séparés, mais à la suite d'une catastrophe, le royaume des Ténèbres envahit le royaume de Lumière ; ils se mélangèrent et entamèrent une lutte perpétuelle. La race humaine est à la fois résultat et microcosme de ce conflit. Le corps humain est matériel, donc mauvais ; mais l'âme humaine est spirituelle, morceau de la Lumière divine, et doit être rachetée de son emprisonnement dans le corps et le Monde. Le chemin de la rédemption passe par la connaissance du royaume de Lumière, communiquée par les prophètes, dont Bouddha et Jésus, et dont Mani est le dernier. Grâce à cette connaissance, l'âme humaine peut vaincre les désirs matériels qui l'emprisonnent et atteindre le royaume divin.
Les manichéens se divisent en deux classes, selon leur degré de perfection spirituelle. Les premiers, qu'on nommait élus, pratiquaient un célibat et un végétarisme rigoureux, s'abstenaient de boire du vin, ne travaillaient pas et prêchaient. Ils étaient assurés d'entrer au royaume de Lumière après leur mort. L'autre classe était constituée d'auditeurs, beaucoup plus nombreux et de niveau spirituel inférieur. Ils avaient droit de se marier (bien que la procréation fût déconseillée), observaient des jeûnes hebdomadaires, et servaient les élus. Ils espéraient renaître dans le corps d'un élu. À la fin des temps, tous les morceaux de Lumière divine devaient être rachetés, le Monde matériel détruit et Lumière et Ténèbres à nouveau séparées pour l'éternité
Juste comme info.
Alain Thomas
[ ]
Subject:
Femme=truie?
Author:
Anonyme
Date:
Thu, 2003-06-05 11:10
Décidémment M pageau vous vous roulez dans l'auge du porc, en abaissant ce que vous baisez à la truie. Je m'interroge sur vos antécédents sexuels maintenant. Dégoûtant!
[ ]
Subject:
EURÉKA !
Author:
Anonyme
Date:
Thu, 2003-07-03 06:25
J'ai trouvé
Martin déteste l'homme parce que traditionnellement, il représentait
l'autorité.
Jusqu'ici rien de trop anormal.
Mais, Martin a surement été maltraité par son papa.
C'est pour ça qu'il travail si fort pour empêcher les pères d'être PAPA.
Il transfère la haine qu'il a de son papa, sur tous les hommes.
Pauvre martin
et pauvres papas qui subissent sa haine
C'est pour ça qu'il invente de fausses stats sur les hommes qui tuent!
Tout le monde et sa soeur sait que sa liste est fausse!
Il attaque tous les hommes!
ESSAYEZ maintenant de lire un article ou commentaire signé martin dufresne sans penser à ça !!! IMPOSSIBLE !!!
nota: il va m'accuser de diffamation,
Mais depuis des années ce mec parle contre les hommes et plus particulièrement contre les papas. ASSEZ c'est assez !!!!!!!!!
Aller voir sur Google c'est ABSOLUMENT INCROYABLE LA HAINE ET LES MENSONGES QU'IL DÉVERSE SUR LES HOMMES ET SURTOUT sur LES PAPAS.
En français et en anglais et ce partout dans le monde:
Journalistes, SVP aidez "aussi" les hommes. Faites-le pour vos fils, frères, pères, et pour vos "chums"
Ceci est un média alternatif de publication ouverte. Le collectif CMAQ, qui gère la validation des contributions sur le Indymedia-Québec, n'endosse aucunement les propos et ne juge pas de la véracité des informations. Ce sont les commentaires des Internautes, comme vous, qui servent à évaluer la qualité de l'information. Nous avons néanmoins une
Politique éditoriale
, qui essentiellement demande que les contributions portent sur une question d'émancipation et ne proviennent pas de médias commerciaux.
This is an alternative media using open publishing. The CMAQ collective, who validates the posts submitted on the Indymedia-Quebec, does not endorse in any way the opinions and statements and does not judge if the information is correct or true. The quality of the information is evaluated by the comments from Internet surfers, like yourself. We nonetheless have an
Editorial Policy
, which essentially requires that posts be related to questions of emancipation and does not come from a commercial media.