Ici et là, on accuse l'auteur du message précédent de diffamation, de désinformation, de mensonge et des plaies d'Égypte. Plairait-il aux accusateurs d'étoffer leurs accusations. J'ai de la difficulté à comprendre la nature des péchés dont on l'accuse. Je comprend que ses propos dérangent mais qu'ils soient malhonnêtes, ça m'échappe.

Je suis certain qu elle vont venit mettre leur "fion" ici!!!

Coudonc,

Pageau, es-tu consommateur de Polysporin et actionnaire de PFIZER pour en faire la promotion sur le CMAQ?

Personne, même sous le couvert de l'anomymat n'en encore expliqué avec intelligence ce que le point de vue de Pageau comporte de répréhensible. On l'accuse, l'insulte et le discrédite sans jamais expliquer les raisons du discrédit qui s'abat sur lui. On lui a reproché la fréquence de ses contributions et il a accepté de la réduire.

Je pense que ses propos dérangent tout simplement parce qu'ils sollicitent les synapses du lecteur et si personne encore n'a relevé le gant, c'est sans doute parce que son argumentaire est solide.

"Sortir de la pensée unique" est moins simple qu'il n'y parait. Il faudrait éviter de barrer la route avec des injures insignifiantes.

B.V.

Ben voyons. Voir si Yves Pageau a des actions de Polysporin et se sert du CMAQ pour en faire le publicité. Êtes-vous bouchées au point de ne pas voir qu'il CRITIQUE cette publicité, quitte a confectionner un contre-exemple pour étayer son point? Quelques autres publicités sexistes peu reluisantes pour les hommes qui sévissent présentement sur les ondes:

BMO Banque de Montréal : Le gars demande a la fille si elle peut le financer. Elle comprend "fiancer", toute heureuse de l'expectative. Non, non, répond le gars, "financer", avec un N comme dans "j'ai pas une cenne!"

Pas trop flatteur comme image masculine projetée : un gars qui n'a pas d'argent, donc sûrement un paresseux, qui refuse de s'impliquer dans sa relation avec son amoureuse, mais qui n'hésite pas cependant à lui demander de l'argent, donc à se faire vivre. Pas trop trop élogieux.

Chocolats Hershey : 2 copines discutent entre elles et l'une des filles lit la lettre que son amoureux, loin du nid amoureux, lui a envoyé avoir une barre de chocolat Hershey. "Mon amour, sur cette tablette tu trouveras 24 carrés de chocolat, 1 pour chaque jour avant mon retour..." Les filles commencent à goûter le chocolat, et se mettent à manger plusieurs carrés. L'amie demande à la première fille : "Quand est-ce qu'il revient, chose?"

Je n'ose même pas m'imaginer ce qui arriverait au pauvre type qui oserait appeler sa blonde "chose", mais curieusement, pour un homme, dans cette pub c'est socialement acceptable.

Et les exemples du genre sont nombreux, il suffit de regarder un peu la télé.

Pour ce qui est du commentaire de M-J Brissette, comment peux-tu dire qu'il écrit de la marde si justement tu ne prends même pas la peine de lire ce qu'il écrit? Sur quoi bases-tu ton jugement?

Je suis cependant d'accord pour dire que le nombre d'articles soumis d'un coup dépasse peut-être un peu les bornes.

Qu'est-ce que tu essais de prouver avec cette anti-pub? Que les hommes sont également "victime" de sexisme? ...

Comme si nous n'étions pas innondés tous les jours de pub plus ou moins sexiste (sexisme dont sont victimes les femmes dans la majorité des cas). Comme si la pub n'était pas un formidable véhicule idéologique de transmission de valeurs?? Comme si l'image de la femme dans la majorité des pubs ne se limitait pas qu'à l'objet sexuel ou à la ménagère-maman?

Et d'ailleurs, si on va un peu plus profond, que nous enseigne cette pub? Que les rôles dans la maison sont bien déterminés et que si une femme sort de son stéréotype de ménagère, c'est donc que "son homme" est un... Oui, elle est d'un goût douteux mais loin de faire la promotion d'un sexisme "anti-homme" dans les faits ELLE RENFORCE LES STÉRÉOTYPES SEXISTES TRADITIONNELS, sous des couverts d'anti-sexisme, en plus!

Nicolas

Peut-être M. Pageau pourrait-il dénoncer ce soi-disant sexisme auprès du publicitaire. Après tout, ce ne sont pas celles et ceux qui luttent pour l'égalité. des hommes et des femmes qui l'ont créée, cette publicité. Pourquoi supposer qu'elles et ils la trouvent drôle et ne trouveraient pas drôle une femme dans le rôle de "fainénante". C'est ce que suppose M. Pageau, et on discute sur ses suppositions. Temps perdu.

Dans le passé, Niquette Delage, la directrice des Normes canadiennes de la publicité a rendu des décisions étonnantes au sujet de publicités sexistes où ce sont des hommes qui sont maltraités. Juste retour des choses, la parodie de la publicité de Polysporin a provoqué une tempête dans l'industrie de la presse féminine.

Un plaisantin dont nous tairons l'identité pour l'instant a fait parvenir la parodie publicitaire aux annonceurs. De nombreuses éditrices ont immédiatement communiqué avec Niquette Delage pour lui manifester leur indignation. Comment se fait-il que les mêmes éditrices aient accepté de diffuser la publicité de Polysporin dans laquelle une femme traite son mari de fainéant? Comme tout ça est embarrassant pour les éditrices, les Normes canadiennes de la publicité, Pfizer, le fabricant de Polysporin, Niquette Delage et l'agence qui avait eu la mauvaise idée de proposer la publicité.

Comment celles qui réclament que l'État les subventionne pour lutter contre le sexisme et qui n'avaient pas réagi se sentent-elles?

http://www.garscontent.com/Sefaineant.htm