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L'industrie du féminisme est anormalement prospère.Hercule Dufferin, Thursday, May 8, 2003 - 18:22
Yves Pageau
L'industrie du féminisme dispose de ressources collosales et n'est soumis à aucune vérification crédible. Jean Charest s'est engagé à ajouter 30 million$ au budget des refuges pour femmes-victimes sans que la demande n'ait été justifiée. Le seul rapport disponible sur l'industrie des refuges indique que moins de 25% des places y sont occupées par des femmes qui ont subi la violence physique de leur conjoint. La Maison Parent-Roback loge dans l'édifice du 110, rue Ste-Thérèse dans le Vieux-Montréal, à quelques pas du Palais de Justice. Tous les occupants de l'édifice sont des organismes voués à faire la promotion de "l'égalité pour les femmes." On y retrouve... - la Fédération des femmes du Québec, L'accès à l'édifice surnommé la forteresse est limité par un système télécommandé muni de caméras. La clôture barbelée qui la surplombe est strictement décorative. Elle souligne le secret qui entoure les activités qui s'y déroulent et l'état de siège dans lequel les femmes se considèrent. Qui est propriétaire de l'édifice? D'où proviennent les fonds qui l'ont financé? Pourquoi est-ce impossible d'obtenir du financement pour les organismes qui offrent des services aux hommes alors que les organismes féminins, de toute évidence ne manquent de rien? Pourquoi, à chaque fois qu'on ose poser la question les hommes se font-ils répondre qu'ils sont des anti-féministes réactionnaires? Pourquoi, pendant la campagne électorale, Jean Charest s'est-il engagé à verser 30 million$ supplémentaires au Regroupement provincial...? Combien de maisons d'hébergement y a-t-il au Québec? Quelle est la différence profonde entre le Regroupement provincial des maisons d'hébergement... et la Fédération des ressources d'hébergement? À combien s'élève la somme des subventions auxquelles les deux organismes ont droit? Personne n'est en mesure de répondre à ces questions et le seul rapport jamais produit sur l'industrie des refuges pour femmes-victimes l'a été par le regroupement provincial... et il comporte une erreur comptable importante. Le rapport en question indique que moins de 25% des places dans les refuges sont occupées par des femmes qui ont subi la violence physique de leur conjoint. Nous avons obtenu la preuve qu'au moins une fois, une intervenante avait incité une pensionnaire à porter de fausses allégations de violence conjugale contre son conjoint dans le but de la placer dans une position avantageuse devant le tribunal de la famille. De plus, lors d'une entrevue qu'elle accordait en juillet 2002 à Christine Limoges de Radio-Canada, Louise Riendeau., la présidente du Regroupement provincial... demandait que les pères soient interdits de contact avec leur enfant afin d'assurer la sécurité de leur ex-conjointe. Une telle prise de position qui n'est pas de la compétence de madame Riendeau laisse entrevoir une attitude foncièrement hostile envers les hommes. Une enquête s'impose.
À cette adresse: le rapport du Regroupement provincial... au sujet de l'industrie des refuges pour femmes-victimes. Remarquez l'
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