La hausse indue du prix des loyers: vraiment avantageuse pour les propriétaires?

Tous les états de la crise ne sont là que pour masquer la duplicité de ceux qui profitent tout en prétendant aider, pour augmenter les profits de quelques propriétaires d'entreprises qui n’ont cure de la santé physique ou psychologique d’autrui. Fausse crise économique pour augmenter les prix du pétrole ou pire, favoriser l’exportation de matières premières, comme le bois, qui feront travailler des gens dans le tiers-monde pour leur transformation, bien sûr, mais à bas prix, tout en permettant de hausser les prix localement, comme c’est le cas pour le bois d’oeuvre transformé comme les meubles. Fausse crise dans le réseau de santé Québécois, qui à un écho dans tous les pays d’Europe d’ailleurs, pour pouvoir prélever toujours et toujours plus dans les impôts des contribuables en créant un état de manque artificiel. Fausse crise énergétique, qui permet de vendre pour une bouchée de pain toutes les rivières et toutes les forêts québécoises à des exportateurs. Fausse crise de pénurie d’eau au Québec, dans le pays où il y a le plus d’eau douce au monde, pour pouvoir nous vendre de l’eau embouteillée.
Fausse crise du logement qui déstabilise la population , ce qui permet à quelques propriétaires véreux(et inconscients comme nous le verrons plus tard) de hausser les prix des loyers d’une manière vertigineuse, au dépend de la santé, de la vie même des locataires, qui même si il est vrai, se foutent éperdument de la cause économique du propriétaire, ont tout de même le droit à une vie décente. Les intérêts des propriétaires, qui n’ont aucune raison visible autre que morale pour baisser le prix des loyers, étant considérés par le gouvernement immoral** comme des travailleurs autonomes pouvant déduire leurs dépenses de leur profit brut(paient moins d’impôts proportionnellement aux autres travailleurs), croisent le fer de ceux des locataires, dans un affrontement qui n’a non seulement aucune raison d’être, mais qui en outre, grève lourdement l’économie. Des travailleurs qui n’ont plus d’argent pour acheter autre chose que de la nourriture, sont l’équivalent pour les autres travailleurs des assistés sociaux dont ils ont tous la charge. Pourquoi ? Parce que d’une part, l’état de crise médiatique généré par l’augmentation du travail au noir et du crime organisé amène une hausse des impôts, la police, les gardiens de prisons, les tribunaux voulant être mieux payés, et de d’autre part, la population tombe malade. Par exemple : une personne qui n’a pas le moyen de se payer le dentiste mange mal, et tombe malade. Les vieillards ne sont souvent malades d’ailleurs qu’à cause de l’état de leurs dents, ce qui appauvrit leur alimentation en produit frais au profit d’une alimentation en produit mous, comme le pain blanc, peu nutritif. Ils finissent à l’hôpital, et les médecins veulent être mieux payés, à même nos impôts !--Vous pouvez vérifier par vous-même qu'il y a effectivement augmentation de la consommation de pain blanc dans les supermarchés,comme IGA, Provigo, Métro, où il devient de plus en plus difficile de se trouver du pain ferme de blé entier. C'est... anormal, d'autant plus que le prix des produits non-transformé, comme le pain brun, est de bien supérieur à celui du pain blanc, farine dénaturée.
Dans ces conditions, il n’y a presqu’aucun espoir pour les petits et les moyens commerçants de rentabiliser leur commerce au–delà de deux ans, car ils perdent leurs clients au profits des grosses entreprises qui peuvent acheter en gros(-cher), celles qui achètent des produits imparfaits(fin de séries), achètent de la marchandise usagée, importée de Chine ou encore la volent à des donateurs généreux sous le titre d'organisme de charité(portant les noms de tous les organes du corps), avant de la revendre moins cher qu'eux(ex.: magazins à 1$, Le village des valeurs, etc.). Si les petits commercants perdent leurs plumes, les centres d’achat perdent leurs petits commerces les uns après les autres : entre temps, seul le gouvernement aura empoché l'argent dû aux droits d'affaire des uns et des autres. La grosse magouille quoi! D'où la rareté croissante des petites boutiques indépendantes. Contre cette tendance, même la bonne volonté d’encourager les gens d’ici et la débrouillardise des entrepreneurs n’y peut rien. Ou bien tu finis en prison, ou bien à l’hôpital.
On dirait carrément qu’il y a consensus entre les médias, certains propriétaires et les grandes entreprises pour éliminer la concurrence de ces dernières, en maintenant la plupart des gens dans une pauvreté qui ne leur permet que de survivre.Comme en témoigne le fait que les journalistes, tout en affirmant qu'il y a une "crise du logement" à Montréal, ne parlent jamais de Verdun sur l'île de Montréal, où on peut obtenir un 1 1/2 pour 300$, chauffé éclairé, meublé etc.!, ce qui est plus qu'abordable ici au Québec. Il s'agit bel et bien d'une crise du logement médiatique... puisqu'on peut s'attendre, dans toute ville, à ce qu'il y ait des quartiers de riches et des quartiers moins riches !

Mais si les gens s'attendent à payer plus cher, ils est normal qu'il soit tentant, pour l'ensemble des propriétaires, de hausser les prix des loyers, ce qui se produira, tôt ou tard, car les propriétaires ont affaire à une clientèle déstabilisée psychologiquement et incapable de marchander les prix à cause de la désinformation médiatique. De fait, de plus en plus de propriétaires augmentent les prix de leurs loyers.

Le Québec est un petit coin de pays atteint d’une maladie mortelle : celle d’une pauvreté généralisée, qui tôt ou tard, remontera dans la gorge des propriétaires, qui perdront leurs clients qui vont soit aller vivre en masse dans la rue, dans des communes aménagées à même les immeubles désaffectés, ou encore, cesseront de payer faute de moyens! La police sera débordée, et ne pourra plus contrôler l'hémorragie. Autre avantage à réduire son «appétit» chez les propriétaires : ces faux riches ne seront jamais assez fortunés pour pouvoir éviter de se faire voler, et pourquoi pas, tuer par des plus pauvres qu’eux… On est pas dans un téléroman de Dallas ici !
(rires préenregistrés)

**Le gouvernement provincial québécois offre une prime de compensation aux ménages(jusqu'à 500$) pour les aider à compenser la hausse du prix des loyers... à même les impôts des contribuables!