La presse bourgeoise turque, un véritable ramassis d'intox dictées par la police.

Date: Le 16 mai 2002 Communiqué: 254

Encore une nouvelle de "bombe vivante"...
Attendez-vous maintenant à des perquisitions et des complots!

Le 15 mai dernier, les bulletins télévisés ont lancé l’alerte de « trois bombes vivantes du DHKP-C ». A la lecture du communiqué de police, c’était la panique dans les studios. Celle-ci venait d’annoncer une info exclusive (!). Selon elle, à tout moment, un attentat pouvait se produire. Les bombes vivantes seraient du DHKP-C. Vous savez, la fameuse organisation listée par l’Union européenne parmi les "organisations terroristes "!
Ce jour-là, soit c’est la même personne qui a rédigé l’information pour chaque journal télévisé, soit toutes les agences de presse et les services d’informations ont reçu une directive qui leur sommait de préciser que le DHKP-C avait été inclus dans cette liste de l’UE. Le quantième mensonge est-ce donc?
A ce sujet, nous avons déjà publié plusieurs démentis. Souvenez-vous en ou consultez vos archives. A chaque fois, il a été prouvé que la police a menti pour procéder à des rafles en toute légitimité.
Quelques exemples des mensonges policiers concernant les bombes vivantes:
Premier mensonge... le13 février 2001, les journaux titraient: “ 10 femmes terroristes ont été identifiées comme s’apprêtant à commettre des attentats suicides.