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Polémique sur la politique et les mouvements sociaux (2eme partie) :Leyla Dakhli de AARRGpatc, Mardi, Janvier 28, 2003 - 01:34
PatCad
Deuxième volet audio d’une série d’intervention lors d’une table de dialogue et de contoverse sur le thème des tensions existantes entre les mouvements sociaux, les partis politiques et les institutions politiques : comment confronter ces questions pour stimuler la démocratie participative. Leyla Dakhli, la représentante du mouvement AARRG (apprentis agitateurs réseautés pour une résistance globale), de France, élabore une critique des sociales-democraties, et explique le désabusement de la nouvelle generation politique. « Ce mouvement (anti-globalisation), il n’est pas né seulement d’une crise économique du système; c’est effectivement, par essence, une crise politique. Les accords de libre-échange, toutes les réglementations internationales ont tendance a être vu comme des problèmes économiques, et je pense que ça a produit, en particulier dans la sociale-démocratie, une politique de l’impuissance. Alors à quoi ca sert de voter pour des gens qui vous diront ensuite qu’ils ne peuvent rien faire. Mais il y a autres chose. Il y a le fait que les partis politiques eux-mêmes, et même ceux qu’on peut considérer comme faisant partie du mouvement, qui sont autour de moi, eux-mêmes gardent des formes d’organisation dans lesquelles les représentant de cette nouvelle génération politique ne se reconnaissent plus. » Ecoutez son analyse et commentez. Le pannel comptait aussi un porte-parole du mouvement des sans terre, le président du Parti des travailleurs, du Brésil, et des représentants des partis communistes du Chili et de l’Italie. Deuxième volet audio d’une série d’intervention lors d’une table de dialogue et de contoverse sur le thème des tensions existantes entre les mouvements sociaux, les partis politiques et les institutions politiques : comment confronter ces questions pour stimuler la démocratie participative. Leyla Dakhli, la représentante du mouvement AARRG (apprentis agitateurs réseautés pour une résistance globale), de France, élabore une critique des sociales-democraties, et explique le désabusement de la nouvelle géneration politique. « Ce mouvement (anti-globalisation), il n’est pas né seulement d’une crise économique du système; c’est effectivement, par essence, une crise politique. Les accords de libre échange, toutes le réglementation internationales ont tendance a être vu comme des problêmes économiques, et je pense que ça a produit, en particulier dans la sociale-démocratie, une politique de l’impuissance. Alors à quoi ca sert de voter pour des gens qui vous diront ensuite qu’ils ne peuvent rien faire. Mais il y a autres chose. Il y a le fait que les partis politiques eux mêmes, et même ceux qu’on peut considérer comme faisant partie du mouvement, qui sont autour de moi, eux mêmes gardent des formes d’organisation dans lesquelles les représentant de cette nouvelle génération politique ne se reconnaissent plus. » Ecoutez son analyse et commentez. Le pannel comptait aussi un porte-parole du Mouvement des Sans-Terre, le président du Parti des travailleurs, du Brésil, et des représentants des partis communistes du Chili et de l’Italie. |
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