Le président du Venezuela Hugo Chavez est revenu dans la nuit de samedi à dimanche au palais de Miraflores à Caracas, sous les vivas de la foule. Il était détenu sur l'île de La Orchila, dans la mer des Caraïbes. Il a affirmé avoir bien été traité.

Paradoxalement, c'est sous la pression populaire que le putchiste Pedro Carmona, le patron des patrons (visiblement soustenu par les Etats-Unis et la Communauté européenne), a donné sa démission. Rappelons que c'est sous une soit-disant pression populaire que Pedro Carmona s'était proclamé Président.

Cuba continuera donc de bénéficier de l'appui essentiel du Vénézuéla et les réformes sociales "bolivariennes" pour diminuer les écarts de richesses devraient aller jusqu'au bout, n'en déplaisent aux riches, aux patrons et aux partisant de l'ultra-libéralisme.

Le président du Venezuela Hugo Chavez est revenu dans la nuit de samedi à dimanche au palais de Miraflores à Caracas, sous les vivas de la foule. Il était détenu sur l'île de La Orchila, dans la mer des Caraïbes. Il a affirmé avoir bien été traité.

Paradoxalement, c'est sous la pression populaire que le putchiste Pedro Carmona, le patron des patrons (visiblement non contesté par les Etats-Unis et la Communauté européenne), a donné sa démission. Rappelons que c'est sous une soit-disant pression populaire que Pedro Carmona s'était proclamé Président.

Cuba continuera donc de bénéficier de l'appui essentiel du Vénézuéla et les réformes sociales "bolivariennes" pour diminuer les écarts de richesses devraient aller jusqu'au bout, n'en déplaisent aux riches, aux patrons et aux partisants de l'ultra-libéralisme.

Le président du Venezuela Hugo Chavez est revenu dans la nuit de samedi à dimanche au palais de Miraflores à Caracas, sous les vivas de la foule. Il était détenu sur l'île de La Orchila, dans la mer des Caraïbes. Il a affirmé avoir bien été traité.

Paradoxalement, c'est sous la pression populaire que le putchiste Pedro Carmona, le patron des patrons (visiblement non contesté par les Etats-Unis et la Communauté européenne), a donné sa démission. Rappelons que c'est sous une soit-disant pression populaire que Pedro Carmona s'était proclamé Président.

Cuba continuera donc de bénéficier de l'appui essentiel du Vénézuéla et les réformes sociales "bolivariennes" pour diminuer les écarts de richesses devraient aller jusqu'au bout, n'en déplaisent aux riches, aux patrons et aux partisants de l'ultra-libéralisme.

Le président vénézuélien et ex-putschiste Hugo Chavez a été forcé de démissionner sous la pression de l'armée, vendredi, avant d'être emprisonné et remplacé par un gouvernement de transition autoproclamé et présidé par le patron des patrons, Pedro Carmona.

Le président vénézuélien et ex-putschiste Hugo Chavez a été forcé de démissionner sous la pression de l'armée, vendredi, avant d'être emprisonné et remplacé par un gouvernement de transition autoproclamé et présidé par le patron des patrons, Pedro Carmona.

Des manifestations populaires contre l'action de Tsahal, parfois dispersées sans ménagement, se sont multipliées dans le monde arabe, du Caire à Tunis en passant par Bahreïn, Amman, et le camp de réfugiés de Djabalia, à Gaza, où 25.000 Palestiniens ont protesté contre la passivité internationale, certains scandant: "Ecoute, Bush, Arafat ne sera pas humilié

Le premier ministre danois Anders Fogh Rasmussen s'en va exhorter les tortionnaires turcs en guerre contre leur population.

Comment distinguer une loi juste d'une loi injuste, ce qui est légal de ce qui est illégal, ce qui est juste de ce qui est injuste ? La logique nous dit que tout ce qui est légal devrait être juste. Ceci n'est malheureusement pas toujours le cas; ce qui est légal est souvent injuste; il existe des lois attentatoires contre le droit des personnes et du peuple.

Comment distinguer une loi juste d'une loi injuste, ce qui est légal de ce qui est illégal, ce qui est juste de ce qui est injuste ? La logique nous dit que tout ce qui est légal devrait être juste. Ceci n'est malheureusement pas toujours le cas; ce qui est légal est souvent injuste; il existe des lois attentatoires contre le droit des personnes et du peuple.

Le protocole de Kyoto ne sera valide que si les pays signataires réunis produisent au moins 55% des gazs à effet de serre de la planète selon une clause exigée par les États-Unis, produisant à eux seuls 40% de ces gazs en 1997! Les États-Unis ne veulent plus ratifier l'accord et le Canada semble hésiter! Si le Canada ne retifie pas le protocole, celui-ci est à l'eau!