La realización de dos ediciones del Foro Social Mundial (Porto Alegre 2001, 2002) se inscribe en el proceso de convergencia internacional de los movimientos y organizaciones sociales que luchan contra los efectos del neoliberalismo a escala mundial. La multitudinaria participación en las dos ediciones del Foro es una señal de la importancia y amplitud de este movimiento que se ha transformado en el hecho político internacional más destacado a inicios del nuevo siglo. La heterogeneidad de movimientos y organizaciones que participan del Foro Social Mundial es un reflejo de las múltiples facetas que adopta la lucha contra el neoliberalismo a escala mundial. Esta diversidad, lejos de erigirse en un obstáculo a las confluencias, constituye sin duda la gran originalidad y legitimidad del movimiento internacional, alimentando y potenciando el debate democrático del conjunto de organizaciones. La destacada participación de movimientos y organizaciones latinoamericanos en el Foro Social Mundial pone de manifiesto la importancia y alcance internacional de las luchas sociales contra el neoliberalismo en nuestro continente.

La quiebra de las finanzas públicas y el tremendo deterioro económico está conduciendo a Venezuela a un caos. La crisis económica está envuelta en la explosiva inestabilidad política, que tiene dividido al país desde hace casi un año. El estallido puede ser de peores consecuencias que la situación que viven desde el año pasado las masas argentinas. Los resultados de la marcha del 11 de Julio puede contribuir para que esa situación se acelere o de que el gobierno por fin, llegue a un acuerdo con los sectores burgueses, políticos y sindicales que hoy les confrontan irreconciliablemente. Por supuesto, que esto último significaría mayores concesiones políticas a los sectores reaccionarios y medidas económicas mucho más antipopulares, a las aplicadas hasta ahora por del gobierno. El futuro que nos espera es: un acuerdo o más enfrentamientos, alineados estos con huelga, estado de excepción con los consabidas declaraciones de desobediencia civil, bombas o atentados.

“Segunda y definitiva Independencia

Les mouvements sociaux latino-américains préparent une série d'activités de résistance à la Zone de Libre Echange des Amériques (ZLEA). Les "Journées de Résistance Continentale contre la ZLEA" ont été officiellement lancées le 15 juillet dernier dans l'enceinte du Congrès National équatorien à Quito. La cérémonie a eu lieu en présence de plusieurs responsables d'organisations, de réseaux et aussi du Prix Nobel de la Paix argentin Adolfo Perez Esquivel.

Les mouvements sociaux latino-américains préparent une série d'activités de résistance à la Zone de Libre Echange des Amériques (ZLEA). Les "Journées de Résistance Continentale contre la ZLEA" ont été officiellement lancées le 15 juillet dernier dans l'enceinte du Congrès National équatorien à Quito. La cérémonie a eu lieu en présence de plusieurs responsables d'organisations, de réseaux et aussi du Prix Nobel de la Paix argentin Adolfo Perez Esquivel.

Notre planète Terre ne suffit plus à la tâche selon les plus récents chiffres d’un compte rendu de l’Académie nationale des sciences (NAS) des Etats-Unis publié le 9 juillet 2002 en prévision du Sommet des Nations unies sur le développement durable à Johannesburg, en Afrique du Sud, du 26 août au 4 septembre 2002.

Cette découverte de la comptabilité environnementale, avec son concept scientifique d' « empreinte écologique », nous révèle que la population mondiale actuelle de six milliards d’habitants « surconsomme » les ressources de la Terre à un taux excédent de 20 % ses capacités annuelles de régénération en termes de forêts, de sols cultivables et d’énergies renouvelables.

Complémentairement à cette étude de la NAS, nous parvenait de Suisse, le 10 juillet 2002, un rapport du Fonds mondial pour la nature (WWF) intitulé Planète vivante 2002 et qui décrivait, toujours sur Internet, la même alarmante réalité d’une excessive empreinte écologique que je résumerai comme suit.

Notre planète Terre ne suffit plus à la tâche selon les plus récents chiffres d’un compte rendu de l’Académie nationale des sciences (NAS) des Etats-Unis publié le 9 juillet 2002 en prévision du Sommet des Nations unies sur le développement durable à Johannesburg, en Afrique du Sud, du 26 août au 4 septembre 2002.

Cette découverte de la comptabilité environnementale, avec son concept scientifique d' « empreinte écologique », nous révèle que la population mondiale actuelle de six milliards d’habitants « surconsomme » les ressources de la Terre à un taux excédent de 20 % ses capacités annuelles de régénération en termes de forêts, de sols cultivables et d’énergies renouvelables.

Complémentairement à cette étude de la NAS, nous parvenait de Suisse, le 10 juillet 2002, un rapport du Fonds mondial pour la nature (WWF) intitulé Planète vivante 2002 et qui décrivait, toujours sur Internet, la même alarmante réalité d’une excessive empreinte écologique que je résumerai comme suit.

Reqesting video footage of the Quebec Summit, Genoa, Guthenburg, and Seattle

Les désastres en chaîne des groupes Enron, WorldCom et Vivendi-Universal (VU) ne sont pas des évènements indépendants et méritent que l'on en tire quelques leçons. Ces accidents révèlent les dysfonctionnements graves, pour ne pas dire la faillite, du capitalisme boursier, porté aux nues il y a peu de temps par la plupart des professionnels et des médias.

Les désastres en chaîne des groupes Enron, WorldCom et Vivendi-Universal (VU) ne sont pas des évènements indépendants et méritent que l'on en tire quelques leçons. Ces accidents révèlent les dysfonctionnements graves, pour ne pas dire la faillite, du capitalisme boursier, porté aux nues il y a peu de temps par la plupart des professionnels et des médias.