...y nosotros tenemos que resistir para no hundirnos más, pero organizándonos por nosotros mismos, creando asambleas permanentes de lucha en donde se decida el destino de la misma; organizando delegaciones de trabajadores con la misión de invitar a otros sectores a unirse, porque todos estamos pasando por la misma situación; formando comités de lucha elegidos por la asamblea y revocables en todo momento cuando la asamblea crea conveniente que ya no defienden sus intereses. Unidos pero entre nosotros mismos, no con los sindicatos, esta es la única forma de lucha que va a detener la saciedad del capitalismo.
A los ataques masivos de la burguesia y su estadon, solo las luchas masivas del proletariado podran detenerlos.

En nous organisant par nous-mêmes, créant des assemblées permanentes de lutte dans lesquelles se décidera le sort de la lutte, parce que nous connaissons tous la même situation ; former des comités de lutte élus par l'assemblée générale et révocable à tout moment dès que l'assemblée pense que ce comité ne défend plus ses intérêts.

Unis, mais entre nous et pas avec les syndicats, voilà l'unique forme de lutte qui arrêtera l'appétit du capitalisme.

Tel est la conclusion du communiqué de nos camarades mexicains. C’est ce qu’il faut faire au Canada et particulièrement dans la lutte des travailleurs du secteur public du Québec, luttte que les syndicats s’apprêtent à saboter en envisageant sa fin le 30 mars 2010 sans aucune grève.

Des communistes internationalistes, à Montréal CIM

cim_...@yahoo.com

La manifestation du 15 octobre à Mexico est à l'évidence le début d'un combat, un réveil des travailleurs au Mexique, après des décennies durant lesquelles ils ont eu à supporter l'exploitation et les sacrifices en tous genres que leur a imposés la bourgeoisie.
Pour les travailleurs du secteur public du Québec qui commencent leur lutte, l’exemple des travailleurs mexicains indique qu’il faut élargir la mobilisation au plus grand nombre. La défense des entreprises du secteur public est un faux débat, c’est la défense des intérêts des travailleurs avant tout qu’ils soient du public ou du privé. Le tract ci-dessous provient de nos camarades mexicains de la Fraction Interne du CCI.

Les communistes internationalistes de Montréal CIM
cim_...@yahoo.com

Ciertamente, la manifestación del 15 de octubre es apenas el inicio de la lucha, del despertar de los trabajadores en México, luego de décadas de soportar la explotación y los sacrificio de todo tipo que le ha impuesto la burguesía

10 minutes pour les prisonnierEs de l’Autre Campagne.
Dans le Zero Hebdo - Paris; sur FPP 106.3

qui marquera le début d’un cycle sur les prisonierEs de l’Autre Campagne au Mexique.

En solidarité et contre l’oublie des compagnes et compagnons toujours emprisonnés de l’Autre Campage, nous vous présenterons, leurs histoires, leurs luttes, leurs expériences, leurs combats et leurs voix.

Aux hommes et femmes de bon cœur

Hier, dans la ville de Oaxaca à eu lieu 3 marches commémoratives du 2 octobre (répression qui a eu lieu en 1968, contre les étudiantEs du distrito federal au Mexique) et les 41 ans de répression. Il y en avait une le matin qui a été convoqué par la section22 du SNTE-CNTE y deux autres marches en après-midi. Ces 2 marches ont été suivis dès le début par le fait qu’elles étaient d’être convoqués par les groupes libertaires de Oaxaca. La présence de la police et l´anti-émeute c’est fait remarquer.

Hier, dans la ville de Oaxaca à eu lieu 3 marches commémoratives du 2 octobre (répression qui a eu lieu en 1968, contre les étudiantEs du distrito fédéral au Mexique) et les 41 ans de répression. Il y en avait une le matin qui a été convoqué par la section22 du SNTE-CNTE y deux autres marches en après-midi. Ces 2 marches ont été suivis dès le début par le fait qu’elles étaient d’être convoqués par les groupes libertaires de Oaxaca. La présence de la police et l´anti-émeute c’est fait remarquer.

Le premier incident a eu lieu dans la première marche de l’après-midi, qui était formé des jeunes libertaires, étudiantEs et organisations , les policiers ont

Le 14 juin dernier des centaines de milliers de personnes provenant de tout les secteurs du mouvement social de Oaxaca se sont rejoins dans les rues pour commémorer la brutale répression qui a eu lieu le 14 juin 2006 dans le centre historique de Oaxaca contre le mouvement démocratique des professeurEs de la section 22 par le gouverneur fasciste Ulises Ruiz Ortiz du PRI (Partie Révolutionnaire Institutionnel) et 3500 effectifs de la police de l’État de Oaxaca.

Le développement et le progrès sont deux notions utilisés par l’idéologie néolibérale pour implantés des projets qui sont basés sur une économie d’extraction des ressources naturelles et sur l’utilisation d’une main d’œuvre à bon marché. Se système d’extraction qui recherche la plus value à tout prix se protègent avec l’état bourgeois, ses lois et ses forces répressives.

Pour pouvoir extraire ces ressources, l’État bourgeois fait des accords avec des multinationales étrangères spécialisés (bois, eau, minerais, énergie renouvelable, plantes, etc.) créant ainsi des bloques économiques qui favorisent les pays riches ou nichent ces multinationales. Le Mexique est un de c’est pays (comme tout le reste de l’Amérique latine…). Le Mexique participe à plusieurs accords économiques comme l’ALÉNA, le Plan Puebla Panama ( ou maintenant renommé le Plan Mésoamérique), le Plan pour la Sécurité et la Prospérité.

Les chemins du progrès et du développement trace une ligne à travers les territoires des communautés saccageant tout sur leurs parcours laissant un long filet de sang et de misère comme témoignage de leurs passages.