Après une réunion du conseil d'administration de l'Université Concordia, le moratoire contre les activités politiques, qui prévalait sur le campus depuis la manifestation contre Benjamin Netanyahu le 9 septembre dernier, a finalement été levé ce soir. Vers 20h00, à l'issue de leur rencontre, l'annonce a été faite de rétablir la liberté de parole sur tout le campus.

Rejoint peu de temps après la décision, des membres de l'association étudiante ont cependant annoncé qu'ils allaient tenir prochainement une Assemblée générale des étudiants de toute l'université pour discuter des prochaines mesures à suivre. À l'ordre du jour il y aura sans doute un point pour demander la démission du conseil d'administration de l'université, pour que ce dernier soit remplacé par un conseil plus démocratique qui puisse refléter la diversité des étudiants inscrits à l'université. Actuellement, bien que les étudiants soient d'origines diverses, le conseil ne reflète pas la cette diversité. "Nous demandons une représentation égale, tant au niveau des groupes ethniques que religieux, et en particulier des gens d'origine arabe qui y sont mal représentés", a dit un membre de l'association étudiante.

Après une réunion du conseil d'administration de l'Université Concordia, le moratoire contre les activités politiques, qui prévalait sur le campus depuis la manifestation contre Benjamin Netanyahu le 9 septembre dernier, a finalement été levé ce soir. Vers 20h00, à l'issue de leur rencontre, l'annonce a été faite de rétablir la liberté de parole sur tout le campus.

Rejoints peu de temps après la décision, des membres de l'association étudiante ont cependant annoncé qu'ils allaient tenir prochainement une Assemblée générale des étudiants de toute l'université pour discuter des mesures à suivre. À l'ordre du jour il y aura sans doute un point pour demander la démission du conseil d'administration de l'université, et pour que ce dernier soit remplacé par un conseil plus démocratique qui puisse refléter la diversité des étudiants inscrits à l'université. Actuellement, bien que les étudiants soient d'origines diverses, le conseil ne reflète pas la cette diversité. "Nous demandons une représentation égale, tant au niveau des groupes ethniques que religieux, et en particulier des gens d'origine arabe qui y sont mal représentés", a dit un membre de l'association étudiante.