Que dire de ce ballet de séduction et d'allégeance devant le "géant blessé".

Quoi dire de ce ballet de séduction et allégeance devant le "géant blessé"?

Je veux parler de ce défilé de chefs d'États et de gouvernements, de ces déclarations de coopération et soutien, de ces voltes faces, de ces d'alliances à l'arrachée ou au couteaux sous la gorge, face aux États-Unis.

Blessés non pas par la faute de ceux qui l'ont attaqué, ce n'était qu'une nécessité toute logique et spontanée, mais par son orgueil et son sentiment de supériorité le rendant sourd aux vociférations de la protestation et aux cris de ses victimes.

A moins que, et le doute plane de façon de plus en plus persistante, il planera toujours, non pas par animosité des uns ou des autres, mais parce que des incohérences multiples et des absurdités transparessent dans les récits et les explications officielles, que ce ne soit un vrai-faux attentat n'ayant rien à voir avec ceux qu'on incriminent avec des preuves tirées par les cheveux.

On voit depuis le début se profiler le scénario du bouc émissaire, qui est toujours la technique des faux scénarios jétés en pature à l'opinion publique, comme un os destiné à distraire la faim des bâtards.

Ceci rend d'autant plus exécrable tout ce défilé de soumis Officiels se jettant aux pieds des États-Unis en échange de quelque dollars, comme des mendiants à qui il ne reste plus aucun amour propre.

Même cela est le fruit de la politique américaine de paupérisation et de réduction de toute les valeurs à de cette maladie suprême qui est la convoitise des gens et des nations.

Décidement toute dignité paraît être disparue en haut-lieu. Et ce sont eux qui nous gouvernent...