Tell que demandé j'ai corrigé mon texte.

Madame, Bazeau j’ai écouté avec beaucoup d’attention votre chronique avec M. Langlois, économiste chez la C.S.Q., lundi le 26 août 2001.

Que M. Langlois tire, à boulet rouge, sur les activistes/ anarchistes concernant les derniers sommets économiques qui sait passer à Québec ou à Gêne, cela me ne surprends pas.

Premièrement, dit-moi qui te paye, je te dirai quoi dire. Il ne faut pas perdre de vue que les syndicats, que se soit la C.S.N, la F.T.Q ou autres, sont des syndicats corporatifs, voués et cela est correct à l’intérêt de leurs membres et ainsi que de leur portefeuille d’action, qu’ils détiennent via leur compagnie d’investissement ( fond de solidarité de la F.T.Qet le fond d’action de la c.s.n ext. …). De plus, il est normal que ces gens soient pour la mondialisation et le libre-échange (Z.L.E.A). Car, plus il y a de travailleurs qui se syndiquent, plus c’est payant pour eux.

Deuxièment, les O.N.G qui eux, sont financés en grandes parties par les gouvernements qu’ils dénoncent à grand renfort de pancartes et de slogans, savent très bien qu’ils sont pris entre leur discours et leurs subventions. De plus, la gestion de la pauvreté n’a jamais été aussi à la mode au Québec ou ailleurs.

Alors, madame Bazeau, question: "Qu’est-ce qui est le plus crédible à vos yeux, le petit anarchiste qui par ces actions directes essaye de sauvé les meubles ou ce qui en reste avec violence. Ou ceux qui par leurs façons de faire (Gouvernement et ses sous-traitants de la pauvreté) maintiennent le peuple dans une dépendance économique, sociale ou culturelle de façon à faire taire ceux et celles qui ne croient plus à ce dinosaure?

Oies Sauvages
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