Événements ayant eu lieu a Montréal à la Saint-Jean Baptiste 2001, dimanche soir le 24 Juin 2001, n'ayant pas été reépertoriés dans aucun média conventionnel. Actions portées selon les répercussions des manifestations à Québec lors du Sommet des Ameriques en avril 2001.

Cette année, décidément, la Saint-Jean a été assaillie par de nombreux facteurs. Un des plus évidents, et incontrôlables, est le fait que le défilé de la Saint-Jean, étant supposé avoir lieu Samedi soir, avec toute une panoplie d’exposants traitant des nombreux festivals du Québec, des Danseuses et danseurs Caraibeens, des feux d’artifice, a été annulé pour cause de pluie.

Cette fête est la fête Nationale du Québec, et la parade a été payée pour 600000$ Elle a du donc être annulée.

Ce qui amène au deuxième obstacle grandissant à la véritable célébration de la Fête nationale: l’interférence fédérale. Si la parade, le concert, et le tout aura coûté même 2 millions de $ de notre argent, ce ne sera en aucune façon comparable à ce que fait Ottawa avec l’argent des contribuables Québécois.

Le gouvernement Fédéral du Canada ne peut plus nier qu’en fait, 60% de tout le budget des célébrations de la fête du Canada dans le Canada entier, est investi a Montréal. Que 60% de tout le budget pour le pays soit investi a Montréal, il faut qu’il y aille une raison. Le fédéral, veut évidemment essayer de séduire la population générale Québécoise avec des célébrations de 3 jours, avec des tonnes de produits et services gratuits, un réseau publicitaire qui dépasse de loin tout ce qui a été fait pour La Saint Jean Baptiste, et un niveau de propagande insidieuse encore jamais atteint.

Évidemment on va entendre le Parti libéral hurler au gaspillage avec ce défile perdu à la pluie, on va surtout bénéficier la présence immuable de couverture télémédiatique de la Fête du Canada, mais jamais on ne va entendre d’autre types d’informations qui relatent des faits importants de la nuit de la Saint-Jean 2001.

À chaque semaine, les dimanches, ont lieu sur le Mont-Royal, les traditionnels Tam-Tams. Événement spontané, issu de milieux populaires. C’est donc avec logique que le dimanche des Tam-Tams le 24 Juin, la présence policière avait été décuplée. Tout se déroulait dans le calme, mais la police, craignant une flambée de sécessionnisme destructeur, a empêché le déroulement normal des Tam-Tams.

C’est vers 12h30 que deux groupes de jeunes, un, à la façon black block, et un autre disant représenter l’E.L.F. (Earth Liberation Front) se sont mobilisés au coin des avenues du Parc et Mont-Royal. Des slogans se sont mis a être exclamés, un peu a la manière du Sommet des Amériques, pancarte en main, graffitis au nom du FLQ, RPQ et ELF effectués, c’est a cet instant que 12 camionnettes en civil sont arrivées, dans le sens contraire de la rue, une centaine de policiers armés, et casques, avec boucliers ont immédiatement charge sur a foule moins nombreuse, et surtout, moins armée.

Les deux groupes se sont séparés et simultanément, les vitrines du McDonald's et du A&W burger se sont faites cassées, et pulvérisées. Aucune vitrine ne restait debout.

À ce moment là, bien des habitants et des passants du coin étaient attroupes et regardaient le spectacle ahurissant. Immédiatement, les passants de sont fait mettre dans le tas et se sont fait frappé dessus à même titre.

Aucune nouvelle supplémentaire quand aux arrestations peut être donnée.

Le lendemain, 25 juin 2001, 8h du matin: toutes les vitrines du A&W et du McDonald's ont étés remplacées, les graffitis effacés, plus une trace ne subsiste, et aucune trace aux médias de ce qui s’est déroulé.