Honduras grece Iran solidarité internationale avec les peuples la jeunesse qui résistent contre le fascisme et les oligarchies qui les oppriment
Deuxième journée d'agitation dans les facs en Iran
Pour la deuxième journée consécutive, plusieurs milliers d’étudiants se
sont retrouvés mardi à l’Université de Téhéran, où ils ont été attaqués
par les Basidj'is, selon des témoins. Les journalistes étrangers sont
toujours interdits de séjour dans les rues par le régime.
Dans le même temps, une trentaine de motards en civil, sans doute
également des Basidj'i ont encerclé l'un chef de file de l’opposition et
candidat malheureux à la présidentielle Mir Hossein Mousavi alors qu’il
essayait de sortir de son garage, ont rapporté des sites Web d’opposition.
Moussavi est resté bloqué dans ses bureaux plusieurs heures. Lundi,
pendant la manifestation à l’Université de Téhéran, son épouse Zahra
Rahnavard avait été prise à parti par des étudiants d'extréme gauche lassé
des discours jugés trop légalistes de moussavi avant d’être évacuée par
ses partisans.
Au cours d’une conférence de presse, le procureur général Gholam Hossein
Mohseni Ejehi, interrogé sur une éventuelle arrestation de Moussavi, a
déclaré: “nous ne tolérerons que personne commette des actions contre la
sécurité, et nous les affronterons”, a-t-il déclaré, selon l’agence de
presse semi-officielle Fars. “Pour l’instant, nous avons fait preuve de
retenue. A partir d’aujourd’hui, il n’y aura pas de clémence”, a-t-il
ajouté, selon l’agence officielle corrompue de l'IRNA, demandant que les
procureurs de Téhéran prennent des mesures plus fortes contre “ceux qui
violent l’ordre public et s’en prennent à la propriété publique”.
Cette nouvelle fébrilité et durcissement du régime est peut-être liée au
fait que le calendrier des semaines à venir est riche d’occasions pour
l’opposition de descendre à nouveau dans la rue, en détournant des
manifestations officielles. A la mi-décembre commence le mois saint de
Moharram, marqué dans l’Iran chiite par de massives cérémonies
traditionnelles de deuil. Il y aura ensuite l’anniversaire de la
révolution islamique de 1979, début février, marqué par dix jours de
célébration
Vidéos de la résistance étudiante face à l’agression des bassidji
Mardi 8 décembre, en réponse à la mobilisation du 16 Azar (7 décembre), des
basidj'is mais aussi des brutes du Hezbollah libanais qui opérent comme
des barbouzes et mercenaires en Iran depuis le mois de juin qui ont
clairement étés identifiées comme telle par de nombreux(se) étudiantes ,
des flics en civil des Pasdarans et de la vevak sont venus à l’université
de Téhéran et ont dû faire face à la résistance acharnée et courageuses
des étudiant(e)s.
des vidéos de la résistance des étudiant iraniens visible ici
Université de Téhéran : nouvelle Attaque et provocation des bassidjis et
résistance des étudiant(e)s
De nouveaux témoignages affluent de partout grace au courage de nombreux
internautes iraniens qui prennent des risques d'arrestations insensés pour
contourner la censure et le ralentissement du net en iran mis en place a
l'aide de Nokia et Siemens et de ces centres et serveurs situés a
l'intérieur du pays
8 décembre 2009
attaque, aujourd’hui de basidj'is dégisés en "étudiants" à l’Université de
Téhéran :
De nouveaux incidents ont opposé mardi des soit disant étudiants pro
gouvernement sur le campus de l’université de Téhéran, au lendemain de
manifestations d’opposants au président Mahmoud Ahmadinejad qui avaient
émaillé la “journée des étudiants”, a rapporté l’agence officielle
coorompue de l' Irna. Des étudiants opposés au gouvernement, qualifiés
d’”émeutiers” par Irna, se sont “rassemblés pour protester contre ce
qu’ils qualifient d’agressions contre les manifestants (de lundi)”, a
expliqué l’agence.
Vidéo : Résistance des étudiant(e)s à l’agression des bassidjis, 8 décembre
Des basidj'is en civils et faux étudiants les ont affrontés à coups de
slogans, puis on sorti de leurs sacs des barres de fers, des couteaux et
d'autres armes blanche avant que la situation ne dégénère en bagarres
durant lesquelles des pierres et des gaz lacrymogènes ont été jetés et des
fenêtres brisées, a précisé l’agence sans faire état de blessés.
Ces incidents du 8 décembre 2009 sont intervenus au lendemain de nouvelles
manifestations, lundi autour des universités de Téhéran, contre la
réélection contestée du président Mahmoud Ahmadinejad en juin. Ces
manifestations, interdites, ont entraîné des heurts avec les forces de
l’ordre.
Les Arrestations du lundi 7 décembre les autorités mentent de nouveau
Le chef de la police de Téhéran le sanguinaire Azizollah Rajabzadeh, a
indiqué mardi que 204 personnes, 165 hommes et 39 femmes, avaient été
arrêtées. des arrestation qui se sont soldées par des matraquages et des
tabassages d'une violence inouie, les basidj'is ayant étés jusqu'a aller
chercher des bléssés jusque dans les hopitaux pour les embarquer
nous savons que ces chiffres sont faux et que le bilan des arrestations
est plus du double des chiffres annoncés par les corrompus de l'Irna
d'autre part de nombreux réseaux twitters et d'autres sites et blogs en
exil annoncent déja des disparitions et des enlévements d'étudiant(es)
dont les proches, les familles et les ami(es) sont sans nouvelle
Elles sont détenues pour atteinte à l’ordre public. “Certaines ont
endommagé des véhicules, incendié des motos et des poubelles, et crié des
slogans hostiles aux autorités”, a expliqué le chef de la police. Selon
l’agence Isna, il a également indiqué que des forces de l’ordre
resteraient déployées autour des universités de Téhéran dans les prochains
jours pour “empêcher des rassemblements à l’extérieur des campus”.
Ces miliciens basidj'is ont attaqué les étudiants iraniens qui
manifestaient mardi pour la deuxième journée consécutive dans les facultés
de téhéran, d’autres miliciens à moto harcelant quant à eux une des
principales figures du mouvement d’opposition au régime des mollahs qui
tenta de s'approcher d'une des facultés.
Dans le même temps, le procureur général menaçait de prendre des mesures
répressives, et de faire tirer dans la foule après les manifestations de
lundi qui se sont achevées en violents affrontements avec les forces de
l’ordre, débouchant sur plus de 200 arrestations.(source officielle loin
de la réalité car selon de nombreux témoignages de manifestant il faut
compter ce chiffre en double).
La contestation ne s'est pas non plus calmée dans les grandes autres
universités et facultés du pays qui ont de nouveau connu des greves des
repas, des refus des filles et des garçons de vivre et étudier dans des
facultés non mixtes
Les autorités iraniennes et le régime fasciste des Mollahs semblent
craindre que le mouvement de protestation né de la contestation des
résultats de la présidentielle de juin ne prenne à nouveau de l’ampleur.
Lundi, les étudiants avaient ouvertement brisé le principal tabou du
régime, en brûlant des photos du Guide suprême, l’Ayatollah Ali Khamenei
et en traitant Ahmadinejad de président Nazi
-chose nouvelle également on a pu a nouveau aussi entendre des slogans
contestant le légalisme et la mollesse de Moussavi de plus en plus
considéré par nombre d'étudiants radicaux et proche de l'extréme gauche
comme la derniére roue de secours du régime
Solidarité avec le soulévement populaire Iranien
Solidarité avec le soulévement populaire et la résistance antifasciste au Honduras
Solidarité avec le soulévement populaire de la jeunesse grecque
Dossier G20
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