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Attaque contre le collectif libertaire de Vocal à OaxacaAnonyme, Jeudi, Juillet 10, 2008 - 23:46
Frida Kahlo traductrice d'un communiqué de Vocal
Nous qui faisont partie du collectif des Voix de Oaxaca Construisant l´Autonomie et la Liberté (VOCAL), nous voulons dénoncer à travers cette lettre le grave climat de harcèlement, de criminalisation et de persécution que le gouvernement de Ulises Ruiz Ortiz et les médias de communication locale ont diffamés dans ces dernières semaines de manière directe contre certainEs integrantEs de notre collectif. La répression, en particulier, a commencé á s´intensifier suite à se qui c´est passé le 20 juin 2008 à Zaachila, municipalité où le peuple organisé à refusé la présence de Ulises Ruiz Ortiz dans un évènement publique convoqué par le gouvernement de la municipalité de Zaachila (Zaachila à été la première municipalité autonome et populaire pendant le conflit sociale de 2006). Culpabilisant certaines personnes de notre espace comme provocateursTRICES de la violence, quand cette violence a été généré par le président municipale priiste( du parti officiel du PRI qui ont gagné les élections de façon frauduleuses en 2007) de cette municipalité Noé Pérez, et son père M. Natalio Pérez, qui avec un fusil, a tiré sur le peuple, qui eux de manière pacifique protestaient en légitime défense contre l’imposition de la présence de Ulises Ruiz Ortiz (gouverneur illégitime de Oaxaca, provocateur du conflit de 2006). L´agression qu´a commis cette personne est mis en évidence sur des photographies et des vidéos lors des évènements du 20 juin 2008. Cependant, les médias de communications locales en accord avec les déclarations de Ulises Ruiz et d’autres fonctionnaires du gouvernement, ont diffusés pendant plusieurs jours à la télévision, par journaux et par radio l´information que certains professeurs du peuple de Zaachila, l´”alebrije” (David Venegas Reyes) et les intégrantEs de VOCAL, ont provoqués la violence à Zaachila, en menaçant à travers de ces mêmes médias de comunication qu´ils appliqueront tout le poids de la lois contre ceux et celles qui selon eux ont provoqué la violence, culpabilisant comme toujours à l´organisation du peuple qui est encore vivant comme mouvement. Devant cette résistance le gouvernement répond par de signaux claires pour dénaturer l´organisation du mouvement de Oaxaca, à travers de sa sale stratégie de toujours, chercher les “leaders” pour pouvoir coopter, réprimer, bloquer les pages d´informations alternatives, augmentant la détention des compagnonEs qui font les graffitis en les battants et les relachants par la suite, en faisant aussi des faux signalements et intimidation de tout les espaces en luttes du mouvement qui n´étaient pas à la disposition de négocier avec la dignité et la résistance, la quelle se rend visible dans la réorganisation qui existe comme peuple, depuis la bases, les quartiers, collectifs et espaces qui ont resurgie dans les rues le 14 juin dernier. En plus de ces faits, ils augmentent la présence policière et demandant plus de force fédérale. Ils nous poursuivent comme collectif de manière directe dans les nouvelles diffusés au canal télévisé de l´état : le canal 9, avec les photos de plusieurs intégrantEs de VOCAL; Silvia Gabriela Hernàndez Salinas, Efraín Lopez, Eduardo, Rubén Valencia et David Venegas Reyes, assurant dans ces mêmes médias qu´il existe des mandats d´arrestations contre tout ses compagnonEs, et que la détention se réalisera à tout moment. Nous acusant d´êtres les provocateurEs de la violence dans l´état de Oaxaca , avec cette intention claire de justifier la répression, la prison et incluant les disparitions contre nous. Ces accusations sont faites par le gouvernement en complicité avec quelques médias de communication qui sont à leurs services. La présence policière dans certains lieux en particuliers et dans les réunions de plusieurs d´entre nous est constante. Le risque d´êtres détenues nous le considérons latent et très probable. Cette situation nous amène à rendre publique se climat de répression et d´harcèlement. Nous ne permettrons pas que continue les poursuites, que démontre le climat de répression contre ceux et celles qui participent au mouvement social de Oaxaca par les instances du gouvernements de l’État et fédéral. Les motifs réels du pourquoi en se moment la répression de l´état est orienté contre nous qui faisont partie de VOCAL, ainsi qu´à d´autres occasions ont orchestré avec d´autres compagnonEs du mouvement, est pour la conséquence de notre participation claire, publique et pacifique dans le mouvement social de Oaxaca. Pour ne pas nous fatiguer de lutter avec les demandes du mouvement de déloger Ulises Ruiz Ortiz: punissant les coupables des assassinats, liberté à tout les prisonnierÈREs politiques et pour une transformation profonde de Oaxaca. Nous savons que nous ne sommes pas les seules, et qu’il y a aussi différentes communautés , collectifs , organisations, la base du sindicat des professeurEs, et les quartiers en lutte qui font ce qu´ils peuvent pour renforcé le mouvement social a Oaxaca. Ils nous accusent maintenant parce que nous avons répondue aux appellent de solidarités et d´aides que plusieurs peuples ont solicités au mouvement dans sont ensemble et nous l´avons fait de manière solidaire et fraternelle, ce que pour l´État est un grand risque lorqu´ils prétendent en finir par la division et vaincre le mouvement social qui a à Oaxaca, a inicié le chemin pour une transformation radicale et réelle de notre société, profonde, qui nait depuis la racine des peuples et s´alimente des savoirs ancestrales qu´ils nous ont appris depuis plus de 500 ans devant tant d´impositions et d´injustices. Aujourd´hui Oaxaca dit: Ya Basta ( c´est assez) et nous ne sommes pas disposés à continuer de vivre comme jusqu´à maintenant , aujourd´hui après 2006 rien, ni personnes ne peuvent être pareilles. Nous demandons la justice, la liberté et de cesser l´harcèlement au mouvement social en son ensemble ainsi qu´à nos compagnonEs : Silvia Gabriela Hernàndez Salinas, Efraín Lopez, Eduardo Zanabría Hernández,Rubén Valencia et David Venegas Reyes, demandant à tout les yeux de nos compagnonEs toute la solidarité de pouvoir diffusé notre réalité. Pour tout ceux et celles qui essaiyent de nous faire taire et de nous arrêter, nous savons toutes et tous se que le gouvernement tente et nous n´allons pas le permettre et nous ne fatiguerons pas de dénoncer la répression. Dehors Ulises Ruiz Ortiz *Voces Oaxaqueñas Construyendo Autonomía y Libertad, (VOCAL)*
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