Jacques Bonhomme boit son canon par delà le Noir et le Blanc ...

D'abord il y eut les protozoaires, ensuite, bien plus tard, il y eut les humains, plus agressifs et plus voraces, puis il y eut Jacques Bonhomme.
Lui, il traite ses ancêtres méta-spécifiques en tant qu' « animaux de laboratoires ».

A ce propos il est à noter que si nos « gouvernements » de Bonhommes prônent les états religieux et irrévérencieux envers l'homme, la femme, les enfants et les animaux comme références, les états-unis, l'Australie et tous les états colonialistes ne sont presque jamais taxés d'intégristes, cependant qu'ils le sont par leur refus de reconnaître leur image par les colonisés et par adoption du capitalisme : l'intégrisme capitaliste élimine les animaux, les gens ou les rompt, les corrompt des bonnes moeurs.

Une des questions que doit résoudre l'homme est:

1/ De toutes nos lois à la con, combien de convives sont susceptibles d'être respectés sur la terre et les océans ? (Vous n'avez qu'à suivre la piste des cadavres) Le monde est-il assez « Grand » pour obtenir le respect du monde ? Jacques aime-t-il être J.B. ? Et comment faire en sorte que ....

Pour résoudre cette question, nous le peuple, devons acquérir immédiatement notre droit d'individu à organiser notre tranche de vie à venir ! Nous devons avoir la maîtrise du nombre d'enfants et pas spéculer sur des catastrophes naturelles ou guerrières venues du « ciel »... Comme le suggère notre attentisme devant l'entreprise pharmaceutique qui interdit aux pauvres l'accès aux soins !

Tuer des hommes ou des animaux créé des esclavages de haine ouverte ou rentrées ; de la haine auto-générée et auto-immune c'est-à-dire immunisée contre la conscience de la maladie ... Nous, le peuple, devons-nous inventer une conscience commune pour exister en tant que peuple (Je suggère comme but collectif l'Harmonie ...)

Pour revenir à la première question, c'est vrai, il fut pourtant un temps béni par le nombre d'humain, où il y a avait si peu de gens, de policiers, de matérialistes épanouis et soutenus par l'argent, l'héritage et les foules que les humains avaient facilement et prenaient du temps pour s'aimer, apprendre, fêter leurs voeux personnels faits entre « époux » ... Il fut un temps où la liberté de penser ne s'écriait pas au secours, il n'y avait pas d'informatique, il y avait quantités de langues, avant que les potentats et semblables n'imposent une même langue pour un « seul territoire » à gérer et si possible, le courant de pensée du patronat ...

Souvenez-vous qu'il y eut un temps où les humains partageaient les moissons, où le lien social était fort autant que l'amitié ! Aujourd'hui ? Ils se vengent pendant noël et la fête de la musique ??? La blague, aujourd'hui, c'est que l'amitié est rayée de nos faits comptables quotidiens cannibales ex nihilo ainsi que notre intelligence collective ... Par la force des choses ! Sous contrainte, on peut devenir n'importe qui ! Un Jacques Bonhomme, par exemple ... Un « blanc », par exemple ...

Aujourd'hui, quantité de projets s'exécutent sans âme ; seule est respectée la fameuse « enveloppe » qui fait survivre ! Puis les gens des sociétés modernes passent leur temps estival à parcourir le monde à la recherche d'objets qui donnent l'impression d'avoir été réalisé par des gens qui ont « une âme au travail» ! A courir après les dots ... Car J.B., à Paris, s'il ne l'a pas, il détruit le monde ... Oula la !

Jacques Bonhomme, quelque part en Nous, connut la soumission aux conventions ou aux goûts des autres ... Alors le constat est que du point de vue de la foule, nous avons reculé dans le temps vers des gratifications démissionnaires à des « seigneurs » et des « saints » ou des missionnaires toujours plus martiaux et plus vicieux, sournois, pervers, l'esprit à l'envers du bon sens, pour imposer ses choix par les armes : nous suivons des narcissismes mal placés, quoi ! Des blondes qui nous vendent du cola en boîtes et des cigarettes ... Les uns après les autres : De Gaulle, Pompidou, Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy avaient tous un narcissisme placé dans des intérêts financiers, étaient des blondes ou prônaient des blondes, des travestis, pas des hommes et des femmes du peuple. La preuve ? Aucun n'a légiféré pour protéger légalement les imbéciles contre eux-mêmes (Dans le vote ou les choix quotidiens). Pourtant, c'est la chose la plus nécessaire : protéger les plus démunis d'intelligence contre eux-mêmes, puisqu'il s'agirait de 40 % des français ... Officiellement (Par sondahe), il paraît que 40 % sont primaires, alors que les anglais en dénombrent 80 % après le vote massif pour Chirac en 2002.

La seconde question que l'humain peut résoudre est :
2/ Au fait, aujourd'hui, combien parmi nous ont bien les pieds sur terre ? Combien possèdent leur logement avec de la terre ? Combien possèdent tout son temps, son intimité bichonnée ? Qui ne soit pas réduit à la recherche d'argent et de ses disciplines dans l'étouffement que la puanteur de l'argent implique ? .... Combien vivent sous contrainte et dans cloaque sans rien sentir ?

C'est cela, depuis huit siècles être un « Jacques Bonhomme » : c'est ne pas avoir la maîtrise de son temps, de son nez (D'ailleurs il mange des tripes) et pour beaucoup, le faire payer aux autres ; temps que nous avons tous au départ, mais à crédit !

C'est pour ça sans doute, que dès qu'il le peut, Jacques Bonhomme joue au loto, en bourse, au poker, à tuer le taureau, à maltraiter son chien ... Pour se Libérer !

Pour se libérer Jacques instaure l'apartheid, il dirige des cannes à sucre après que son grand-père a été ... Jacques Bonhomme veut, rêve, n'aspire, ne respire que pour le fritz et la vie de ses intestins ! Il suspend le monde à cette question : « la bourse ou la vie » des autres convives du monde à chaque seconde.

Alors il disqualifie ses frères clodos, entretient la prostitution, les zoos et l'esclavage des enfants ; il n'exige rien de normal, rien de régulier ; J.B. Est prêt à tous les mauvais coups : il ne sent pas humain. Il est monsieur hyde, n'aspire qu'à le devenir au moins autant que son curé ou son psychiatre ... Et quand il n'en a pas, de fritz, J.B. à la rage, il concède trop de pognon pour ses esclaves ... J.B. Ne veut pas être importuné dans son « château » au propre ou au figuré : le truc que Jacques cache derrière des tas de serrures, c'est son image !

Tout a enseigné à J.B. l'égoïsme dans le Partage : le prix des choses, la trahison des autres ... Alors, il ne veut pas le savoir que certains crèvent pendant qu'il joue à vivre ! Instituer des règles ? Faire une grève générale ? La dernière date de 68, il y a eu des morts, et nos Sarkossimes lui ont diabolilisé ! Pourquoi : parce qu'ils tirent, ses clowns à la mitraillette !! Avec des vraies balles ! Et que le peuple, J.B's n'a pas désarmé sa flicaille au nom de soit-disant « ennemis publics ». Et le peuple s'est niqué lui-même !!! Il Parce qu'il arme ses chaussettes à clous en payant ses impôts, les S.S. Et aime qu'on lui raconte des histoires policières !? Au moins, dans les pays du tiers monde que je connais, ce n'est pas le peuple qui paye sa police ; ils ne sont pas aussi débiles ...

Jacques B., amical dans son village où la communauté invente encore pour ses élus, ses proches ... Jacques qui ne reconnaîtra jamais ce nom qu'on a inventé dans les salons de la république, pour parler de toi et de ton indifférence à ton image qui devient de plus en plus en plus énorme ... L'image de J.B. ? Nos affreuses têtes de cons ! (-tribu... taires ! Tous nos canons !) La révolution est la seule solution pour notre narcissisme de peuple ; et cela passe par une grève générale. Arrêtons tout puisque nous faisons en aveugle ! Et que le résultat se compte en centaines de millions de morts depuis un siècle ...

Puisque chacun a des choses à revendiquer dans son quotidien, (cela commence par des enquêtes sur les flux d'argent dans le monde), afin de construire son destin avec le soucis de l'autre, l'impérial soucis de l'autre avouons le pourtant : il faut changer la donne !