Réponse (partielle) au délire de monsieur juste pourrir, sieur Rozon

rozon

Je voudrais pas paraître vulgaire, mais monsieur Rozon, du festival juste pourrir devrait fermer sa gueule. Lui et ses semblable (99% des hommes et femmes d'affaires du Québec) vivent sur le bras de l'État par le biais des multiples subventions, allègements, magouilles et échappatoires fiscaux. Tiens, ça me rappelle Cinar, des bons amis à monsieur Rozon... Sans oublier, entre autre, l'apport et le soutien total des médias, incluant les bulletins de nouvelles. Quand on prend 10 minutes d'un bulletin d'information pour ploguer les spectacles de la soirée, c'est encore mes impôts qui financent la pub à ces welfare corporate bum.

Pour ce qui est de son délire voulant que les groupes communautaires fassent la loi, c'est tellement débile que vraiment, les mots me manquent. Ça fait 16 ans que je suis dans le communautaire et je ne vois qu'une aggravation et une détérioration des conditions de vie des gens et ce malgré nos revendications. Il suffit que pour une fois (Casino) le vent ai tourné pour que nos élites paniquent. Comment osez-vous? dirait Lucien Bouchard. Cout donc Rozon, tu serais pas un peu fasciste sur les bords? Le propre du capitalisme c'est de vouloir toute avec ben d'la crème. Attention messieurs dames, à trop vous empiffrez, vous risquez d'étouffer. Ou de finir morte sur la table d'un chirurgien esthétique.

Martin Richard
Montréal
11 juillet 2007