Le Comité d’Action Politique de l’UQÀM (CAP-UQÀM) organise du lundi 16 au vendredi 20 octobre une semaine d’information et de mobilisation contre la guerre et l’impérialisme.

Activités :

Lundi 16 octobre, à partir de 18h, au local A-2480 : programmation double avec les films « Leaded/Unleaded » et « The Weather Underground »

Mardi 17 octobre, 18h, au Café Aquin, local A-2030 : soirée conférence sur l’agression israélienne au Liban, avec Mohammed Rustom du collectif Tadamon !

Mercredi 18 octobre, à partir de 18h, au local A-2480 : programmation
double avec les films « Falujah » et « The Oil Factor : War on Terror »

Jeudi 19 octobre, 18h, au Café Aquin, local A-2030 : soirée débat-discussion sur le thème « Comment confronter l’impérialisme ici ? »,avec des militantEs de collectifs locaux anti-impérialistes.

Vendredi 20 octobre, 18h, au café l’Exode du Cégep du Vieux Montréal :
show bénéfice en soutien au Réseau Anarchiste en Milieu Étudiant (RAME),avec bouffe/bières/musique, dont Take The Power Back, groupe hommage à Rage Against The Machine.
Plus d’infos sur le RAME: rame.uni.cc

Samedi 21 octobre, 13h : assemblée générale du Réseau Anarchiste en Milieu Étudiant (RAME), à la Maison de l’Amitié, 120 rue Duluth Est, près du métro Sherbrooke.

Samedi 28 octobre, midi :
Ils occupent… nous résistons !
Canada : crisse ton camp de l’Afghanistan !
Rejoignez le bloc anti-impérialiste !
Manifestation organisée par le collectif Bloquez l’Empire, rendez-vous au Parc Norman Bethune, aux coins Guy et Maisonneuve.

Le Comité d'Action Politique de l'UQÀM est un regroupement d'étudiant-es et de non-étudiant-es anticapitalistes qui lutte à l'intérieur des murs de l'UQÀM. CAP-UQÀM se veut être un lieu de réflexion et de pratique critique afin de contribuer à dissoudre le mutisme politique contemporain. Par le biais de l'éducation populaire et de l'action directe, CAP-UQÀM vise à sensibiliser et mobiliser les étudiant-es face aux injustices inhérentes du système capitaliste.

Nous sommes en faveur de la construction de vastes mouvements populaires en vue d'une réorganisation radicale de la société. L'acte de révolte isolé s'use de lui-même et c'est parce que nous savons que notre unique force est celle du nombre que nous croyons en la nécessité de l'organisation.

Nous privilégions un mode d'organisation basé sur la démocratie directe en opposition à la démocratie représentative et parlementaire d'aujourd'hui.

Nous favorisons également l'autogestion comme méthode d'action et d'auto-développement des communautés.