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Distribution alimentaire : l’AGEFLESH entend maintenir le capAnonyme, Mardi, Octobre 18, 2005 - 15:02
AGEFLESH-UdeS
Face aux pressions de plus en plus expéditives des autorités de l’Université de Sherbrooke pour la fermeture de la cuisine collective étudiante dans la perspective d’un projet de café coopératif, l’Association générale des étudiant(e)s de la Faculté des lettres et sciences humaines (AGEFLESH) entend toujours poursuivre ce projet étudiant. Communiqué de presse Association générale des étudiant(e)s Distribution alimentaire : l’AGEFLESH entend maintenir le cap Face aux pressions de plus en plus expéditives des autorités de l’Université de Sherbrooke pour la fermeture de la cuisine collective étudiante dans la perspective d’un projet de café coopératif, l’Association générale des étudiant(e)s de la Faculté des lettres et sciences humaines (AGEFLESH) entend toujours poursuivre ce projet étudiant. Bien qu’il ait eu une certaine ouverture de la direction de la Faculté des lettres et sciences humaines, les deux parties n’arrivent toujours pas à une entente. En effet, lors de l’assemblée générale du 28 septembre dernier, l’AGEFLESH a reçu comme mandat de développer une véritable alternative à Chartwells, l’entreprise détentrice du monopole des services alimentaires à l’Université de Sherbrooke. « Ce qui est le plus outrant dans cette histoire, c’est de voir que la direction de l’université ne veut pas entendre parler d’initiatives étudiantes et que celle-ci persiste à défendre l’existence d’un monopole que les étudiants et étudiantes ont rejetés massivement en Assemblée Générale. On a reçu un mandat plus que clair et nous ne décevrons aucunement nos étudiants à ce sujet », affirme fermement Mathieu Corbeil-Bussières, président de l’AGEFLESH. L’Université a haussé fermement le ton en sortant l’artillerie lourde : menaces de priver l’association de locaux de réunion, fermeture du nouveau salon de l’AGEFLESH, voire même des sanctions disciplinaires individuelles à l’endroit des responsables de ce projet. « L’Université recherche l’affrontement avec les étudiants et étudiantes de la faculté. Il va de soi que nous ne cèderons pas devant ce type de chantage institutionnel », ajoute Kevin Cordeau, vice-président aux affaires externes de l’AGEFLESH. Malgré les menaces des autorités universitaires, l’AGEFLESH entend continuer avec ce projet de café étudiant, afin de maintenir la pression face au monopole, dont la prochaine distribution se fera demain midi, au salon de la Faculté. -30- Source : À contacter : Mathieu Corbeil-Bussière
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