«Et c’est finalement le sexe, sujet tabou par excellence, qui divise les
femmes. Celles qui n’ont pas d’ami soupçonnent celles qui en ont un
de se compromettre pour «garder» leur homme. Celles qui ont un
homme dans leur vie craignent les «indépendantes», mais puisque la
libération sexuelle fait partie de l’idéologie de la gauche, elles n’ont
aucun moyen d’exprimer leur crainte. Elles répugnent à reconnaître
leur oppression, de peur de voir menacées leurs relations avec leur
homme.» (revue Partisans, spécial "Libération des femmes année
zéro", page 43, numéro 54-55, juillet-octobre 1970)
Supposons une organisation de gauche, composée de divers comités
(anti-raciste, femmes, bouffe, logement, queer, etc.), tenus
ensemble par un comité exécutif.
Dans les postes importants (comité exécutif), l’on retrouvera les
hommes-blancs. Ceux-ci peuvent avoir la peau non-blanche et/ou
pas-de-phallus. Par contre, leur façon d’être sera celle de l’homme-
blanc (autoritaire, patriarcal, etc.). Celleux qui sont des non-
hommes et des non-blancs ont trois choix : soit illes sont l’amiE des
gens importants, soit illes s’impliquent dans le comité «identitaire»,
soit illes deviennent des hommes-blancs et s’impliquent dans les
postes importants. D’une façon ou d’une autre, illes s’intégreront à
une structure qui n’est pas faite ni par ni pour eux-elles, tentant, au
mieux, de la réformer. Les non-hommes et les non-blancs restent,
dans tous les cas, subordonnéEs au fonctionnement de
l’organisation.
D’où vient la colère ?
Nous sommes enragéEs de voir ce qui se passe, quotidiennement,
dans nos vies et dans celles des autres : la misère, l’ennui,
l’impuissance, la discrimination, l’exploitation se lisent sur les
visages des gens dans la rue, dans nos miroirs, dans nos journaux.
Les organisations qui revendiquent, qui militent ne font qu’imposer
un autre intermédiaire, un autre mur, empêchant la communication
directe de nos joies, de nos rages, de nos désirs.
Tout en voulant émanciper et élever le niveau de vie des oppriméEs,
ces organisations ne font qu’augmenter leur dépendance, face à
l’État ou au patron en premier, face à l’organisation militante en
deuxième lieu. Pour lutter contre mon exploitation (l’esclavage
salarié), je dois m’impliquer dans mon organisation (le syndicat). Il
arrive toujours un certain point où nous ne voyons plus comment
lutter sans cet intermédiaire. À ce moment, nous commençons à
travailler autant pour nuire au patron par le biais du syndicat que
pour la simple survie du syndicat. Or, pas de syndicat sans patron.
C’est ainsi que, dans cette histoire, il n’y aura pas d’abolition des
rôles d’exploitation.
Dans le cas des comités Femmes, c’est pire. Ces comités sont, le
plus souvent, de petits ministères de la condition féminine, et ce que
le comité fait au sein de l’organisation ne doit jamais dépasser celle-
ci, sinon ce serait la mort de l’organisation. Ainsi, on s’y contente, la
plupart du temps, d’apporter des revendications, des ajustements,
des campagnes Femmes comme un simple ajout à ce qui existe déjà,
et non comme un dépassement. Et dans la lutte, cela devient
complexe : pour lutter contre le patron, je dois m’organiser en
syndicat, et pour amener des points femmes soit dans le syndicat
soit contre le patron, je dois créer un comité Femmes, qui sera
encore subordonné à tout le reste, au lieu d’avoir une vie propre et
autonome.
Ça devient lourd.
De la difficulté de partir de soi
Je regarde l’état du mouvement des femmes, en 2005, au Québec, et
je suis triste.
Bien que nous ayons affirmé, depuis longtemps, que le privé est
politique, nous avons toujours autant de difficultés à nous réunir,
entre femmes, pour simplement parler de nos existences. Le privé
ayant déjà été théorisé, nous nous contentons, trop souvent,
d’appliquer ces théories à nos vies, en espérant s’en sortir de façon
individuelle, en prouvant que nous aussi, on peut faire tel ou tel truc
masculin, ou confronter tel ou tel homme sur ses attitudes
patriarcales. Nous voulons à tout prix investir les structures
masculines (de la bureaucratie où nous sommes plus souvent
secrétaires que présidente, jusqu’aux manifestations où nous tenons
les banderoles au lieu de faire les discours, jusqu’aux discussions
musclées où nous écoutons plus que nous parlons) pour ne pas être
exclues de ce monde patriarcal qui nous exclue.
La «libération sexuelle», supposée libérer la femme, ne nous fait que
multiplier les complexes. Nous accumulons les relations car nous
sommes contre le couple, nous prenons la pilule pour ne pas être
enceintes sans remettre en question notre sexualité centrée sur la
pénétration, nous refoulons les jalousies et les amours pour ne pas
avoir l’air d’une femme qui veut enfermer son homme. Et surtout,
nous ne nous parlons jamais de tout ça. Ce serait cracher sur les
luttes du passé…
L’homme trouve avantage à cette situation.
Nous sommes redevenues silencieuses.
Moi, je dis moi
J’ai longtemps été répugnée, dégoûtée par les mouvements,
multiples et divers, des femmes.
Dans ma vie, aucune fierté d’être une femme. La femme, en tant que
genre, m’énerve. Elle veut être belle à faire peur, intelligente mais
pas plus que son homme, elle veut des enfants mais rester mince, se
raser ou pas non pas dans la mesure où ça lui plaît ou non, mais
dans la mesure où ça plaira ou pas à son homme, se faire exploiter
par un patron, par un prof, parce que d’autres femmes se sont
battues pour le droit au travail, parce qu’avant elle ne le pouvait pas
et donc que c’est nécessairement une libération, elle veut magasiner
mais ne veut pas suivre la mode car elle est unique et différente,
libérée sexuellement elle lit des magazines féminins remplis de trucs
pour mieux faire des pipes, elle veut être forte tout en restant sexy.
D’une certaine façon, c’est le pire de la féminité ET le pire de la
masculinité. Pourquoi des gens voudraient se regrouper autour de ce
statut, sans vouloir l’abolir ?
Il va falloir apprendre à dire Moi, je dis moi. Il va falloir se raconter
en tant que femme, pour exister en tant qu’individue, ne serait-ce
qu’à nos propres yeux. Tout, dans ce monde, nous enlève la
possibilité d’exister en tant qu’individue, toujours étant attachée à
un autre être. Il va falloir se raconter nos vies de femmes, nos
paroles de chairs qui n’entrent pas dans les statistiques, dans les
procédures, dans les calculs, pour seulement commencer à se sentir
vivre.
Pour la création d’un mouvement autonome des femmes
Un monde qui nous exclue ne nous inclura que s’il en tire un plus
grand avantage. En légalisant l’avortement et la contraception, le
patriarcat dispose de plus de femmes accessibles en tout temps. En
faisant travailler les femmes, le capitalisme a augmenté, d’une part,
la production, de l’autre, la consommation.
Pour des victoires permanentes, nous devons nous opposer au
système. Notre seule revendication sera son abolition. Nous devons
nous constituer en machine de guerre autonome.
L’individuE véritablement libre et autonome ne naît qu’au sein d’une
collectivité véritablement libre et autonome, et vice-versa.
Vivre dans cette société, c’est au mieux y mourir d’ennui. Rien dans
cette société ne concerne les femmes. Ce monde est un monde
d’hommes. Nous voulons abolir toute domination, pour se découvrir
et se créer en tant que sujets libres.
Pour y parvenir, nous utiliserons les moyens qui ont déjà fait leurs
preuves : la non-mixité, les lieux autogérés. Nous créerons notre
propre monde, qui sera déjà la fin de l’ancien, dont nous n’avons
plus rien à attendre, pour, au dernier moment, le détruire.
Ca brassé pas mal lundi le 29 Août dans le dossier de la condition masculine. Les faschistes anti-homme du groupe les cyprines(qui se prétendent féministe radicale) se sont fait ridiculiser devant une bonne partie du Québec. Leur manifestation devant l'hotel de Ville pour s'opposer à une journée de l'hommes a été un cuisant échec gràce à notre contre-manifestation. J'vous dit qu'elles n'étaient pas content de nous voir là. Même Francis-Dupuis Déry nous a fait l'honneur de se déplacer pour protester contre la journée de l'homme. Il y a eu des discussions assez animé mais dans le respect entre les deux factions, la pluspart des féministes radicale ont refusé de nous addresser la parole ce qui prouve leur intolérance et leur fermeture d'esprit. Ceux qui ont daigné nous parler pour s'expliquer ont dit des stupidités inimaginable: Il semble que Janette Bertrand, une militante très féministe, soit maintenant devenu une masculiniste! Vous avez bien lu. Les problèmes des hommes n'existeraient pas et les hommes se plaignent seulement parce qu'ils ne veulent pas abandonner leur pouvoir. Lorsque je leur ai demandé quel pouvoir, la réponse n'est pas venu. Bon ben pourquoi expliquez-vous que la quasi-totalité des femmes appuient les revandications d'égalité pour les hommes ou l'existence d'organisme de femmes pour aider les hommes comme les secondes conjoints leur ai-je demandé? Leur réponse a été que ce sont tous des misogyne qui veulent enlever des droits aux femmes. Imaginez-vous donc: les femmes du Québec veulent s'enlever leur propre droits!
J'ai eu l'occasion de discuter avec Dupuis-Déry. Il m'a un peu surprit car il m'a affirmé que les hommes sont peut-être désavantagé en justice. Était-t-il sincère ou seulement hypocrite? Je ne sais pas mais il était pas mal plus parlable que les dizaines d'autres faschistes anti-hommes. Une vrai gang d'intolérant anarchiste-communiste qui disent combattre le patriarcat alors qu'en vrai ils combattrent aux droits à l'égalité pour les hommes et la fin des discrimination envers nous. Quand je leur demandais ce qu'une journée de l'hommes enlèverait aux femmes ou pourquoi les hommes n'ont pas le droit à leur journée comme les femmes, le patriarcat imaginaire était leur seul réponse. Avec des arguments aussi faible, pas surprenant qu'elles soient marginalisé et ridiculisé par le reste de la population. Le pire, c'est qu'elles croient vraiment pouvoir influencer la société avec leur discours misandre, sexiste et faschiste alors qu'elles sont tellement peu nombreuse. Oh il y avait 4-5 gars avec eux, les même qui ont fait la manifestation violente aux congrès parole d'hommes, menacé de mort Yves Pageau et envahie la résidence privé du réalisateur Serge Ferrand. Toutes des hypies à la barbe qui prononcent le mot patriarcat à tout les 5 secondes, ils n'ont pas que le barbe en commun avec les talibans mais aussi leur intolérence sans limite à tout ceux qui ne méprisent pas les hommes. Ils prétendent combattre la violence des hommes mais ils sont eux même violent. Ils se prétendent égalitaire mais s'oppose à tout ce qui pourrait aider les hommes ou même juste symbolique comme la journée de l'hommes. Ils ne peuvent se prétendent féministe car les vrais féministes ont des valeurs égalitaire, non, ce sont des faschistes qui se camouflent sous un enseigne féministe radicale. Notons que les cyprines n'étaient pas les seul féministes radicale présent à l'hotel de ville pour s'opposer à la journée de l'hommes, des féministes comme Anne Pasquier, coordonatrice des tables de groupes de femmes de montréal, Nicole Boily, Présidente du conseil de montréalaise et ainsi que deux autres féministes que je n'avais jamais vu étaient aussi présente. Un très belle exemple du lobby féministe radicale en action contre le droits des hommes à l'égalité. Le pire, c'est que ces féministes sont subventionné avec nos taxes pour payer leur salaire afin qu'elles nous mettent des batons dans les rous. Vive nos taxes à l'oeuvre.
Malgré tout cela, le lobby des faschistes(féministes radicale) ont mangé un dur coups à leur image déja extrêmement négative dans la population, elles ont perdu de la crébilité ca c'est sur. En effet, Gilles Proulx a interviewer Jean-Francois Plante, le conseiller municipal qui propose la journée de l'hommes et Claude Lachaîne, un militant de la condition masculine de longue date. Pendant l'entrevue, Proulx a traité de criss de folle les cyprines après avoir lu aux centaines de milliers d'auditeurs leur pamphlet contre la journée l'hommes dans lequel il est écrit que le journée de l'homme est une attaque contre le droit des femmes et un encouragement envers la patriarcat. Imaginer, des centaines de millers d'hommes et de femmes qui prennent consience en un instant de la misandrie et de la mentalité ridicule des cyprines et des féministes radicale en général. Ce qui est navrant, c'est que beacoup ne feront pas de distinction entre féministe radicale et modéré et associeront le discour des cryprines à l'ensemble du mouvement féministe, mouvement qui pour la majorité supporte le droit à l'égalité et la fin des discriminations envers les hommes. La tentative de coup d'éclat des cyprines c'est retourné contre eux et leur image est terni à jamais. Notre stratégie de faire connaître leur discours aux médias à eu l'effet escompté.
Ce n'est pas tout, les féministes radicale n'étaient pas au bout de leur peine. Yves Pageau et Jean-François Plante ont participé à l'émission du grand journal -portion débat- qui posait la question si la journée de l'homme a sa raison d'être. Gilles proulx et Johaine Fontaine, une féministe radicale, étaient aussi invité. Des militants de Fathers 4 Justice étaient posté dans les vitrines de TQS pour donner leur appuie. Pour ceux qui n'ont pas vu le débat, Johaine Fontaine a eu l'air d'une hystérique comme jamais, tellement que les trois aux débatteurs étaient braqué contre elle ce qui l'a fait sortir de ses gons à plusieurs reprises. Cette émission qui est écouté par des centaines de milliers de téléspectateurs a donné un dur coup à la crédibilité de Johaine Fontaine qui est supposé représenté le féminisme. Elle n'a pas été capable de répondre à la question qui était pourquoi les hommes n'ont pas le droit à leur journée vu que ca n'enlève strictement rien aux femmes? Quel humiliation pour elle quand à la fin du débat, le sondage maison de TQS à révélé que 63% des personnes étaient pour la journée de l'homme. Une autre belle preuve du fossé idéologique entre femmes/féministe modéré et les féministes radicale. Jean-Francois Plante en a profité pour montrer le dépliant des cyprines qui n'avaient plus besoin d'un autre coup d'assomoir. Les féministes radicale se sont tiré dans le pied et pas à peu près hier et nous pouvons être fières car c'est en grande partit à cause de notre implication. Il faut continuer à profiter de chaque erreur de ce lobby faschiste anti-homme qui se débat comme un diable dans l'eau bénite pour survivre à une mort certaine. À tout les militant et militante je dis BRAVO!!!
Tous ceux et celles qui ne partagent pas vos idées sont fascistes. Belle mentalité. Vous n'avez pas de leçons à donner pauvres hommes opprimés qui détiennent majoritairement les postes de direction dans les entreprises et les gouvernements. Il y a plein de monde qui se moquent de vous autres et qui vous méprisent bande d'homophobes, sexistes, misogynes et d'adorateurs de Marc Lépine. Même le docteur Pierre Mailloux, qui n'est certainement pas un féministe, vous critiquent assez vertement. Vos soi-disant "valeurs masculines", qui en passant ont souvent servi de prétexte à l'homophobie et au gay-bashing, vous pouvez les mettre où ce que je pense.
Est-ce toi mon chère Dufresne ou quelqun qui tente de t'imiter? Cette réponse remplit de généralisation et mensonge est ton style.
Vous avez raison, les seuls qui ne partagent pas nos valeurs d'égalité pour les hommes autant que les femmes sont des faschistes hypie qui prononcent le mot patriarcat à tout les 5 mots. Qui peut être contre que l'état Québécois aide autant les hommes que les femmes et ne fait aucune sorte de discrimination envers un sexe en particulier à part des féministes radicale anti-homme? La principale revandication des hommes et femmes de la condition masculine est que les problèmes des hommes et des femmes soient traité avec la même importance et attention par l'état québécois ce qui n'est vraiment pas le cas. En effet, la condition féminine dispose d'un budget de 500 millions pigé dans le communautaire alors qu'il y a pratiquement rien pour les hommes.
Les hommes sont majoritaire aux gouvernements et dans les entreprises car beaucoup de femmes ont fait un CHOIX de vie différent que ce soit les femmes à la maison ou celle qui travaille à temps partiel. Tout ceci est bien documenté, il n'y a que quelques dizaines de féministes radicale qui explique encore cela par de la discrimination qui n'existe que dans leut tête.
Tu dis:"Il y a plein de monde qui se moquent de vous autres et qui vous méprisent bande d'homophobes, sexistes, misogynes et d'adorateurs de Marc Lépine"
Wow quel démagogue et généralisateur! Si tu n'es pas Martin Dufresne alors nous avons la preuve que le clonage existe. Voir si TOUT les militant et militante de la condition masculine sont des adorateurs de Marc Lépine! Hahaha. Je connais beaucoup de gens impliqué dans notre mouvement, jamais personne ne m'a parlé de Marc Lépine avec des termes élogieux. Tu serais du nombres qui sont pour le mariage gay...j'en suis un.
Des militantES féministes ont menacé de morts des militants de la condition masculine, on brisé des vitres à l'université de montréal lors du congrès parole d'hommes, envahie la résidence privé de Serge Ferrand pour le menacé mais tu dis que c'est nous les sexistes??? Les cyprines ont manifesté contre la journée de l'hommes parce que cela serait une attaque envers les femmes mais c'est nous les sexistes?? Aucun militant ou militante de la condition masculine n'a commit d'actes aussi violent et sexiste que ta gang de faschiste.
On peut être en désaccord avec nous sur certains points sans autant être faschiste mais quand on commet des actes aussi haineux, violent et anti-hommes, ce n'est rien d'autres que du faschiste.
Si tout le mouvement de la condition masculine est misogyne alors comment expliques-tu que des regroupement de femmes comme l'association des nouvelles conjointes ou le regroupement des secondes épouses dénoncent la discrimination systémique? Pourquoi la quasi-totalité des femmes appuient la demande du droit à l'égalité pour les pères en justice? Ce sont toutes des misogynes qui méprisent leur propre sexe? Vos attaques sont tellement rendu répétitive et sans fondement ou preuve donc vous perdez votre temps. La journée du 29 Août était un autre étape pour le train de la condition masculine qu'aucun faschiste ne pourra stopper d'atteindre sans destination qui est une égalité réciproque pour les hommes.
Désolé je ne suis pas Martin Dufresne que je ne connais pas d'ailleurs. Il y a des études fort documentées qui traitent des difficultés pour les femmes d'accéder aux postes de direction. De toute façon l'attitude irresponsable de nombreux hommes face au partage des tâches ménagères contraint de nombreuses femmes à rester à la maison et bloque leur avancement.
Je connais des masculinistes, qui sont homophobes, lesbophobes et qui aiment Marc Lépine. D'ailleurs sur CMAQ tu as des commentaires haineux sur "les lesbiennes frustrées", un cliché éculé et misogyne. Il y a aussi beaucoup d'hommes frustrés qui tiennent les femmes responsables de tout leurs problèmes et qui exècrent les homosexuels.
Le fameux plafond de vers est une invention de chercheuse féministe radicale dont leur étude sont complètement biaisé et n'ont aucune crédibilité. Aucune étude sérieuse non féministe a évoqué une discrimination contre les femmes depuis au moins 20 ans. D'ailleurs les nombreuses femmes qui sont cadres, présidente d'entreprise ou politicienne prouve le contraire. Ca revient toujours à une question de CHOIX pour les femmes si elles veulent oui ou non viser des hauts sommet.
Tu tombes dans la victimisation féministe mensongère en affirmant que c'est les partages des taches ménagères supposément inégal qui bloque les avancements des femmes. De un, 50% des femmes sont célibataire ainsi que les hommes donc les tâches ménagère ne sont pas une excuse et deux, plusieurs femmes monoparentale font à eux seul les tâches ménagères tout en travaillant. Ton argument est ridicule.
Tu connais des masculinistes homophobes, lesbophobes et qui aiment Marc Lépine? Je te crois sur parole. Sauf que moi j'en connais plusieurs et j'en connais aucun qui aime Marc Lépine. Ya une maudite différence entre une lesbienne et une lesbienne féministe radical qui méprise les hommes avec violence comme les cyprines. Ce n'est pas être lesbophobes ou homophobes que de dénoncer ces gens la mais bien d'être anti-fachiste.
"Johaine Fontaine a eu l'air d'une hystérique comme jamais, tellement que les trois aux débatteurs étaient braqué contre elle ce qui l'a fait sortir de ses gons à plusieurs reprises." Oui, j'ai vu une partie de cette émission aussi. Gilles Proulx a dit: "Moi j'aime bien les femmes, quand elles dorment..." Je me demande comment les groupes masculinistes auraient réagi si cette phrase était sortie de la bouche de Johane Fontaine à propos des hommes. Il a aussi dit: "Les hommes sont tous devenu des whippets que leurs bonnes femmes obligent à dormir dans la salle de fournaise". Très objectif et pas victimiste pantoute le Monsieur! Et pendant que Madame Fontaine parlait, Yves Pageau faisait le clown devant elle pour la ridiculiser. Et maintenant, j'apprend que les membres le Father4Justice étaient dans la fenêtre pour appuyer Gilles Proulx et Yves Pageau. Elle est peut-être sortie de ses gonds mais je la trouve tout de même courageuse. Elle n'a peut-être pas été très habile cette fois-ci pour faire avancer la cause des femmes mais très franchement, Gilles Proulx a absolument rien dit de convaincant pour la journée de l'homme et Yves Pageau non plus d'ailleurs.
De toutes façons, cette journée de l'homme repose sur un principe qui mérite d'être dénoncé. Au Québec, nous entretenons une culture de la "victime" qui donne lieu à de nombreux glissements démagogiques. On ne cherche plus à observer pour savoir ni à réfléchir pour comprendre. L'amour de nos semblables et l'exercice de la "raison" se sont fait déclasser par une passion irréfléchie et haineuse. C'est une course pour savoir qui va crier le plus fort et qui va trouver la sympathie publique en jouant sur les plus sombres penchants de la plèbe.
Et c'est comme ça partout : les affaires sociales, l'économie, la santé, la liberté religieuse et les relations entrent les genres. Loin d'être émancipé de cette culture de la débilité, le milieu alternatif semble souvent en être le creuset. Je lis les articles sur CMAQ et je déprime. Maudit! Il faut lire 40 articles pour en trouver un d'intelligent.
Voici des FAITS qui viennent contredire le dogme victimiste( à propos du travail à temps partiel et du travail domestique des femmes... et des hommes):
Ce sont même les hommes qui vivent plus de discriminations à ce niveau ! "Ah ben gadonc ça" !
Et un autre "p'tit" tableau:
Il est donc malhonnête de culpabiliser les hommes pour le temps moindre passé à faire du TRAVAIL DOMESTIQUE, car leur contribution en TEMPS et en effort au PROJET FAMILIAL est équivalent !
Les femmes CHOISISSENT de travailler à temps partiel (ou dans un domaine ou les heures sont moins longues) et de passer plus de temps à la maison ! Ce n'est pas un "mystérieux complot patriarcal"...
Les femmes peuvent enfanter... pas les hommes. Les femmes aiment mieux passer plus de temps avec les enfants, ce qui "oblige" (incite?) les conjoints à travailler plus fort pour subvenir aux besoins de leur famille ! (et je ne vois pas ça non-plus comme un "complot matriarcal")
À noter: dans la définition des tâches domestiques on omet d'inclure: les ordures, les rénovations, la réparation de la toiture et de l'auto, l'enlèvement la neige de l'entrée, etc.
Ou "oublie" aussi de mentionner que les hommes sont majoritairement victime des accidents et des décès. (9 x sur 10)
Pour le "dessert", voici un petit texte de réfléxion pour tous ceux qui mettent tout sur la faute du "mystérieux complot du patriarcat" (si jamais vous le rencontrez 1 de ces 4, s.v.p. me faire signe ! ;-)):
Qui possède le pouvoir au Québec?
Plusieurs médias du Québec nous manipulent. Voici une autre vision sur le monde et les inégalités constatées:
Première MANIPULATION répétée partout:
«Les femmes gagnent moins que les hommes...»
LA RÉALITÉ:
*Au Québec, en 2004, la plupart des femmes CHOISISSENT une carrière moins payante que les hommes. Par exemple: elles vont CHOISIR massivement de devenir avocate dans le domaine familial, qui est le domaine le moins payant du droit. Même chose en médecine, où elles CHOISISSENT plus souvent qu'autrement de devenir médecin généraliste (au lieu de se spécialiser). Les exemples abondent. De plus, souvent les mères préfèrent les emplois à temps partiel. C'est un CHOIX, pas une obligation! (Même le Conseil du statut de la femme a publié des recherches sur ces sujets !)
Deuxième MANIPULATION répétée partout:
«Regardons les choses en face et examinons qui possède encore les attributs du pouvoir (argent, pouvoir politique, postes de prestige et d'autorité, etc.)»
LA RÉALITÉ:
Décortiquons chacun de ces pouvoirs (A,B,C):
A- Argent:
*Pas évident de contrer cette manipulation. Oui, effectivement les riches de ce monde sont très majoritairement des hommes. Mais quels sont les sacrifices requis pour devenir aussi riche? Est-ce que la majorité des hommes et des femmes VEULENT posséder autant? Ces gens ne sont-ils pas esclaves de leurs possessions? Que faut-il faire pour devenir aussi riche?
*En tant qu'homme je ne sens pas du tout d'injustice dans le fait de ne presque rien posséder. De plus, a part une très petite poignée d'hommes (et quelques femmes) appartenant à l'élite sportive, artistique, politique, financière, etc ... qui est vraiment riche ? De plus, les femmes de ces hommes riches, sont aussi riches que ces hommes !
*En 2004, 25% des femmes Québécoises gagnent un plus grand revenu que les hommes. (et le revenu des CÉLIBATAIRES Québécoises est égal à 100% du revenu des Québécois.) OUI les femmes gagnent globalement 70% du revenu des hommes (selon les chiffres de Revenu Qc), mais elles travaillent aussi 70% du temps des hommes. OUI les femmes CHOISISSENT de travailler à temps partiel et ce, PLUS SOUVENT que les hommes, qui eux ne le choisissent pas autant (Voir stats et recherches de l'Institut de la statistique du Qc) Est-ce que je trouve ça injuste? Pas du tout ! Si elles travaillent fort pour gagner ce revenu et que moi, par choix, j'ai décidé de poursuivre d'autres objectifs, pourquoi est-ce que je crierais à l'injustice?
*Pères séparés: Nous savons tous la situation terrible que vivent la plupart des papas séparés de leurs enfants: Ils doivent vivre le DEUIL d'être séparés de leurs enfants et ils sont souvent ruinés financièrement ! (merci à nos députés et aux avocats pour ce "'beau" système anti-pères et anti-enfants !)
*EN 2004, "A travail égal salaire égal" EST UNE RÉALITÉ pour la très grande majorité des femmes du Québec... (contrairement à la "vérité" véhiculée par les syndicats et autres groupes de pressions !)
===> Même qu'il faudrait commencer à penser aux chauffeurs de taxi qui font des 70-80 heures (et plus) pour un salaire en BAS du salaire minimum !
===> Et les camionneurs qui travaillent de 70 à 100 heures/semaine ! (pour un salaire qui frise aussi le salaire mininmum)
===> Et les ambulanciers qui gagnent moins que les infirmières... pourtant ils ont plus de responsabilités !
===> Et les top-models féminins gagnent environ 10X le salaire de son équivalent masculin !
Ah c'est vrai, 3 de ces 4 métiers sont majoritairement composés D'HOMMES ! Et l'ÉQUITÉ salariale NE S'APPLIQUE QU'AUX FEMMES !
Où avais-je la tête ?
B- Pouvoir politique:
Pas évident de démontrer que le pouvoir politique est entre les mains des femmes lorsqu'une majorité d'hommes composent nos parlements.
Mais un fait RESTE, même si les hommes sont majoritaires au pouvoir comment expliquer TOUTES les lois pro-femmes depuis les 35 derrières années ?
Ça doit pas être si pire que ça d'avoir des hommes au pouvoir dans ces circonstances? Non?
La vraie question: Qui sont les puissants lobbys qui influencent ces hommes politiques?
De plus, de l'aveu même des partis politiques, les femmes en général ne veulent PAS faire de politique. Même Françoise David, du ---très féministe--- mouvement Option Citoyenne a avoué qu'elle ne trouvait pas de femmes qui voulaient se présenter dans d'éventuelles élections ! (A noter qu'Option Citoyenne compte environ 60% de femme !)
C- Poste de prestige et d'autorité:
*Pour obtenir un poste de prestige en 2004 RIEN n'empêche les femmes de les occuper si elles mettent l'effort que cela demande! Les hommes et femmes qui occupent ces postes sacrifient une importante partie de leur vie. Etes-vous prêt à en faire autant?
* Il y a aussi les quotas (loi 143 et Charte des droits de la personne) au gouvernement du Québec, qui oblige la fonction publique et para-publique à engager une femme au lieu d'un homme, Cela permet aux femmes du Québec de dominer les nouvelles embauches depuis plusieurs années. Selon le Conseil du trésor, 67.5% des nouveaux emplois en 2003 furent occupés par des femmes. Une fois les baby-boomers à la retraite, la fonction publique et para-publique (près de 500 000 emplois) sera composée de plus de 75% de femmes. Pour l'instant les femmes composent 58% des emplois dans la fonction publique et parapublique et ce chiffre est en progression d'environ 1% par année.
Si ça continue comme ça, la future génération de garçons va se retrouver dans une très mauvaise posture! Arrêtons de vivre dans le passé et focalisons sur la situation actuelle ET occupons-nous des injustices là où elles se trouvent !
p.s.
Pour les personnes qui adhèrent au dogme du féminisme-victimaire, ce repas sera indigeste...
Je vous conseil de prendre une portion d'un remède qui a fait ces preuves: "UTILISEZ VOS NEURONNES" et arrêtez de croire tout ce que disent les idéologues ! Traitement 100% garantie ! ;-)
Arrêtez votre victimisation. Les hommes hétéros ne subissent pas de discrimination dans notre société, a moins d'être immigrant ou autochtone. Je connais des femmes qui ont perdu leur emploi parce qu'elles étaient enceintes, d'autres qui se sont vus refuser des promotions. Dans les entreprises il y a plein de machos fascistes comme vous qui méprisent les femmes et qui font tout pour les décourager d'avancer. En passant Antimisandries aurait intérêt à apprendre à écrire correctement, fascistes s'écrit comme ça et non pas fachistes! L'instruction ne fait pas de tort à personne.
Tu ne peux réfuter les statistiques indépendate et irréfutable de l'ISQ alors tu dis que c'est de la victimisation. Je crois que les statistiques de Jésus ton fortement ébranlé alors tu ne sais plus quoi dire. Tu dis qu'il y a plein de machos fascistes dans les entreprises, as-tu des études sérieuses ou statistique pour appuyer ta thèse? Je parle ici d'études fait pas des chercheurES indépendant donc non féministe. Évidemment que non.
Aucunement mon cher. Les statistiques peuvent être manipulées à souhait. Je n'ai pas besoin de me cacher derrière des statistiques pour constater qu'il y a des machos fascistes (et non fachistes) dans les entreprises. J'en ai fait l'expérience. Pauvres hommes discriminés, surtout quand on sait que la plupart des millionnaires et des milliardaires sont des hommes, quand presque tous les postes de gestion et de pouvoir sont détenus par des hommes. En passant ma propre soeur a perdu un emploi parce qu'elle était enceinte et l'entreprise trouvait que c'était trop de trouble d'avoir une employée enceinte.
Les millionaires + milliardaires = .1% de la population...
Tu oublies aussi de dire que les femmes de ces hommes... sont riches aussi ! ;-)
Tu oublies de dire que les hommes sont plus pauvres que les femmes... au Québec et en 2005, pas en 1960 ou en Afghanistan.
Il y a plus de 200,000 hommes (au Canada) qui coucheront dans la rue ce soir.(les plus pauvres d'entre les pauvres !).. les femmes ont plus de 2000 organismes subventionnés par l'état-providence (au Québec seulement)... pour s'occuper d'elles ! Les hommes avons qq refuges sous-financés !
Tu oublies de dire qu'il y a plus d'hommes sur le "BS", que de femmes
Tu oublies de dire qu'il y a plus d'hommes sur l'assurance emploi, que de femmes.
Tu oublies de dire que les hommes meurent plus souvent que les femmes, "sul la job"/
(9 x sur 10 ce sont des hommes qui meurent d'accidents de travail)
Tu en oublies des affaires... toé ! ;-)
* Est-ce que tu serais un tantinet séléctif dans tes analyses ? ;-)
* Est-ce cela un féministe victimaire? (i.e. qq'un qui ne regarde que les souffrances féminines?) * Le patriarcat ce n'est pas un genre... mais un système d'oppression qui affecte les 2 sexes !
* Le matriarcat c'est pareil !
De tout temps, l'humain (femme ET homme) fut opprimé par une élite.
Voici un texte de réfléxion:
(À NOTER: risque d'indigestion élevé pour les féministe-victimaires)
Voici la REALITÉ non féministe: la plupart des hommes étaient (et sont) BONS !
* La plupart des hommes ne battaient PAS leurs femmes et/ou enfants ! (tout comme la plupart des femmes n'abusent pas des hommes en faisant de fausses accusations de violence ou d'abus sexuel...)
Mais ces femmes qui mentent devant la police et les juges sont trop nombreuses et elles profitent des lois actuelles pour DETRUIRE les hommes. (plus de 10,000 fausses accusations par année au Québec seulement) Tout comme CERTAINS hommes profitaient de leur pouvoir pour abuser de certaines femmes ! Eux aussi étaient trop nombreux ! Les hommes ET les femmes sont des humains... et les 2 peuvent abuser et detruire les autres... si on leur en donne l'occasion ! Mais pourquoi avoir donné la possibilité juridique de detruire n'importe quel homme? Est-ce cela l'égalité ? Pourquoi avoir réformé le système au grand complet en se basant sur les exceptions ? Pourquoi les juges ne punissent JAMAIS les femmes de parjure (passible d'une peine de prison !) Ou est la justice dans tout ça ? Pour éviter qu'UNE femme se fasse battre, on donne la possibilté à TOUTES les femmes de faire mettre "son" homme en prison ? (i.e. de le "battre juridiquement")
C'est ça l'égalité ? Ou est la justice sociale dans ce sytème? Qui à part les avocats et les autres professions entourant tout ce processus, en profite ? Surement pas les hommes et encore moins les enfants de ces hommes ! Vous ne trouvez pas que cela affecte l'image du féminisme égalitaire ?
* Nous venons de découvrir que TOUTES les stats sur la violence conjugale étaient fausses ! Il n'y a pas 300,000 femmes battues à chaque année, mais environ 3,000...(une diminution d'environ 98%) et il y aurait presque autant d'hommes maltraités...
* Le Ministere de la Justice et tous les palais de justice du Québec ont été obligé d'enlever leurs dépliants répandant ce mensonge ! (en 2005 !)
* Nous savons tous que les femmes/mères maltraitent/tuent plus les enfants que les pères/hommes... il faudrait arrêter de penser que les femmes sont moins violentes que les hommes ! Quand elles sont en position de force, elles font autant de "dégâts" que les hommes. Le féminisme égalitaire parle de ce côté sombre des femmes... mais PAS les idéologues du féminisme victimaire ! POURQUOI? Pour protéger le dogme suivant: "Les hommes des bourreaux, les femmes des victimes"
À noter:
Mais toutes ces personnes qui maltraitent leur entourage sont très minoritaires et ce, malgré la propagande de certains groupes de pression. La réalité: 95% et plus des femmes et des hommes ne sont pas des agresseurEs, ne sont pas des violentEs, etc.
* Ce sont les hommes qui partaient faire la guerre pour défendre LEUR FAMILLE ! De plus, souvent les "puissants" de ce monde provoquaient la guerre et ce sont souvent des HOMMES qui mourraient à cause de leur mégalomanie ! (En passant; la mégalomanie appartient au genre humain)
* Depuis que le monde est monde, l'homme a été esclave d'une seule phrase: "les femmes et enfants d'abord" !
* Qui ---surtout--- faisait les jobs dures physiquement, les jobs dangereuses ? LES HOMMES ! Qui mourrait le plus à cause de leur travail (mines, forets, etc) ?
* Pourquoi les femmes restaient à la maison ? Est-ce que le "mystérieux patriarcat" en a décidé ainsi ? NON, encore un mensonge féministe ! La realité: Toute la société tournait autour de l'exploitation de la force physique des hommes et de la maternité des femmes !
L'absence de techno et la maternité (sans fin...) empechaient les femmes de travailler à l'exterieur(sauf sur la ferme). Ce n'est qu'après la 2ième guerre mondiale (surtout) et l'apparition des machines, que les femmes ont pu faire des jobs à l'extérieur de la maison! De plus, les méthodes de contraceptions n'existaient pas... ainsi la nature faisait son chemin et la femme tombait enceinte sans arrêt (et elles en mourraient souvent)! Est-ce que tout ça était un complot du patriarcat ou des hommes pour maintenir la femme "esclave" ? NON ! Ça c'est le + grand mensonge féministe et cela fait en sorte que plusieurs femmes se révoltent contre les hommes ! La réalité ? Les hommes (tout comme les femmes) étaient "esclaves" de leurs obligations familiales (ils devaient travailler forts en maudit pour nourrir toutes ces bouches), de leurs patrons (qui les exploitaient !), de l'armée (les hommes de presque toutes les générations ont été envoyé faire la guerre...et ils en mouraient souvent !!!), et tutti quanti ! Si c'est ça le patriarcat... les hommes en souffraient autant que les femmes !
* Ce n'est pas vrai que TOUS nos ancêtres (hommes) partaient faire la fête à la taverne pendant que leurs femmes faisaient tout l'reste ! Ça c'est un autre mensonge des féministes et une grossière caricature de la réalité. La réalité? la plupart des hommes travaillaient 12 heures et plus par jour, 6 jours sur 7... ils arrivaient à la maison (quand ils n'étaient pas dans le bois ou à la guerre) et ils se reposaient ! Oui CERTAINS hommes des élites faisaient cela (la fête)... mais les femmes de ces hommes riches aussi la faisait ! Honte à toutes les féministes qui dénigrent nos ancêtres !
* EN CONCLUSION: L'HUMANITÉ (cela comprend les hommes ET les femmes) fut de tout temps exploité par une élite ! Le droit de vote (pour les hommes et les femmes) est TRES récent, si l'on tient compte de l'histoire de la civilisation ! Ce n'est pas le féminisme qui a "libéré" la femme (ou l'homme)... mais la TECHNO QUE L'HOMME A INVENTÉ! La DEMOCRATIE aussi a libéré l'homme ET la femme ! Le mouvement féministe ne fait que récupérer cette évolution pour manipuler les gens faibles d'esprits !
Je suis d'accord avec toi quand tu dis que'il y a des machos/machistes/misogynes (même si tu n'as rien pour le prouver... on le sait tous quand même qu'ils existent. Par exemple: Gilles Proulx !)
Mais il y a aussi beaucoup de femmes misandres... (je n'ai rien pour le prouver... ah pis à bien y penser... oui j'ai qq chose):
Rapports de recherche:
* Salomon et Féat (1991) L'enseignant face aux rôles sexuels des filles et des garçons.: 84% des enseignants voient des différences d'attitude entre les sexes et ils utilisent des qualificatifs différents pour caractériser chaque groupe. Les épithètes qui concernent les garçons sont nettement plus défavorables que celles choisies pour les filles.
* Ferguson, Lloyd et Horwood (1991) Teacher evaluations of the performance of boys and girls.: Les résultats montrent que les enseignants tendent systématiquement à évaluer plus favorablement la performance des filles que celle des garçons.
* Potvin et Rousseau (1993) Attitudes des enseignants envers les élèves en difficultés scolaires, Québec: Ont étudié les attitudes d'enseignants du primaire et du secondaire envers les élèves en difficulté. Les résultats révèlent que les enseignants présentent de façon significative des attitudes plus positives envers les filles qu'envers les garçons.
* Botkin et Twardosz (1988) Early Chilhood Research Quartely: Ont observé, durant 37 semaines échelonnées sur deux ans, 47 enseignantes dans six maternelles. Ils ont enregistré les comportements d'ordre affectif de ces enseignantes et vers qui elles les dirigeaient. Les comportements observés incluent le sourire, des mots d'affections, des contacts physiques d'affections et des contacts physiques passifs d'affections. Les résultats révèlent que les enseignantes expriment plus d'affections aux filles qu'aux garçons.
* Brais (1991) Retard scolaire au primaire et risque d'abandon scolaire au secondaire. Ministère de l'Éducation du Québec. Met en évidence que le phénomène de l'abandon scolaire semble prendre racine dans l'expérience de l'élève dès le primaire. L'attitude de l'enseignante envers le garçon. Dans l'ensemble et de façon constante, il existe une différence significative entre l'attitude des enseignantes envers les garçons et les filles. Cette attitude est toujours plus positive à l'égard des filles et l'écart est important. De plus, nous retrouvons de façon constante une proportion plus grande de filles considérées comme de type attachant comparativement aux garçons et, inversement, la proportion des garçons considérés comme de type rejeté est significativement et constamment plus grande que celle des filles.
p.s.
Il y a aussi les "Lise Payettes" de ce monde qui ne font pas de différence entre le "patriarcat" (système d'oppression qui affecte les 2 sexes) et "les hommes" ! On peut la qualifier de Gilles Proulx au féminin ! De misogyne au féminin, i.e. misandre ! ;-)
Qu'il y ait plus d'hommes que de femmes pauvres, c'est très difficile à dire, de toute façons les instituts de statistiques ne s'entendent pas entre eux sur la définition de la pauvreté. C'est sûr qu'il y a des hommes pauvres, j'en fait partie. C'est une question de classe et non de sexe. Il n'y a pas d'oppression spécifique rattachée au fait d'être un homme hétéro. Par contre des hommes sont opprimés en tant que travailleur, gay, immigrant, autochtone, etc. Les femmes de la classe dirigeante agissent de la même façon que les hommes capitalistes bien entendu. Les femmes bourgeois sont aussi fidèles que les hommes bourgeois aux lois du capital. Mais les femmes de la classe ouvrière n'en profitent guère et sont affectées dans bien des cas par le phénomène de la double tâche. Si le discours féministe a eu parfois des accents victimistes, le discours masculiniste est loin d'en être exempt. Je suis content que tu reconnaisses l'existence des machos/fascistes/misogynes à la Gilles Proulx et cie. Il y en encore beaucoup trop dans notre société.
Absolument, c'est d'ailleurs ce que je mentionne dans mon commentaire précédent. Je n'ai pas plus de sympathie pour les femmes capitalistes style Thatcher, Rice et Stronach que pour les Conrad Black, Bush, Blair, etc. Peut-être qu'un jour nous pourrons chanter ensemble "Quand les hommes vivront d'amour"!
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Sujet:
@ internationaliste : J'aime bien ton dernier commentaire...
"Qu'il y ait plus d'hommes que de femmes pauvres, c'est très difficile à dire, de toute façons les instituts de statistiques ne s'entendent pas entre eux sur la définition de la pauvreté.
Ma réponse:
Ça dépend sur quelle stat (ou définition) on se base;
* Si on regarde les chiffres du Ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale sur le nombre de personnes sur le "BS"... on ne peut pas trop interprêter les résultats.
* Même chose avec le nombre de personnes recevant des prestations de l'Assurance-emploi(a.-e.) du Ministère des Ressources humaines et du Développement des compétences.
* Avec les recherches sur le nombre d'itinérants, c'est presque impossible d'être 100% objectif;
Par exemple; 83,5 à 89,1% des plus pauvres au Québec sont des hommes.
Source : Gouvernement du Québec, Institut de la statistique du Québec ; Enquête auprès de la clientèle des ressources pour personnes itinérantes des régions de Montréal-centre et de Québec, 1998-1999. De Micheline Ostoj, Louise Fournier, Serge Chevalier, Dir. Santé pub., Nathalie Plante et Robert Courtemanche aux enquêtes. Page 52 tableau 2.2
* Là ou l'on tombe carrément dans le subjectif c'est lorsqu'on aborde la question du "seuil de pauvreté"... là c'est le "free for all";
Il y a beaucoup de démagogie autant du bord des groupes sociaux de gauche (qui veulent plus de $) que du côté du patronat (ou groupes de recherche de la droite) et/ou du gouvernement (qui eux, ne veulent pas donner plus de $)
««Les hommes hétéros ne subissent pas de discrimination dans notre société»»
Vous m'apparaissez un peu catégorique. Sans vouloir vous offenser, je dirais même un peu dogmatique. Votre affirmation n'apparaît pas comme la conclusion d'une longue enquête ou d'une savante analyse. Elle apparaît plutôt comme un énoncé de principe, voir comme la formulation d'un credo.
Vous semblez bien mal connaître l'idéologie patriarcale contre laquelle vous prétendez lutter. L'idéologie patriarcale n'est pas unidirectionnelle. Elle ne l'a jamais été. Cette idéologie se manifeste comme un ensemble de représentations qui conditionnent les perceptions et les conduites des personnes des DEUX sexes. Théoriquement libres d'étudier et de travailler où bon leur semble, les femmes continuent à se confiner elles-mêmes avec entêtement dans les emplois traditionnels pourtant moins bien payés. Ce n'est pas votre "Ti-Gilles" ou votre "Gagnon" qui tient la main des filles lorsqu'elles s'inscrivent aux cours de nursing plutôt qu'a l'école d'aéronautique est l'autre côté du corridor. Ce n'est pas vous qui tenez la main des gars qui s'inscrivent en informatique alors que l'école des hygiénistes dentaires est juste à côté. Ce qui leur tient la main ce sont les représentations culturellement inscrites dans leurs esprits. C'est fort l'idéologie, très fort!
Si vous aviez dit qu'il y a toujours oppression de la femme, je vous aurais suivi. Si vous aviez dit que, dans notre culture, les femmes sont plus souvent, et dans un plus grand nombre de sphères, culturellement désavantagées, je vous aurais aussi suivi sans difficulté. Mais affirmer que les hommes ne sont jamais victimes de discrimination à moins d'appartenir à une minorité visible, là je trouve que vous vous enfermez dans un auto aveuglement étanche.
Les hommes sont eux aussi en parti victimes des représentations culturelles et ils le sont dans un assez grand nombre de domaines. Le plus connu et le mieux documenté est le champ juridique. Le nombre de recherches empiriques en sociologie, et criminologie et en psychologie sociale, qui montrent que les femmes reçoivent de plus petite sentence pour un même crime, est écrasant. Vous ne trouvez pas ça discriminatoire vous de passer 35 % plus de temps en prison simplement parce que vous ne portez pas de jupon?
Il en va de même devant le tribunal de la famille lorsque les juges ont à décider le partage de la garde entre les parents. Les pères doivent faire la preuve de leurs antécédents et de leur capacité parentale avant de pouvoir prétendre à une partie de la garde. Cette preuve n'est pas demandée aux mères avec la même insistance ou la même méfiance. Le préjugé veut que la mère soit un bon parent. Les pères ne jouissent pas du même avantage culturel. Ça, même notre camarade Dupuis-Déry, champion de la cause radicale, est capable de l'admettre.
O, bien sûr, la garde des enfants implique un autre enjeu bien plus important : le bien-être des enfants. Mais dire que les pères de sont jamais victimes de discrimination... Vous vous fermez les yeux.
"Le nombre de recherches empiriques en sociologie, et criminologie et en psychologie sociale, qui montrent que les femmes reçoivent de plus petite sentence pour un même crime, est écrasant. Vous ne trouvez pas ça discriminatoire vous de passer 35 % plus de temps en prison simplement parce que vous ne portez pas de jupon?"
Mais ou sont les recherches québécoises qui arrivent à ces conclusions ?
Haaaaaaaa! vous et votre obsession de la documentation... Vous finirez archiviste... :)
Je ne connais que des recherches américaines! Je ne sais pas s'il y a des recherches québécoises. La seule que je connais est celle à laquelle j'ai participé il y a ... des années. Elle n'a pas été publiée parce que c'était une simple réplication d'une recherche américaine effectué à des fins didactiques. Les résultats étaient les mêmes.
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Sujet:
Ahhhh... "obsession"... je voudrais un 2ième avis... ;-)
Merci pour ta réponse ! (même si je reste sur ma faim...)
A propos de "mon obsession":
---» Pour ma "defense", il faut reconnaître que l'idéologie se construit souvent à partir de chiffres, recherches, stats, etc et que cela donne des CROYANCES et des DOGMES ! (mais il ne faut non plus sous-estimer le vécu perso)
Je sais que tu le sais ! ;-)
Je crois que tu fais de la "douce-projection"... mais je dois consulter d'autres personnes de mon entourage pour avoir un 2ième avis ! ;-)
Et j'ai remarqué que tu aimais bien les recherches, stats, et chiffres... et surtout les "bonnes" recherches, les "bonnes" stats et les "bons" chiffres...
Tu accordes également une très grande importance aux "sources" et à la méthodologie... ce que je trouve très bien et cela me motive à faire pareil ! ;-)
Mais "kossé"... que nous allons faire lorsque nous n'aurons plus de "dogmes" et de "croyances" à "défaire" ? ;-)
Moumannnn... qu'allons-nous devenir ??? ;-)
ou encore;
Doc, il nous faut un remède à "notre" obsession... ;-)
Monsieur Bleuler, vous avez sans doute en partie raison. Je me laissé emporter par la polémique avec les masculinistes. Comme j'ai dit à Antimisandries les hommes de la classe ouvrière sont aussi touché par la pauvreté et l'exploitation. Les femmes patronnes sont les égales des hommes patrons. Mais par contre je ne crois pas que l'oppression la discrimination envers les femmes ont disparues. Je trouve aussi que les mascu ont un discours victimiste un peu comme certaines féministes. Je vous donne donc raison en bonne partie et j'avoue que dans le feu de la discussion j'ai pu dire des choses exagérées.
Etes-vous impliqué dans un groupe masculiniste?
Qui a dit que certaines femmes ne vivent pas encore de discrimination? Personne. Nous le savons très bien. Ce qui est vraiment énervant, c'est qu'on ne peut jamais parler de condition masculine sans que des féministes essaie de nous faire taire avec la condition féminine. Je crois qu'il doit y avoir un temps pour parler des deux conditions sans se concentrer sur la condition féminine seulement.
Merci Antimisandries! Enfin tu reconnais qu'il y a des femmes qui subissent de la discrimination. Je suis content aussi que tu sois contre l'homophobie et pour le mariage gay. J'avoue que j'ai parlé un peu trop vite en vous traitant d'homophobes, misogynes, etc. Mais toi de ton côté tu as été trop fort en traitant les féministes radicales de fascistes. Elles sont critiquables mais pas à ce point-là. Comme je l'ai dit dans un autre commentaire nous pourrons peut-être chanter "Quand les hommes vivront d'amour"! Je crois que malheureusement sur CMAQ nous nous lançons dans des polémiques agressives et que nous dépassons notre pensée. En passant quel groupe masculiniste représentes-tu?
Je ne vous en veux pas de vous emporter. D'abord parce que certains visiteurs font vraiment tout pour s'attirer les foudres des militants progressistes. Je ne sais pas ce qu'ils cherchent. Je trouve qu'ils servent très mal leur cause. Ensuite, je ne vous en veux pas parce que moi-même je m'emporte aussi assez souvent lors de discussions (dans une autre section de CMAQ). Finalement, parce que rares sont les personnes assez matures pour faire marche arrière après un emportement.
Pour votre question sur mon appartenance à un groupe masculiniste, la réponse est non! C'est une question et parfois même un reproche que l'on me fait souvent sur CMAQ, même si j'ai affirmé clairement être un sympathisant féministe! Cette perception vient du fait que je suis très exigeant avec mes camarades féministes et inversement très tolérants avec nos visiteurs masculinistes.
Pour mes camardes, il faut croire que je ne suis pas un sympathisant assez docile. Je n'avale pas tout ce que les "leaders" du mouvement féministe mettent dans mon assiette :
- Les cas particuliers présentés comme règle générale;
- Les statistiques détournées ou fabriquées de toutes pièces;
- Les affirmations gratuites;
- Les lieux communs présentés comme de savantes analyses;
- Les glissements démagogiques;
- Les vendettas politiques contre des chercheurs ne défendent pas les thèses officielles.
Je suis solidaire des femmes, mais ne veux pas être féministe à ce prix.
Face à leur vis-à-vis masculinistes, je laisse glisser l'eau sans chercher la vague. Contrairement à mes camarades, je prends très au sérieux la souffrance des pères divorcés. Je crois que ces hommes doivent être entendus. Le fait que ces hommes empruntent parfois des arguments de droite m'agace autant que vous, mais moi je les ai dans mon bureau et c'est peut-être pourquoi j'arrive plus facilement à entendre ce qu'il y a d'authentique derrière ce tapage aux sonorités réactionnaires. Le mouvement des femmes est bien développé au Québec. Celui des hommes divorcés est embryonnaire.
Vous me trouverez peut-être trop tolérant avec eux! Je ne sais pas!
Quoi qu'il en soit, je ne suis pas dans la "ligne politique" des groupes de pères divorcés. Je suis plutôt dans la ligne du GREDEF, de Germain Dulac et, dans une certaine mesure, de Francine Leduc.
Les quotas sexistes dans la fonction publique qui détruit les carrières d'hommes qui se font refuser des emplois à cause de leur sexe ce qui est l'ultime discrimination. Même les femmes blanches commencent à se plaindre que les femmes de minorités sont favorisé. Évidemment, l'homme est la première victime des quotas.
Ah que j'ai jouie de rire et de plaisir en lisant ces statistiques officiel de l'ISQ qui vient démolir les arguments d'intertionaliste et sa gang d'anti-hommes. Tu as démolie complètement leur fameux complot du patriarcat et très bien démontré que les femmes ont le CHOIX donc aucune discriminé. Bravo!!!!
Dans le tableau (ci-dessus) sur la "Moyenne quotidienne de temps consacré à certains groupes d'activités selon le sexe et la période de la semaine, Québec 1998"
Les données pour les hommes sont exactes mais pas pour les femmes
Voici le bons chiffres;
Femmes
Professionnel (heures travaillées): 3,1
Domestique: 4,1
Personnel: 11,0
Libre: 5,8
Résiduel: –
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Dossier G20
Nous vous offrons plusieurs reportages indépendants et témoignages...
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